Autour de 4,8 millions d'emplois ont été perdus en Ukraine depuis le début de l’agression russe selon une nouvelle note d'information de l'Organisation internationale du travail (OIT). Selon l’étude de l’OIT, si les hostilités devaient s'intensifier, le nombre d’emplois perdus s’élèverait à sept millions.
Emploi
L'Organisation internationale du Travail (OIT) a lancé un nouveau guide sur l'inclusion des personnes handicapées à l'intention des employeurs d'Asie et du Pacifique, intitulé « EmployAbility : Exploiter le potentiel des personnes handicapées en Asie et dans le Pacifique – un guide pour les employeurs ».
L'OMS et l'OIT appellent à prendre des mesures afin de protéger la santé des télétravailleurs. Un nouveau document technique sur ce sujet, publié par les deux institutions, souligne les avantages et les riques sanitaires du télétravail et les changements à adopter pour s'adapter à l'évolution vers différentes formes de travail à distance provoquée par la pandémie de COVID-19 et la transformation numérique du travail. Le télétravail peut améliorer la santé physique et mentale, ainsi que le bien-être social, des travailleurs tout en améliorant la productivité et en baissant les coûts opérationnels pour de nombreuses entités.
L’OIT a revu à la baisse ses prévisions en matière de reprise du marché du travail en 2022, prévoyant désormais un déficit global en heures travaillées équivalent à 52 millions d’emplois à temps. L’estimation précédente envisageait un déficit de 26 millions d’emplois équivalents à temps plein. Selon le rapport de l’OIT, « Emploi et questions sociales dans le monde : Tendances 2022 », cette dernière estimation constitue une amélioration par rapport à la situation en 2021, mais demeure près de 2 pour cent inférieure au nombre global d’heures travaillées avant la pandémie.
Convaincus que les jeunes ont la capacité et le pouvoir de façonner leur avenir, certains jeunes kényans exploitent l'économie numérique et veulent faire entendre leurs voix.
Il y a un an, le monde a changé. Si les conséquences de la pandémie sur les travailleurs ont varié d’un pays à l’autre, la nouvelle réalité a mis de nombreuses mères en difficulté. En effet, la fermeture des écoles et des structures d’accueil a contraint beaucoup d’entre elles à quitter leur emploi ou à réduire leurs heures de travail. De nouvelles estimations du FMI confirment les répercussions considérables de la pandémie sur les mères qui travaillent, et sur l’économie tout entière. En résumé, dans le monde du travail, les femmes qui ont de jeunes enfants ont été les premières victimes des confinements économiques.
Une nouvelle initiative fait des entreprises familiales une force du bien : il s’agit d’investir et de promouvoir un modèle commercial qui prend soin des personnes et de la planète au bénéfice des générations futures. Cette initiative appelée Family Business for Sustainable Development (FBSD) est un partenariat inédit entre l'ONU et la communauté mondiale des entreprises familiales.
Omar Abu Noa’aj est Jordanien. Pendant des années, il a rencontré des difficultés à trouver du travail en raison d’un handicap physique. L’an dernier, une agence pour l’emploi de l’Organisation internationale du Travail (OIT) l’a aidé à trouver son premier emploi formel dans une usine textile, ce qui lui a permis d’assurer son indépendance et de se donner des objectifs.
Les travailleurs des plates-formes ont beaucoup apporté pendant la crise de la COVID-19, ce qui a permis aux gens d'éviter de sortir, sauf s’ils en étaient absolument obligés. C’est vraiment bien de participer à un travail essentiel, mais ça serait encore mieux d’avoir un travail décent, explique María Belén Fierro, qui est coursière d’une application de livraison de repas en Argentine.
La campagne « 50 for Freedom »de l'Organisation internationale du Travail (OIT) a atteint son but initial d’obtenir 50 ratifications du Protocole sur le travail forcé. Cette étape a été franchie avec la ratification du traité par le Soudan, le 17 mars dernier. « Nous avons franchi une étape importante », a déclaré le Directeur général de l’OIT, Guy Ryder.
Le développement des plateformes numériques de travail constitue à la fois une opportunité et un défi pour les travailleurs et pour les entreprises, tout en nécessitant une concertation politique internationale, souligne l'Organisation internationale du Travail (OIT).
La dernière analyse de l'impact de la COVID-19 sur le marché du travail fait état de dommages massifs sur l’emploi et les revenus, avec des perspectives de reprise en 2021 lente, inégale et aléatoire à moins que les premières améliorations ne soient soutenues par des politiques de redressement centrées sur l'humain, explique l'Organisation internationale du Travail (OIT).
Les personnes qui travaillent à leur domicile, dont le nombre connaît une hausse très importante à cause de l’extension de la pandémie de COVID-19, ont besoin d’être mieux protégées, affirme l’Organisation internationale du Travail (OIT). Ils sont généralement moins bien lotis que ceux qui travaillent en dehors du foyer, même dans des professions plus qualifiées. Par ailleurs, les travailleurs à domicile font face également à des risques plus importants en matière de santé et de sécurité et bénéficient d’un accès plus restreint à la formation que les autres travailleurs, ce qui nuit à leurs perspectives de carrière.
Le Conseil d’administration de l’Organisation internationale du Travail (OIT) a pris une décision exceptionnelle en adoptant une résolution visant à remédier à la terrible situation des gens de mer piégés en mer en raison de la pandémie de COVID-19. Pour le Directeur général de l’OIT, Guy Ryder, la durée des problèmes auxquels sont confrontés les gens de mer en raison des efforts pour endiguer le virus est inacceptable et la prolongation des périodes où ils se trouvent en mer, ainsi que l’incapacité des gens de mer à terre à prendre leur relève, ne sont pas viables.
Selon un nouveau document de l’Organisation internationale du Travail (OIT), les principes et droits fondamentaux liés au travail peuvent jouer un rôle primordial dans la reprise après la crise de la COVID-19 et aider à reconstruire un monde du travail meilleur et plus équitable.