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L'UNAT a rejeté la demande d'audience de l'appelant. Elle a estimé que, conformément à l'article 18 du règlement de procédure du Tribunal d'appel, une audience orale ne serait d'aucune utilité dans cette affaire, car la question à examiner était simple et non complexe.

L’UNAT a estimé que la tentative de l’appelant d’élargir la portée de la question à examiner était intenable. L'UNAT a conclu qu'il avait été clairement convenu lors de la discussion de gestion du cas (CMD) que la question à trancher était la reclassification souhaitée du poste de M. Menon du niveau P-4 au niveau P-5 et que les...

L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.

Le TANU a estimé que le Tribunal avait examiné la décision disciplinaire de manière approfondie et méthodique ; le Tribunal n’a pas commis d’erreur de fait ou de droit en procédant à l’analyse de proportionnalité et il n’y a eu aucune irrégularité dans l’enquête et la procédure disciplinaire justifiant une intervention.

L'UNAT a convenu que l'obligation de ne pas divulguer d'informations internes ne se limite pas aux informations confidentielles. L'UNAT a estimé que même si la fonctionnaire exerçait des fonctions de liaison avec les...

L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.

Le TANU a estimé qu’en raison à la fois de l’incapacité du membre du personnel à se souvenir des événements en question et de la décision du Tribunal (approuvée par les parties) de ne pas tenir d’audience en personne, le Tribunal avait fait référence à juste titre au rapport d’enquête.

Le TANU a estimé que le Tribunal avait correctement déterminé que les actes du fonctionnaire étaient de nature sexuelle. Le membre du personnel avait, sans invitation, encouragement ou consentement, embrassé deux femmes différentes de manière sexuelle...

Après avoir demandé au Tribunal des conclusions de fait supplémentaires, le TANU a réexaminé un appel interjeté par le fonctionnaire suite à sa détention provisoire.

L’UNAT a estimé que le jugement du Tribunal ne faisait aucune mention de la nature, du contenu ou de l’objet des témoignages présentés sous serment devant lui, mais reposait entièrement sur des preuves par ouï-dire tirées exclusivement du rapport d’enquête et d’autres documents. L’UNAT a jugé problématique le fait que le Tribunal ne s’est pas prononcé sur les raisons pour lesquelles il s’appuyait exclusivement sur des preuves par...

L’UNAT a rejeté la demande d’audience de l’appelant. Elle a estimé que le fait de l'entendre en personne n'ajouterait rien à son dossier présenté par écrit et qu'une audience orale ne contribuerait pas à un règlement rapide et équitable de l'affaire.

Le TANU a estimé qu'une grande partie des arguments avancés par l'appelant constituaient effectivement une nouvelle soumission de l'affaire soumise au Tribunal, mais qu'il n'a pas accepté.

L'UNAT a constaté que la structure du WSSCC avait été fermée le 31 décembre 2020 à l'instigation de ses donateurs et remplacée par une autre organisation (le...

Le Tribunal a conclu que le demandeur n’avait pas démontré, par des preuves claires et convaincantes, qu’on lui avait refusé une chance équitable d’être sélectionné. En conséquence, le Tribunal a conclu que la décision de sélection contestée était légale car l’Administration avait exercé de manière appropriée son pouvoir discrétionnaire dans la sélection du candidat sélectionné.

L'UNAT a examiné un appel de M. Loubani. L'UNAT a estimé que même si une évaluation préliminaire [concernant les preuves potentielles des témoins désignés par M. Loubani pour être interrogés] aurait dû être faite par les enquêteurs, cela a été fait par le DT de l'UNRWA, et les preuves ont été jugées si inadéquates qu'elles ont pu être ignorées en toute sécurité. . M. Loubani a eu l'occasion de présenter ces preuves devant l'UNRWA DT, de sorte que sa bonne évaluation signifie que son droit à une procédure régulière a été reconnu, quoique tardivement. Si les enquêteurs l’avaient fait, cela n...

L'UNAT a noté que la simple question soulevée dans cet appel était de savoir s'il était approprié et correct que le juge ait procédé à la demande de révision des décisions contestées alors que la requête en récusation était en instance. L'UNAT a estimé que la réponse simple est que ce n'était pas le cas. Une demande de récusation peut être introduite à tout moment de la procédure et constitue généralement un choix stratégique difficile pour la partie qui conteste. Une telle demande est généralement présentée au moment où la partie perd confiance dans le juge. Son timing dépendra des...

L'UNAT a rejeté l'appel et confirmé la décision de la Caisse commune des pensions des Nations Unies.

L'UNAT a rappelé qu'au moment de l'entrée en participation de M. Arigon en 2002, l'article 24 ne lui permettait pas de rétablir sa période de cotisation antérieure, car cette possibilité était limitée aux participants dont la période antérieure de cotisation était inférieure à cinq ans et qui avait reçu un règlement de retrait ; ni l’un ni l’autre ne s’appliquait à lui. Lorsque l'amendement de 2007 à l'article 24 a été introduit, il disposait d'une période d'un an, du 1er avril 2007 au 1er...

L'UNAT a estimé que les plaintes de M. Saleh pour iniquité procédurale n'étaient pas fondées pour les raisons avancées par le Tribunal du contentieux du Tribunal et il ne s'était pas acquitté de la charge qui lui incombait de convaincre le Tribunal d'appel que le jugement du Tribunal était défectueux à cet égard. Il s'est contenté de répéter les arguments intenables qu'il avait présentés devant le Tribunal. L'UNAT a noté que M. Saleh a admis deux chefs d'accusation de fraude. L'UNAT a ensuite estimé que la conduite de M. Saleh avait incontestablement porté atteinte à la relation de confiance...