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Regarding claim 1, the Tribunal held that based on the evidence on record, the Applicant did not provide any evidence that could prove any form of misconduct against the OIOS or UNIFIL officials who handled his complaint. Accordingly, claim 1 was rejected.

For claim 2, the Tribunal noted that, upon his request, via emails dated 22 August 2024 and 31 October 2024, the OIOS provided the Applicant with an explanation for the closure of his Complaint without investigation. Therefore, claim 2 was found to be moot.

Claim 3 was found not receivable. The Tribunal held that the outcome of a management...

a. Regarding the first contested decision, the Tribunal established that based on the evidence on record, the Organization terminated the Applicant’s appointment under staff rule 9.6(c) due to the abolishment of the post that he encumbered. Accordingly, the Tribunal concluded that the termination of the Applicant’s permanent appointment on the basis of abolishment of his post was procedurally proper and lawful.

b. On the second issue, the Tribunal established that based on the evidence before it, the Organization had fulfilled its obligation under staff rule 9.6(c) to make reasonable and good...

The Tribunal found that the 29 February 2024 decision constituted a fresh administrative decision and not a mere reiteration of the 9 August 2023 decision as argued by the Respondent.

Just as a staff member may not reset the clock by repeatedly questioning the original decision, the Organization may not freeze the clock and deprive a staff member of their right to a new decision based on new circumstances.

The substantive issue in this case was whether the Administration properly exercised its discretion in not granting the Applicant telecommuting arrangements. The Tribunal found that the...

The Tribunal noted that the evidence before it, supplied by the Applicant himself, showed that the contested decision was taken on 17 April 2011 and the Application was filed in 2025.

Based on art. 8.1(d)(ii) of its Statute, the Tribunal found that the application was manifestly time-barred. Accordingly, the Tribunal held that the application was not receivable ratione temporis and the application was rejected.

Après avoir examiné les observations des parties et les éléments de preuve au dossier, le Tribunal a défini les questions à trancher comme suit :

a. Si le candidat avait une chance réaliste d'être sélectionné ; et

b. Si le recours a subi une perte financière en raison de la décision contestée.

Concernant la première question, le Tribunal a noté que l'Unité d'évaluation hiérarchique avait déjà constaté des irrégularités dans le processus de sélection et recommandé que celui-ci soit refait. Le Secrétaire général adjoint à la stratégie, à la politique et à la conformité de gestion (SGA/DMSPC) avait...

Ayant établi que la décision contestée avait été dûment notifiée au requérant le 22 mai 2023, le Tribunal a estimé que la demande d'évaluation de la gestion aurait dû être déposée au plus tard le 22 juillet 2023. Le requérant n'ayant déposé la demande d'évaluation de la gestion que le 23 novembre 2023, le Tribunal a également estimé que la demande n'était pas recevable.

L'avocat du requérant ayant admis que l'administration avait déjà réglé en grande partie les créances fiscales du requérant pour 2022 et 2023, le Tribunal a également considéré que ces aspects de la demande étaient sans objet.

Le...

Le Tribunal a tenu compte de la politique de « tolérance zéro » de l'Organisation à l'égard du harcèlement et des abus sexuels, ainsi que de la nécessité pour l'Organisation de protéger sa réputation et l'intégrité du lieu de travail.

Le Tribunal a noté que la norme requise au stade de l'imposition d'un congé administratif sans solde n'est pas une « preuve claire et convaincante » mais des « motifs raisonnables de croire », ce qui est une norme moins stricte. Tout bien considéré, le Tribunal a estimé que les premières phases de l'enquête avaient permis de découvrir des éléments de preuve...

Le Tribunal a estimé que la demande était recevable au motif qu'une évaluation négative des performances a des conséquences juridiques pour le membre du personnel concerné et qu'elle peut faire l'objet d'un réexamen.

De l'avis du Tribunal, le défendeur n'a pas démontré que le Secrétaire général des Nations Unies avait engagé avec le requérant une discussion appropriée sur ses performances ou qu'il lui avait fourni un retour d'information suffisant sur ses lacunes, comme l'exigent les sections 7.1, 7.2 et 10.1 de l'instruction administrative ST/AI/2021/4. 7.1, 7.2 et 10.1 de l'instruction ST...

UNDT/2025/007, MP

Le requérant s'est vu notifier la décision de rejeter sa demande pour négligence grave le 8 avril 2024, ce qui ne correspond pas à la définition de « décision administrative » au sens de l'article 2.1(a) du Statut du Tribunal. 2.1(a) du Statut du Tribunal.

La négligence alléguée des fonctionnaires des Nations Unies n'étant pas une cause d'action accessible aux membres du personnel et ne relevant pas de la compétence du Tribunal, le requérant ne pouvait pas introduire une plainte pour négligence grave.

Le requérant a été informé de la décision de rejeter sa demande pour négligence grave le 8...

Le Tribunal a estimé que les faits à l'origine de la sanction disciplinaire étaient prouvés par des preuves claires et convaincantes et qu'ils étaient très graves. La requérante a admis les faits sur la base desquels la sanction disciplinaire a été prononcée. Le Tribunal a rejeté les divers arguments de la requérante selon lesquels elle n'avait pas restitué les sommes déposées par erreur sur son compte personnel par l'UNFCU, estimant qu'il n'y avait aucune preuve que la requérante avait droit à l'annexe D ou à des prestations de séparation, et que le fait que l'UNFCU n'ait pas précisé qui...

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