New York

01 December 2017

Secretary-General's message for World Aids Day [scroll down for French]

António Guterres, Secretary-General

The world is well on its way to meeting the target of ending the AIDS epidemic by 2030. Nearly 21 million people living with HIV now have access to treatment – a number that should grow to more than 30 million by 2020. AIDS-related deaths and new HIV infections are declining. There is great hope that the world can deliver on its promise – but much more needs to be done.

Sadly, some parts of the response to HIV are lagging behind. In some regions of the world, hard-won successes are being reversed, with rising numbers of new HIV infections and AIDS-related deaths.

Women and girls continue to be disproportionally affected by HIV, particularly in Africa. Men are less likely to know that they are living with the virus, less likely to seek treatment for it, and more likely to transmit HIV as a result. Too many people are unable to access the services they need to treat their illness or to stay healthy.

On this World AIDS Day, I call for a renewed commitment to finish what we have started and to make the AIDS epidemic a thing of the past.

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Le monde est en bonne voie pour atteindre l’objectif de mettre fin à l’épidémie de sida d’ici à 2030. Près de 21 millions de personnes vivant avec le VIH sont désormais sous traitement et ils devraient être plus de 30 millions d’ici à 2020. Les décès liés au sida et les nouvelles infections à VIH sont sur le déclin. Si l’on peut se réjouir que le monde tienne sa promesse, beaucoup de chemin reste encore à parcourir.

Nous sommes malheureusement en retard sur certains éléments de la riposte contre le VIH. Dans certaines régions du monde, des succès obtenus de haute lutte sont en train d’être annihilés, les nouvelles infections à VIH et les décès liés au sida reprenant du terrain.

Les femmes et les filles continuent d’être touchées de façon disproportionnée par le VIH, en particulier en Afrique. Les hommes sont moins enclins à savoir qu’ils vivent avec le virus, moins enclins à chercher un traitement, et de ce fait, plus susceptibles de transmettre le VIH. Beaucoup trop de gens ont du mal à accéder aux services dont ils ont besoin pour se faire traiter ou se maintenir en bonne santé.

En cette Journée mondiale de lutte contre le sida, je lance un appel pour que nous nous engagions une nouvelle fois à terminer ce que nous avons commencé et à faire de l’épidémie de sida une chose du passé.