UNAT a considéré l'appel du Secrétaire général contestant le montant de l'attribution de l'indemnisation des dommages-intérêts moraux. Unat a jugé que l'attribution des dommages-intérêts moraux était étayée par la preuve précédente et que le montant n'était pas excessif sur la base de ces preuves. UNAT a rejeté l'argument du Secrétaire général selon lequel la sentence en l'espèce devrait être comparée aux attributions dans des cas non renouvelables similaires. Unat a jugé que UNDT n'avait commis aucune erreur dans son évaluation de l'attribution des dommages moraux et que le Secrétaire général...