Preuve

Showing 1 - 10 of 121

L'UNAT a estimé que l'UNDT avait agi correctement en procédant à un contrôle juridictionnel de l'affaire.

Il a conclu que l'UNDT avait correctement évalué la crédibilité des témoins qui avaient témoigné devant lui et s'était fondé à juste titre sur le témoignage crédible de Mme V, qui n'avait aucun motif de mentir, pour conclure qu'il avait été établi par des preuves claires et convaincantes que l'ancien membre du personnel l'avait harcelée sexuellement en tenant des propos à caractère sexuel en mai et décembre 2020. Si le témoignage de Mme V aurait été suffisant en soi dans ce contexte, le...

L'UNAT a noté que les conclusions du TDPI reposaient sur des preuves crédibles lorsqu'il a déterminé que le fils de la fonctionnaire avait contracté la Covid-19, qu'il avait été traité sous la supervision de son médecin traitant et que le paiement avait été effectué sur la base des factures de ce dernier reflétant les soins qu'il avait prodigués.

L'UNAT a estimé qu'à la lumière des témoignages des témoins de la fonctionnaire, y compris elle-même et le professionnel de santé qui avait traité son fils, le TDPI n'avait pas commis d'erreur en concluant que l'Administration n'avait pas établi la...

L'UNAT a noté que le fonctionnaire souffrait d'un problème médical nécessitant des soins qui avait une incidence sur sa capacité à reprendre le travail, qu'il avait consenti à l'examen médical indépendant et qu'il n'avait pas contesté ces dossiers devant le TDPI ni en appel.

L'UNAT a estimé que même si la décision ST/AI/2019/1 était applicable aux fonctionnaires du HCR ou considérée comme un modèle de pratique équitable, elle n'aurait pas rendu l'examen médical indépendant irrégulier.

L'UNAT n'a trouvé aucun motif pour infirmer la décision de l'UNDT selon laquelle il n'y avait aucune preuve de...

Le Tribunal a tenu compte de la politique de « tolérance zéro » de l'Organisation à l'égard du harcèlement et des abus sexuels, ainsi que de la nécessité pour l'Organisation de protéger sa réputation et l'intégrité du lieu de travail.

Le Tribunal a noté que la norme requise au stade de l'imposition d'un congé administratif sans solde n'est pas une « preuve claire et convaincante » mais des « motifs raisonnables de croire », ce qui est une norme moins stricte. Tout bien considéré, le Tribunal a estimé que les premières phases de l'enquête avaient permis de découvrir des éléments de preuve...

Le Tribunal décidé de rejeter la requête.

À la lumière des faits établis et de la constatation de faute, les trois allégations mentionnées contenues dans la lettre portant sanction, relatives à des « atteintes sexuelles », constituent des « fautes graves » selon les termes de l’alinéa (b) de l’article 10.1 du Statut du personnel. En outre, au regard de l’alinéa (a) de la disposition 10.2 du Règlement du personnel, sur le fondement duquel la sanction a été imposée, l’imposition du renvoi est une possibilité.

Le renvoi est l’une des sanctions les plus sévères qui puissent être imposées dans une...

Le TANU a d'abord examiné la demande d'audition du fonctionnaire et a décidé qu'elle n'était pas nécessaire pour un traitement rapide et équitable de l'affaire.

Le TANU a observé que lorsque les seules personnes présentes lors d'une agression physique sont l'auteur et la victime, une audition peut être utile pour parvenir à des conclusions sur la crédibilité. Toutefois, dans ce cas, le TANU a noté que l'agent et son avocat avaient convenu qu'ils n'avaient pas de témoins à présenter lors d'une audience et qu'ils préféraient s'appuyer sur le rapport d'enquête. Dans ces circonstances, l'UNDT n'a...

Le TANU a rejeté les nouveaux éléments de preuve présentés pour la première fois en appel, qui visaient à justifier l'introduction tardive de l'affaire en l'attribuant à la situation personnelle de l'avocat du requérant.

Le TANU est d'avis que les membres du personnel doivent généralement respecter les délais fixés. Toutefois, en l'espèce, le TANU a estimé que l'UNDT avait commis une erreur de fait et de droit en rejetant la demande de M. Khan au motif qu'elle n'était pas recevable ratione temporis. Il a conclu que les circonstances exceptionnelles de M. Khan - notamment de graves inondations...

Le TANU a noté que l'UNDT n'avait pas commis d'erreur lorsqu'elle avait établi que l'agent avait utilisé de manière inappropriée l'ordinateur portable fourni par son employeur pour accéder à des sites web sexuellement explicites et qu'il s'était livré à de multiples reprises à des activités extérieures non autorisées. Le TANU a estimé qu'il n'avait pas obtenu l'autorisation de continuer à être l'actionnaire majoritaire et le directeur d'une société.

Le TANU a estimé que l'UNDT n'avait pas commis d'erreur en estimant que l'activité de l'agent constituait une faute. Le TANU a estimé que les...

Le TANU a estimé que le DT de l'UNRWA avait commis une erreur de droit en estimant que le cadre juridique applicable permettait au jury d'entretien de procéder à des évaluations techniques des candidats.Toutefois, le TANU a estimé que l'irrégularité procédurale du jury, qui a organisé une deuxième série d'entretiens de nature purement technique, n'était pas suffisante pour faire droit au recours, car l'issue du processus de recrutement aurait été la même.
Le TANU a estimé que le DT de l'UNRWA n'avait pas commis d'erreur en ce qui concerne l'incapacité de l'Office à appliquer correctement les...

Le TANU a estimé que le TNDU n'avait pas commis d'erreur en concluant que la mesure disciplinaire imposée était légale.
Le TANU a rejeté l'argument de l'ancien membre du personnel selon lequel la décision de Médecins sans frontières (MSF) lui interdisant de collaborer avec l'association à l'avenir ne pouvait être qualifiée de mesure disciplinaire, puisqu'elle lui avait été communiquée alors qu'il n'était plus employé par l'association. Le TANU a estimé que cet argument n'était pas recevable, car il avait déjà été présenté devant le TNDU.
En tout état de cause, le TANU a déterminé que la...