En l'espèce, il y a manifestement absence de mens rea. Le défendeur n'a fourni aucune preuve pour étayer l'affirmation selon laquelle la requérante aurait illégalement fait de fausses déclarations ou aurait eu l'intention de frauder ou de tromper lors de la présentation de sa demande. La requérante n'a pas sciemment fait de fausses déclarations ou présenté des documents falsifiés. Elle a présenté un certificat de naissance contenant les noms et la profession des deux parents. Elle n'a pas menti en remplissant son questionnaire sur l'état de dépendance (formulaire P84), puisqu'elle a écrit qu...
Sur la base du cadre juridique applicable, l'administration peut déterminer le statut d'éligibilité des membres du personnel en ce qui concerne les prestations familiales, qui comprennent l'allocation pour enfant à charge, et procéder au recouvrement des montants lorsqu'un membre du personnel ne se conforme pas à ses obligations en la matière.
Conformément à l'annexe III de la circulaire ST/IC/2020/12, pour l'enfant d'un membre du personnel qui n'est pas le parent gardien ou qui a la garde conjointe de l'enfant, ce qui est le cas du requérant, le montant du paiement pour avoir droit à une...
Si la demande est à recevoir dans son intégralité, bien que le demandeur ait remis en question la légalité du seuil pour se qualifier pour une allocation monoparentale, contenue dans la SEC. 4.4 de ST / AI / 2018/6, il doit être compris comme faisant partie de son raisonnement juridique ou de ses arguments et ne peut être considéré comme la «décision contestée» comme suggéré par l'intimé. En effet, le demandeur ne prétend pas dans le résumé que l'exigence contenue dans la Sec. 4.4 de ST / AI / 2018/6 est illégal mais cherche plutôt à contester l'application directe et individuelle de l...