OIM

les mains d'une femme comptant des billets

Les migrants doivent souvent s’endetter pour financer leur périple migratoire, et cette dette continue de peser après leur retour. Une étude de l'OIM révèle que la majorité (72 %) des migrants de retour interrogés ont déclaré avoir emprunté de l'argent, dont 92 % doivent encore rembourser tout ou partie. Ces dettes limitent alors la capacité des migrants de retour à faire face aux difficultés économiques et à s'assurer des moyens de subsistance durables, ce qui entrave leur intégration économique. En outre, la dette a un impact considérable sur les réseaux sociaux des migrants de retour, limitant ainsi leurs systèmes de soutien.

A man and his daughter sit in the street holding a cardboard sign.

L'OIM raconte l'histoire de nombreux migrants pris entre l'incertitude et l'espoir, qui continuent de risquer leur vie dans le Darién, une randonnée tristement périlleuse, cherchant à atteindre l'Amérique du Nord.

Portrait d'une femme d'un certain âge dans un paysage enneigé

Avec l'arrivée du froid, les Ukrainiens n'ont pas quitté leurs terres et ont commencé à se préparer au pire - les équipes de l'Organisation internationale pour les migrations ont aidé 109 familles dans la région de Kiev avec des travaux de rénovation.

Magdalena et Katarzyna de la fondation EduNowa ont soutenu Tatiana tout au long de son parcours

Depuis le début de la guerre en Ukraine, près de 8 millions de personnes ont fui vers les pays voisins, dont près de 1,5 million vers la Pologne. Tatiana est l'une d'entre elles.

Tatiana (middle) is holding two dolls and standing with Magdalena and Katarzyna.

Avant que la guerre ne débute en Ukraine, Tatiana était femme au foyer et s'occupait de ses deux jeunes enfants âgés de dix et six ans, dans la ville de Berdytchiv, au nord de l'Ukraine. Pendant son temps libre, elle travaillait comme couturière, confectionnant des jouets pour enfants, notamment des gnomes scandinaves. Réfugiée en Pologne depuis 2022, elle a fait de ce passe-temps un métier

Je suis migrant

La politisation croissante de la migration alimente le discours haineux, la xénophobie et les crimes de haine à l'encontre des migrants.

Notre terre vue par nos yeux

« Notre terre à travers nos yeux » est un documentaire participatif produit par l'OIM et six jeunes Tchadiens illustrant les interactions quotidiennes dans le nord du Tchad.

Two men on a beach seen through rocks.

Musab et Ahmed sont tous deux originaires d'Éthiopie et séjournent dans depuis deux mois dans une zone côtière située à une vingtaine de kilomètres de la ville portuaire de Bosaso, dans le nord de la Somalie. Avec d'autres migrants, ils sont sur le point de tenter le dangereux voyage à

worker with hardhat

Au cours des dix dernières années, les rapports faisant état de l’exploitation du travail des migrants, voire de travail forcé, se sont multipliés au Qatar. Après une période d’intenses négociations, l’État du Qatar et l’Organisatoin internationale du travail (OIT) ont adopté et lancé un programme visant à soutenir des réformes majeures en matière de travail. 

Farhia holding her son

Dans la ville de Baidoa, située dans l'une des régions les plus touchées par la sécheresse dans le centre-sud de la Somalie, environ 7 000 personnes arrivent chaque semaine dans les sites pour personnes déplacées et ont un besoin urgent d'aide.

Changement climatique et migration en Guinée

Les conséquences de la crise climatique sur la mobilité humaine sont profondes. Rien qu'en 2021, les catastrophes ont entraîné 23,7 millions de déplacements internes.

A woman in a traditional outfit stands with her feet in the ocean

Les implications de la crise climatique sur la mobilité humaine sont profondes. Il faut agir de toute urgence, en impliquant toute la société. Nous devons renforcer la résilience des personnes et passer de la négociation à la mise en œuvre. A la COP27, nous devons agir pour l'humanité, pour sa dignité et pour les générations futures. En savoir plus sur le travail de l'OIM pour aider les migrants climatiques.

Ana Marvez directing students playing the violin.

Au Chili, Ana Marvez, profersseure de musique classique originaire du Venezuela, enseigne la musique à un groupe composé principalement de musiciens réfugiés et migrants du Venezuela. Une histoire de l'OIM.

 

photo of a woman who is sewing taken from the back in order to hide her identity

Une étude du Pôle de gestion des connaissances de l'OIM a révélé que les difficultés psychologiques dues à des expériences négatives au cours de leur situation de traite, notamment la violence fondée sur le genre ou la prostitution forcée, constituaient un obstacle à la réintégration des femmes.

a woman walks along fresh graves

Le 3 août 2014, l'État islamique en Iraq et au Levant (EIIL) a lancé son offensive à Sinjar - la terre ancestrale des Yézidis d'Iraq, causant des milliers de victimes et de déplacements forcés. Huit ans plus tard, la question demeure : comment une communauté peut-elle guérir ?