Aujourd’hui, nous célébrons la Journée internationale de la paix.

Chaque année, à cette occasion, l’Organisation des Nations Unies appelle à un cessez-le-feu mondial.

Nous demandons aux combattants de déposer les armes pour que chacun, partout, puisse humer le parfum de la paix.

Les conflits armés plongent des familles, des groupes et des pays entiers dans la douleur.

Aujourd’hui, d’innombrables personnes souffrent de la brutalité de fauteurs de guerre et de terroristes.

Nous devons leur manifester notre solidarité.

La paix et la sécurité sont indispensables au progrès social et au développement durable.

C’est pourquoi, il y a trente ans, l’ONU a affirmé que les peuples ont le droit à la paix.

Ces douze prochains mois, nous célébrerons le soixante-dixième anniversaire de l’Organisation.

Le fondement de cette organisation est l’engagement de préserver les générations futures du fléau de la guerre.

Nous avons beaucoup progressé.

Mais il reste beaucoup à faire.

Nous devons étouffer l’extrémisme et nous attaquer aux causes profondes des conflits.

La paix est un long chemin que nous devons parcourir ensemble, pas à pas, dès aujourd’hui.

Aujourd’hui à midi, j’invite chacun à observer une minute de silence.

J’invite chacun à réfléchir à la paix, au sens qu’elle revêt pour la grande famille humaine.

J’invite chacun à chérir la paix et à la nourrir dans son cœur pour qu’elle croisse et s’épanouisse.