New York

25 April 2021

Secretary-General's message on World Malaria Day [scroll down for French version]

António Guterres, Secretary-General

Despite the COVID-19 pandemic and the multiple crises it has caused, a growing number of countries are approaching and achieving malaria elimination.  Today, on World Malaria Day, we commend all countries that have reached the ambitious target of zero malaria.  Together, they are showing the world that a malaria-free future is possible.

In countries with zero malaria, all people at risk of the disease – regardless of their citizenship or ability to pay – have been reached with the services they need to prevent, detect and treat the disease.  Sustained funding, strong surveillance systems and community engagement have been the key to success.

Yet, while we celebrate these achievements, let us not forget the millions of people around the world who continue to suffer and die from this deadly illness.  Each year, malaria claims the lives of more than 400,000 people, mainly young children in Africa.  And, every year, there are more than 200 million new cases of this deadly parasitic disease.

Malaria can be defeated.  With robust political commitment, adequate investment and the right mix of strategies, we can reach our common goal of a world free of malaria.

*****
MESSAGE PUBLIÉ À L’OCCASION DE LA JOURNÉE MONDIALE DE LUTTE CONTRE LE PALUDISME

Malgré la pandémie de COVID-19 et les multiples crises qu’elle a entraînées, le nombre de pays qui ont éliminé le paludisme ou sont en bonne voie d’y parvenir ne cesse de croître. Aujourd’hui, à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme, nous félicitons tous les pays qui ont atteint cet objectif ambitieux : ensemble, ils montrent au monde qu’un avenir sans paludisme est possible.

Dans les pays maintenant exempts de paludisme, les services de prévention, de diagnostic et de traitement nécessaires ont été mis à la disposition de toutes celles et tous ceux qui risquaient de contracter la maladie, et ce sans considération de nationalité ou de moyens financiers. Un financement durable, des systèmes de surveillance solides et une population mobilisée ont été les clés du succès.

À l’heure où nous célébrons ces avancées, nous ne pouvons toutefois oublier les millions de personnes qui, partout dans le monde, continuent de souffrir de cette maladie et d’en mourir. Chaque année, le paludisme fait plus de 400 000 morts, et la majorité des victimes sont de jeunes enfants en Afrique. Et chaque année, on dénombre plus de 200 millions de nouveaux cas de cette maladie parasitaire mortelle.

Mais le paludisme peut être vaincu. C’est par un engagement politique fort, des investissements suffisants et un arsenal de stratégies que nous pourrons atteindre notre objectif commun : un monde exempt de paludisme.