Le tribunal a constaté que la décision contestée était illégale fondée sur l'admission de l'intimé selon laquelle «bien qu'il y ait eu des raisons légitimes d'abolir le poste du requérant, la décision de le faire, ce qui a conduit à la non-extension de sa nomination […] était basée, dans partie, sur des considérations erronées ». Par conséquent, le seul problème juridique qui restait pour l'arbitrage devant le tribunal était celui des recours. Remèdes Le Tribunal a noté que le demandeur travaillait comme directeur des opérations, au niveau de la NO-C, au bureau du pays du Maroc de l'UNICEF...