Rapports annuels de la Défenseuse des droits des victimes
En 2023, le Bureau de la Défenseuse des droits des victimes a continué à mener le progrès à travers l'entièreté du système des Nations Unies vers une meilleure compréhension et application de la politique du Secrétaire-Général plaçant les droits et la dignité des victimes d’exploitation et d’atteintes sexuelles au centre des efforts de prévention et de réponse de l’ONU en la matière. Ce rapport informel présente donc les avancées du Bureau concernant le lancement d’une formation à l’échelle du système entier et la publication de la Déclaration des droits des victimes, ainsi que le travail accompli par La Défenseuse des droits des Victimes, mais aussi par les Spécialistes des droits des victimes hors classe et les points focaux pour les droits des victimes afin de garantir les droits des enfants nés à la suite de faits d’exploitation et d’atteintes sexuelles commis par tout employé de l’ONU, un travail qui continuera en parallèle de multiples autres initiatives en 2024.
Le Bureau de la Défenseuse des droits des victimes continue de faire des progrès significatifs en plaçant les droits et la dignité des victimes au centre de la réponse de l'ONU à l'exploitation et aux atteintes sexuelles. En 2022, la Défenseuse des droits des victimes et les Spécialistes des droits des victimes hors classe ont redoublé d'efforts pour rencontrer les victimes d'exploitation et d'atteintes sexuelles et pour développer les meilleures pratiques en matière d'approche centrée sur la victime avec les prestataires de services et d'autres défenseurs. Ce rapport présente les progrès réalisés sur des projets clés au cours de l'année, ainsi que de nouvelles initiatives visant à améliorer l'accès au soutien pour les victimes.
Cela fait cinq ans que le Secrétaire général s'est engagé à placer les droits et la dignité des victimes au centre de nos efforts pour prévenir et répondre aux actes d'exploitation et d'atteintes sexuelles commis par le personnel des Nations Unies et le personnel apparenté. Ce rapport souligne les progrès réalisés par la Défenseuse des droits des victimes pour l'intégration d'une approche centrée sur les droits des victimes à l'échelle du système, et expose en détail les réalisations du Bureau et des défenseurs sur le terrain. La Défenseuse des droits des victimes est déterminée à augmenter le nombre de défenseurs sur le terrain et continuera à plaider pour la nomination de spécialistes hors classe des droits des victimes à plein temps partout où ils sont nécessaires, ou, si cela n'est pas possible, pour la nomination de points focaux pour les droits des victimes.
En 2020, une année marquée par des difficultés, le Bureau de la Défenseuse des droits des victimes a renforcé ses politiques, son plaidoyer et son travail sur le terrain pour prévenir et lutter contre l’exploitation et les atteintes sexuelles commis par des employés des Nations Unies et du personnel apparenté. Ce rapport met en avant les activités et les réalisations de la Défenseuse des droits des victimes et des Défenseurs sur le terrain en 2020, les défis qui subsistent et une feuille de route des projets pour l’année à venir.
Depuis que le Bureau de la Défenseuse des droits des victimes est devenu pleinement opérationnel, il s’est engagé dans de nombreux activités pour honorer l’engagement du Secrétaire général de placer les victimes au centre de tous les efforts des Nations Unies pour prévenir et répondre à l’exploitation et les atteintes sexuelles par ses employés. Comme indiqué dans ce rapport annuel, des résultats concrets pour les victimes de ces torts ont été obtenus en 2019, mais il reste encore beaucoup à faire pour assurer que les ressources adéquates pour la protection et prise en charge des victimes soient disponible.

En 2018, la Défenseuse des droits des victimes à donner la priorité à la mobilisation, à l’engagement et aux consultations avec les États Membres, le système des Nations Unies, les organisations intergouvernementales et régionales, la société civile, et autres parties prenantes, sur le terrain et ailleurs, dans le but de recueillir leurs points de vue sur les obstacles directement liés à l’aide donnée et aux droits des victimes, et pour assurer qu’une approche centrée sur la victime soit institutionnalisée et intégré dans toutes les activités des Nations Unies pour prévenir et répondre à l’exploitation et les atteintes sexuelles.