La Banque mondiale organise aujourd’hui à Washington D.C. son sommet sur la jeunesse, sommet qui rassemble plus de 700 jeunes participants.

Membre d’un panel ce sur « œuvrer pour l’agenda d’après 2015 : relever le défi de l’exclusion de la jeunesse », Alhendawi souligne une partie des nombreuses initiatives prises par le système des Nations Unies pour élever des questions relatives aux jeunes au cours des dernières années :

Faisant du « travail avec et pour les jeunes » une des cinq priorités pour son second mandat, le Secrétaire général a pour la toute première fois nommé tôt cette année un émissaire sur la jeunesse. Aussi, une première, il y a désormais une stratégie des Nations Unies sur la jeunesse–le Plan d’action à l’échelle de tout le système–en plus du réseau inter-institutions de l’ONU sur le développement de la jeunesse, qui comprend 40 entités des Nations Unies travaillant sur les questions de jeunesse.

Dans son allocution, l’Envoyé sur la jeunesse a remis en question le postulat selon lequel les jeunes ne seraient pas intéressés à la politique.

«Regardez leur engagement dans l’utilisation des médias sociaux ; ils sont intéressés par les questions politiques, mais pas nécessairement par les institutions politiques. Les jeunes vivent dans l’ère du numérique, mais la politique reste dans l’ère de l’analogique. Il est urgent que la politique se mette à niveau », a déclaré Alhendawi.