Three years ago this month, the virus that causes COVID-19 was first detected.
The costs have been catastrophic. Millions of lives have been lost, and hundreds of millions of people have fallen ill. Economies were shattered, health systems were stretched, and trillions of dollars were lost. Progress towards the Sustainable Development Goals has been thrown off track. And developing countries were often left to fend for themselves, shamefully denied the vaccines, tests or treatments they needed to protect their people.
COVID-19 will not be the last epidemic or pandemic humanity faces. As a global community, we must heed the harsh lessons of COVID-19 and make bold investments in pandemic preparedness, prevention and response.
We need better surveillance to detect and monitor viruses with epidemic potential. We need more resilient health systems supported by universal health coverage. And we need a health workforce that is well-trained, well-equipped and well-paid.
We also need equitable access to vaccines, treatments, diagnostics and life-saving technology for all countries.
And we must fight the scourge of misinformation and pseudoscience with science and fact-based information.
A pandemic cannot be fought country by country. The world must come together. COVID-19 was a wake-up call.
On this International Day of Epidemic Preparedness, I urge all countries to stand with our efforts to ensure the world is equipped and ready to take on the health challenges to come.
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Il y a trois ans ce mois-ci, le virus du COVID-19 était détecté pour la première fois.
Les coûts ont été catastrophiques. Des millions de vies ont été perdues et des centaines de millions de personnes sont tombées malades. Les économies ont été mises à genoux, les systèmes de santé ont été mis à rude épreuve et des milliers de milliards de dollars ont été engloutis. La réalisation des objectifs de développement durable a été rudement compromise. Et les pays en développement ont souvent été abandonnés à leur sort, se voyant hélas refuser les vaccins, les tests ou les traitements dont ils avaient besoin pour protéger leurs populations.
Le COVID-19 ne sera pas la dernière épidémie ou pandémie que connaîtra l’humanité. En tant que communauté mondiale, nous devons tirer les dures leçons du COVID-19 et investir énergiquement dans des mesures de préparation, de prévention et de riposte face aux pandémies.
Il nous faut améliorer la surveillance pour détecter et suivre de près l’évolution des virus à potentiel épidémique. Il nous faut des systèmes de santé plus résilients, soutenus par une couverture sanitaire universelle. Et il nous faut des personnels de santé bien formés, bien équipés et bien rémunérés.
Il faut par ailleurs que tous les pays aient un accès équitable aux vaccins, aux traitements, aux diagnostics et aux technologies qui sauvent des vies.
Et nous devons combattre le fléau de la mésinformation et des pseudosciences par la science et les informations factuelles.
Une pandémie ne peut être combattue pays par pays. Le monde tout entier doit unir ses forces. Le COVID-19 était un rappel à l’ordre.
En cette Journée internationale de la préparation aux épidémies, j’invite instamment tous les pays à agir de concert avec nous pour que le monde soit à même de relever les défis sanitaires à venir.