Photomontage de plusieurs personnes autochtones

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Nouvelles frontières en matière d'innovations forestières

Les forêts constituent l’une des plus grandes ressources de la planète, mais le changement climatique et l’impact humain constituent des menaces croissantes. Partout dans le monde, les innovations forestières permettent de relever certains de ces défis. Une technologie révolutionnaire permet aux peuples autochtones de Papouasie-Nouvelle-Guinée de surveiller la déforestation et la dégradation des forêts sur leurs terres.

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la vice-présidente de l’Instance permanente, Hindou Oumarou Ibrahim

« Les peuples autochtones doivent être impliqués dans la révolution ‘verte’ pour garantir son équité »

La mise à l’écart des peuples autochtones dans l’action climatique a été l’une des questions clés soulevées lors de la 24e session de l’Instance permanente des peuples autochtones aux Nations Unies. Pour mieux comprendre cette problématique, ONU Info a reçu la vice-présidente de l’Instance permanente, Hindou Oumarou Ibrahim, dans ses studios.

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Les « chinamperos » approvisionnent la ville de Mexico en nourriture depuis des générations, mais ont-ils un avenir ?

Xochimilco, niché au cœur de la ville de Mexico, abrite les « chinamperos », des agriculteurs qui, depuis des siècles, utilisent des techniques autochtones pour cultiver des produits alimentaires. Aujourd'hui, leur mode de vie est menacé par la dégradation de l'environnement, l'expansion urbaine et le changement climatique.

Une femme tient à la main un long pinceau et se penche sur une table de travail pour peindre sur du tissu.

Les peuples autochtones au sein des villes ont aussi des droits

« Parfois, les gens nous regardent et pensent que parce que nous sommes un peuple autochtone, nous ne savons rien et ferons ce qu’ils disent. Nous avons des droits et nous devons les défendre en tant que peuple autochtone ayant migré dans la capitale », rappelle Olinda Silvano, à la fois artiste et cheffe de la communauté autochtone Shipibo-Konibo à Lima, la capitale du Pérou.

Vue d'une réunion publique avec les Baka, Minvoul.

La sauvegarde des langues autochtones au Gabon : l’exemple du baka et du koya

S’appuyant sur le plan d’action de la décennie internationale des langues autochtones, l’UNESCO à travers son Bureau à Libreville a porté, avec la Commission nationale gabonaise pour l’UNESCO, le Laboratoire « Langues, Culture et Cognition » et la Chaire UNESCO-Réseau Bantuphonie Langues en danger, savoirs endogènes et Biodiversité de l’Université Omar Bongo de Libreville, un projet de sauvegarde et de valorisation de deux langues autochtones au Gabon, le Koya (Nord-est) et le Baka (Nord).