Female genital mutilation is an abhorrent violation of fundamental human rights that causes lifelong damage to the physical and mental health of women and girls. It is one of the most vicious manifestations of the patriarchy that permeates our world.
Some 4.2 million girls are at risk of being subjected to this act of gender-based violence during 2023 alone. We need urgent investments and action to reach the Sustainable Development Goals target of eliminating female genital mutilation by 2030.
Female genital mutilation is rooted in the same gender inequalities and complex social norms that limit women’s participation and leadership and restrict their access to education and employment. This discrimination damages the whole of society, and we need urgent action by the whole of society to end it.
Men and boys – brothers, fathers, health workers, teachers, and traditional leaders – can be powerful allies in challenging and ending this scourge, as this year’s theme makes clear.
I call on men and boys everywhere to join me in speaking out and stepping forward to end female genital mutilation, for the benefit of all.
On the International Day of Zero Tolerance to Female Genital Mutilation, let’s commit to social change and strong partnerships to put an end to female genital mutilation once and for all.
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Les mutilations génitales féminines, dont les conséquences néfastes sur la santé mentale et physique des femmes et des filles sont irréversibles, constituent une forme odieuse de violation des droits humains. C’est l’une des manifestations les plus vicieuses du patriarcat qui règne dans notre monde.
Rien qu’en 2023, quelque 4,2 millions de filles risquent de subir cet acte de violence fondée sur le genre. Nous devons faire des investissements et prendre des mesures de toute urgence pour atteindre la cible du Programme de développement durable visant à éliminer les mutilations génitales féminines d’ici à 2030.
Les mutilations génitales féminines trouvent leur origine dans les mêmes inégalités entre les sexes et normes sociales complexes qui limitent la participation et l’initiative des femmes et restreignent leur accès à l’éducation et à l’emploi. Cette discrimination porte préjudice à l’ensemble de la société, qui doit agir de toute urgence pour y mettre fin.
Les hommes et les garçons – frères, pères, agents de santé, enseignants et chefs traditionnels – peuvent être de puissants alliés contre ce fléau, comme le montre clairement le thème de cette année.
Je demande aux hommes et aux garçons du monde entier de se joindre à moi pour faire entendre leur voix et prendre position contre les mutilations génitales féminines, dans l’intérêt de tous et de toutes.
À l’occasion de la Journée internationale de la tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines, engageons-nous en faveur du changement social et de partenariats solides afin de mettre fin aux mutilations génitales féminines, une fois pour toutes.