Il y a un an, le monde a changé. Si les conséquences de la pandémie sur les travailleurs ont varié d’un pays à l’autre, la nouvelle réalité a mis de nombreuses mères en difficulté. En effet, la fermeture des écoles et des structures d’accueil a contraint beaucoup d’entre elles à quitter leur emploi ou à réduire leurs heures de travail. De nouvelles estimations du FMI confirment les répercussions considérables de la pandémie sur les mères qui travaillent, et sur l’économie tout entière. En résumé, dans le monde du travail, les femmes qui ont de jeunes enfants ont été les premières victimes des confinements économiques.
Emploi
Une nouvelle initiative fait des entreprises familiales une force du bien : il s’agit d’investir et de promouvoir un modèle commercial qui prend soin des personnes et de la planète au bénéfice des générations futures. Cette initiative appelée Family Business for Sustainable Development (FBSD) est un partenariat inédit entre l'ONU et la communauté mondiale des entreprises familiales.
Omar Abu Noa’aj est Jordanien. Pendant des années, il a rencontré des difficultés à trouver du travail en raison d’un handicap physique. L’an dernier, une agence pour l’emploi de l’Organisation internationale du Travail (OIT) l’a aidé à trouver son premier emploi formel dans une usine textile, ce qui lui a permis d’assurer son indépendance et de se donner des objectifs.
Les travailleurs des plates-formes ont beaucoup apporté pendant la crise de la COVID-19, ce qui a permis aux gens d'éviter de sortir, sauf s’ils en étaient absolument obligés. C’est vraiment bien de participer à un travail essentiel, mais ça serait encore mieux d’avoir un travail décent, explique María Belén Fierro, qui est coursière d’une application de livraison de repas en Argentine.
La campagne « 50 for Freedom »de l'Organisation internationale du Travail (OIT) a atteint son but initial d’obtenir 50 ratifications du Protocole sur le travail forcé. Cette étape a été franchie avec la ratification du traité par le Soudan, le 17 mars dernier. « Nous avons franchi une étape importante », a déclaré le Directeur général de l’OIT, Guy Ryder.
Le développement des plateformes numériques de travail constitue à la fois une opportunité et un défi pour les travailleurs et pour les entreprises, tout en nécessitant une concertation politique internationale, souligne l'Organisation internationale du Travail (OIT).
La dernière analyse de l'impact de la COVID-19 sur le marché du travail fait état de dommages massifs sur l’emploi et les revenus, avec des perspectives de reprise en 2021 lente, inégale et aléatoire à moins que les premières améliorations ne soient soutenues par des politiques de redressement centrées sur l'humain, explique l'Organisation internationale du Travail (OIT).
Les personnes qui travaillent à leur domicile, dont le nombre connaît une hausse très importante à cause de l’extension de la pandémie de COVID-19, ont besoin d’être mieux protégées, affirme l’Organisation internationale du Travail (OIT). Ils sont généralement moins bien lotis que ceux qui travaillent en dehors du foyer, même dans des professions plus qualifiées. Par ailleurs, les travailleurs à domicile font face également à des risques plus importants en matière de santé et de sécurité et bénéficient d’un accès plus restreint à la formation que les autres travailleurs, ce qui nuit à leurs perspectives de carrière.
Le Conseil d’administration de l’Organisation internationale du Travail (OIT) a pris une décision exceptionnelle en adoptant une résolution visant à remédier à la terrible situation des gens de mer piégés en mer en raison de la pandémie de COVID-19. Pour le Directeur général de l’OIT, Guy Ryder, la durée des problèmes auxquels sont confrontés les gens de mer en raison des efforts pour endiguer le virus est inacceptable et la prolongation des périodes où ils se trouvent en mer, ainsi que l’incapacité des gens de mer à terre à prendre leur relève, ne sont pas viables.
Selon un nouveau document de l’Organisation internationale du Travail (OIT), les principes et droits fondamentaux liés au travail peuvent jouer un rôle primordial dans la reprise après la crise de la COVID-19 et aider à reconstruire un monde du travail meilleur et plus équitable.
Au moment où le COVID-19 transforme le monde du travail, une formation de l’Organisation internationale du Travail (OIT) aide les personnes vulnérables en Indonésie à rester compétitives et à améliorer leurs revenus. Laura Lesmana Wijaya est en train de créer sa première boutique en ligne. Ce portail sera utilisé pour promouvoir et vendre les produits ménagers fabriqués localement par des personnes aveugles et sourdes.
Selon l'Organisation internationale du Travail (OIT), les effets immédiats de la pandémie de COVID-19 sur les travailleurs et les entreprises vulnérables dans les États arabes fragiles font apparaître une baisse sensible de l’emploi et des revenus. En Jordanie, au Liban et en Iraq, les réfugiés syriens, les travailleurs du secteur informel, les femmes et les jeunes travailleurs ont été touchés de manière disproportionnée par la crise.
Au Pakistan, un projet de l’Organisation internationale du Travail (OIT) organise des actions de sensibilisation auprès des personnes tentées d’émigrer pour trouver du travail. Il s’agit de leur apprendre à réaliser leur projet sans prendre de risques.
Une crise humanitaire se déroule en mer et il est urgent d'agir pour protéger la santé des marins et assurer la sécurité de la navigation, prévient l'Organisation maritime internationale (OMI). On estime que plus de 300 000 marins et membres du personnel maritime sont présentement bloqués en mer et sont incapables d'être rapatriés malgré l'expiration de leurs contrats en raison des restrictions liées à la pandémie de COVID-19.
L’Organisation internationale du Travail (OIT) a mobilisé des ressources pour tenter de remédier au plus vite aux conséquences de l’explosion qui a dévasté plusieurs quartiers de la capitale libanaise le 4 août dernier.