On this World Cities Day, we recognize the critical role of urban areas in achieving the Sustainable Development Goals.
Next year marks the mid-point to the deadline to reach the SDGs.
Yet an honest look reveals a bleak picture.
Across a range of critical goals – from poverty and hunger to gender equality and education – we are not seeing progress, but backsliding.
The consequences are dramatic: escalating climate chaos, growing poverty, rising inequalities, and more.
We must change course – and we can.
This year’s theme of World Cities Day highlights how: ‘Act Local to Go Global.’
The goals are global in scope, but implementation is local.
And that means implementation happens largely in cities:
Today, more than half of all people live in urban areas – by 2050, over two-thirds will do so.
Cities generate over 80 per cent of global GDP – and account for over 70 per cent of carbon emissions.
Many cities are already leading the transition to renewable energy, setting credible net-zero targets and building climate-resilient infrastructure.
I encourage them to work with their governments and sister cities across the world to share experiences and help raise ambition.
The actions cities take locally to create a sustainable world will reverberate globally.
And the transformative policies they pioneer today can catalyze change that will save lives and livelihoods everywhere tomorrow.
On World Cities Day, let us resolve to work with cities to build a sustainable, inclusive, and resilient world for all.
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En cette Journée mondiale des villes, nous saluons le rôle essentiel que jouent les zones urbaines dans la réalisation des Objectifs de développement durable.
L’année prochaine, nous serons à mi-chemin de l’échéance fixée pour la concrétisation de ces objectifs.
Pourtant, si nous regardons les choses en face, c’est un sombre tableau qui s’offre à nous.
Sur toute une série d’objectifs essentiels – de l’élimination de la pauvreté et de la faim à l’égalité des genres en passant par l’éducation –, le monde recule au lieu d’avancer.
Les conséquences sont tragiques : aggravation de la crise climatique, accroissement de la pauvreté, creusement des inégalités, et bien d’autres fléaux encore.
Nous devons impérativement changer de cap – et nous en sommes capables.
Le thème retenu cette année pour la Journée mondiale des villes nous donne la clé : il faut « agir localement pour devenir global ».
Les objectifs sont de portée mondiale, mais l’action visant à les atteindre est menée à l’échelon local.
C’est donc en grande partie dans les villes que les initiatives doivent être prises :
Aujourd’hui, plus de la moitié de la population mondiale vit en zone urbaine ; en 2050, cette proportion sera des deux tiers.
Les villes génèrent plus de 80 % du PIB mondial et sont responsables de plus de 70 % des émissions de carbone.
Nombreuses sont celles qui jouent déjà un rôle de premier plan dans le passage aux énergies renouvelables, en se fixant des objectifs réalistes de réduction à zéro des émissions et en mettant en place des infrastructures résilientes face aux changements climatiques.
Je les encourage à faire remonter leur expérience au niveau de l’État et à la diffuser auprès des villes qui leur sont jumelées de par le monde pour aider à fixer un cap plus ambitieux.
Les mesures que prennent les villes à l’échelon local pour créer un monde durable feront sentir leurs effets au niveau mondial.
Et les politiques transformatrices que les villes mettent aujourd’hui en place peuvent aboutir à des changements qui, demain, permettront de sauver des vies et de préserver des moyens de subsistance partout dans le monde.
En cette Journée mondiale des villes, prenons l’engagement d’œuvrer avec les villes à bâtir un monde durable et résilient pour toutes et tous.