Le Forum des Nations Unies sur les Forêts (UNFF) a lancé le Festival International du Film sur les Forêts en collaboration avec le Jackson Hole Wildlife Film Festival pour célébrer l'Année Internationale des Forêts 2011. Le festival est désormais reconnu sur le plan international grâce au prix AICA dans la catégorie «Communiquer avec les citoyens améliore l'environnement ». Mme Jan McAlpine, Directrice de l’UNFF était présente hier à CinemAmbiente, le plus important festival européen du film sur l’environnement, pour recevoir le prix.

«Le Festival International du Film sur les Forêts offre une occasion unique de présenter les enjeux et objectifs de Forests 2011 devant un public international», a déclaré Mme McAlpine lors du lancement du festival en début d’année. « Le pouvoir de l'art cinématographique est universel. Il établit des relations avec des individus partout dans le monde sur un plan personnel. Le Festival International du Film sur les Forêts va diffuser le message de Forests 2011 de manière aussi puissante.»

Le festival a reçu 167 films de plus de 30 pays et les gagnants ont été choisis dans six catégories différentes. Les films gagnants ont d'abord été projetés lors de la neuvième session du Forum des Nations Unies sur les Forêts, qui s’est tenu à New York du 24 janvier au 4 février, et ils sont désormais présentés à travers le monde tout au long de l’année 2011 en continuité du festival.

L'Année internationale des forêts 2011 est célébrée sous le thème «Les forêts pour les populations » avec des activités organisées à travers le monde pour sensibiliser et renforcer la gestion durable des forêts pour tous les types de forêts, ceci pour le bien des générations actuelles et futures.

L'Association Internationale pour la Communication Environnementale (AICA) présente trois prix annuels en reconnaissance de la communication environnementale. Parmi les précédents lauréats d’AICA on peut citer la Commission européenne pour la campagne "Change" et la société productrice du documentaire d'Al Gore «Une vérité qui dérange».