Alors que le monde s’apprête à célébrer la Journée internationale des femmes, les femmes voient leurs droits régresser. Nous en payons tous le prix.
Alors que le monde s’apprête à célébrer la Journée internationale des femmes, les femmes voient leurs droits régresser. Nous en payons tous le prix.
Nous vivons une époque inquiétante. Crise climatique, inégalités criantes, conflits sanglants, atteintes aux droits humains et ravages causés par la pandémie de COVID-19 sur le plan personnel et économique : jamais de mon vivant notre monde n’avait été soumis à autant de pressions.
Depuis le début de la pandémie de COVID-19, nous entendons beaucoup parler de solidarité mondiale. Les mots en soi, hélas, ne suffiront pas à mettre fin à la pandémie, ni à limiter l’impact de la crise climatique.
Alors que les pays du monde essaient avec plus ou moins de difficultés de faire face aux effets de la COVID-19, une pandémie parallèle et tout aussi horrible s’est attaquée à la moitié de la population mondiale.
En cette année charnière pour l’humanité, l’heure est venue de prendre des mesures courageuses en faveur du climat.
Alors que nous célébrons la Journée internationale des femmes dans le contexte d’une pandémie mondiale, le constat est sans appel : les femmes sont le visage de la crise de la COVID-19.
Alors que le monde célèbre le cinquième anniversaire de l’adoption de l’Accord de Paris sur les changements climatiques, qui a marqué un véritable tournant, nous voyons se former sous nos yeux un mouvement prometteur en faveur de la neutralité carbone.
Ce mois-ci marque le 75e anniversaire des bombardements atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki, des épisodes qui ont fait prendre conscience à l’humanité des effets dévastateurs que pouvait avoir une seule bombe nucléaire.