Partout dans le monde, la rue se mobilise pour manifester contre l’accroissement du coût de la vie et la montée de l’injustice, que celle-ci soit ressentie ou bien réelle.
Partout dans le monde, la rue se mobilise pour manifester contre l’accroissement du coût de la vie et la montée de l’injustice, que celle-ci soit ressentie ou bien réelle.
À la veille du Sommet Action Climat organisé en septembre par l’ONU, des millions de jeunes femmes et hommes se sont mobilisés à travers la planète pour dire aux dirigeants du monde : « Vous êtes en train d’échouer. »
Dans le monde entier, la haine gagne du terrain. Un déferlement d’intolérance et de violence engendrée par la haine menace les pratiquants de nombreuses confessions dans toutes les régions.
« Sauvons les Tuvalu, sauvons la planète. »
C’est le cri de ralliement que j’ai entendu lors de ma récente visite aux Tuvalu, dans le cadre de la tournée que j’ai effectuée dans le Pacifique, sur les lignes de front de l’urgence climatique mondiale.
Dimanche dernier, mon cœur s’est brisé à l’annonce matinale de la nouvelle : « Un avion à destination de Nairobi s’est écrasé peu après son décollage d’Addis-Abeba ».
Hier, des dizaines de milliers de jeunes sont descendus dans la rue pour adresser un message clair aux dirigeants de ce monde : agissez maintenant face à l’urgence climatique pour sauver notre planète et notre avenir.
Depuis que j’ai appris, bouleversé, la disparition de l’ancien Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, Kofi Annan, je songe à ce qui faisait de lui un homme à part.
Le terrorisme est une menace mondiale persistante en évolution constante. Aucun pays n’est à l’abri.