Une vaccination universelle contre la COVID-19 nécessite des financements plus conséquents et la levée des obstacles économiques et juridiques au partage des vaccins.
Une vaccination universelle contre la COVID-19 nécessite des financements plus conséquents et la levée des obstacles économiques et juridiques au partage des vaccins.
Le forum du Conseil économique et social (ECOSOC) sur le suivi du Programme d’action d’Addis-Abeba sur le financement du développement a conclu aujourd’hui ses travaux, adoptant par consensus ses plus de 90 paragraphes de conclusions et de recommandations* « équilibrées » qui réclament des mesures décisives d’urgence face à la pandémie de COVID-19 et à la « pire crise économique et sociale depuis des générations ».
États membres, groupes régionaux, experts et représentants de la société civile ont salué aujourd’hui, avec quelques nuances, l’Initiative de suspension du service de la dette du G20.
Les disparités entre les pays riches et le monde en développement, s’agissant de la riposte à la pandémie de COVID-19, et des plans de relance et d’investissements, entre autres, ont dominé, aujourd’hui, les échanges de la deuxième journée du forum sur le financement du développement organisé par le Conseil économique et social (ECOSOC).
Le forum du Conseil économique et social (ECOSOC) sur le suivi du Programme d’action d’Addis-Abeba relatif au financement du développement s’est ouvert aujourd’hui avec des appels insistants en faveur d’un accès équitable aux vaccins contre la COVID-19, d’un allégement de la dette souveraine et d’une augmentation de l’aide publique au développement (APD).
La dixième édition du Forum de la jeunesse du Conseil économique et social (ECOSOC) s’est conclue aujourd’hui sur des appels au renforcement de la résilience des jeunes les plus vulnérables pour tirer profit de leur valeur ajoutée en tant qu’agents du changement et moteurs du développement durable, en tirant les leçons de la pandémie de COVID-19.
Ce matin, le coup d’envoi du dixième Forum de la jeunesse du Conseil économique et social (ECOSOC) a été donné, forum qui se tient sur deux jours en format virtuel.
Au cours d’une brève réunion, tenue dans la salle de l’Assemblée générale cet après-midi, le Conseil économique et social (ECOSOC) a procédé à des élections à certains de ses organes subsidiaires et décidé que, pendant sa session de 2021, ses organes de session et ses organes subsidiaires peuvent appliquer mutatis mutandis la procédure énoncée dans la décision 2020/205 du 3 avril 2020, intitulée « Procédure de prise de décision du Conseil économique et social pendant la pandémie de maladie à coronavirus (COVID-19 ».
Ce matin, le Conseil économique et social (ECOSOC) et la Commission de consolidation de la paix (CCP) ont tenu une réunion virtuelle conjointe pour faire mieux prendre conscience de l’impact de la pandémie sur le développement socioéconomique et la consolidation de la paix, et surtout pour identifier les opportunités d’action coordonnée dans le relèvement post-COVID.
L’Assemblée générale, qui a examiné aujourd’hui les rapports annuels du Conseil économique et social (ECOSOC) et du Conseil des droits de l’homme, a aussi décidé de commémorer le soixante-quinzième anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale, le 1er décembre 2020, en convoquant une réunion extraordinaire « solennelle », en hommage à toutes les victimes de la guerre.
Les infrastructures durables, la science et les technologies constituent un « moteur puissant » pour parvenir à réaliser le Programme de développement durable à l’horizon 2030, qui est en soi une « feuille de route pour reconstruire en mieux » après la pandémie de COVID-19.
Le Conseil économique et social (ECOSOC) a procédé, ce matin à des élections, au Conseil d’administration de l’Entité des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes (ONU-Femmes) et au Comité exécutif du Programme du Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés (ExCom) élargi.
Le Conseil économique et social (ECOSOC) a procédé, ce matin, à des élections visant à pourvoir les postes vacants au sein de sept de ses organes subsidiaires.
Ils attirent peu l’attention, mais les confits liés à la transhumance transfrontalière tuent davantage au Sahel que les actions de Boko Haram. Ce défi grave, complexe et urgent pour la région a été l’objet de la réunion conjointe annuelle du Conseil économique et social (ECOSOC) et de la Commission de consolidation de la paix (CCP), qui s’est penchée sur le Sahel pour la deuxième année consécutive.
Au cours d’une brève réunion cet après-midi, le Conseil économique et social (ECOSOC) a recommandé que l’Assemblée générale se prononce, à sa soixante-quatorzième session, sur la question de l’augmentation du nombre de membres du Comité exécutif du Programme du Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), lequel passerait de 105 à 106 États.
Mme Mona Juul, de la Norvège, a été élue ce matin, par acclamation, à la présidence du Conseil économique et social (ECOSOC) pour la session de 2020.
En fermant, ce matin, les travaux de sa session consacrée à la gestion, le Conseil économique et social (ECOSOC) a « appelé de ses vœux des mesures d’urgence pour combler le déficit de moyens nécessaires à la lutte contre le VIH et le sida, compte tenu de l’investissement annuel de 26 milliards de dollars qui sera nécessaire pour atteindre les cibles fixées pour 2020 ».
Le Conseil économique et social (ECOSOC) a ouvert, aujourd’hui, sa seconde et dernière session consacrée à la gestion, au cours d’une journée marquée par de nombreux débats et plusieurs scrutins qui ont été nécessaires pour entériner certaines décisions.
Après la fin du Forum politique de haut niveau pour le développement durable, hier, c’est aujourd’hui le Conseil économique et social (ECOSOC) réuni en session ministérielle qui a conclu ses travaux, en entendant 19 États Membres et près de 50 organisations internationales et de la société civile.
À la clôture du Forum politique de haut niveau pour le développement durable aujourd’hui, la Vice-Secrétaire générale de l’ONU a résumé les plus grandes attentes, pour les années à venir, en trois points: l’inclusion, la justice et l’engagement politique.