2012-UNAT-195, Shahatit
Unat considérait l'appel de l'appelant. UNAT a noté que les faits établis ont montré que la négligence de l'appelant en tant que commerçant chef avait facilité l'inconduite des autres membres du personnel et que sa négligence a été mise en évidence par l'excès de marchandises dans le magasin sa garde. Unat a estimé que l'appelant n'a ni réfuté avec succès ces faits, ni démontré aucun défaut dans les procédures administratives et disciplinaires. Unat a jugé que la sanction de la rétrogradation était légale. UNAT a rejeté l’appel et a confirmé la décision du commissaire général.