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UNAT a examiné si des circonstances exceptionnelles devraient s'appliquer à l'appel de l'appelant, en vertu de l'article 8, paragraphe 3, de la loi UNDT. Unat a estimé que UNDT avait raison dans sa conclusion qu'en l'absence d'une explication complète du retard de cinq mois après sa libération de l'hôpital, l'appelante ne pouvait pas se prévaloir du plaidoyer de circonstances exceptionnelles. Unat a soutenu que UNDT ne s'est pas trompé pour constater que la demande n'était pas à recevoir. UNAT a rejeté l'appel.