Le Comité de l’information a clôturé, ce matin, les travaux de sa quarante-cinquième session en adoptant par consensus ses deux projets de résolution annuels, dont son texte phare sur les politiques et activités de l’ONU en matière de communication globale dans lequel il fait part de sa « grande inquiétude » face au volume croissant de la désinformation et de la mésinformation visant les opérations de maintien de la paix des Nations Unies.
Comité de l'information
Le Comité de l’information a conclu, ce matin, son débat général consacré à l’examen des activités du Département de la communication globale (DCG) par des appels répétés à combler la fracture numérique entre le Nord et le Sud et à préserver l’intégrité de l’information sur les plateformes numériques.
Le premier jour du débat général du Comité de l’information a de nouveau suscité de vibrants plaidoyers en faveur du multilinguisme, à la fois dans la communication de l’ONU sur toutes ses plateformes, mais également dans les processus de négociations intergouvernementales et dans la documentation.
À l’ouverture de la quarante-cinquième session du Comité de l’information (COI) ce matin, la Secrétaire générale adjointe à la communication globale, Mme Melissa Fleming, a déclaré que devant la « nouvelle norme » que constituent des crises internationales toujours plus nombreuses et souvent liées entre elles, le Département qu’elle dirige, le DCG, n’a de cesse de recalibrer sa réponse pour promouvoir les activités de l’ONU à travers le monde.
Le Comité de l’information, qui a achevé aujourd’hui sa session annuelle, entamée le 3 mai, Journée mondiale de la liberté de la presse, a adopté à l’unanimité ses deux projets de résolution traditionnels relatifs à « l’information au service de l’humanité » et aux « politiques et activités de l’ONU en matière de communication globale ».
Au deuxième et dernier jour du débat général du Comité de l’information, une trentaine de délégations se sont succédé pour reconnaître et souvent saluer le travail accompli par le Département de la communication globale des Nations Unies (DCG), qui a su s’adapter à un environnement difficile marqué par la pandémie et s’acquitter de son mandat de « messager » ou de « voix des Nations Unies » à travers la diffusion d’informations fiables.
À l’ouverture des travaux du Comité de l’information, ce matin, la Secrétaire générale adjointe à la communication globale des Nations Unies s’est félicitée que tous les participants à cette séance inaugurale puissent être réunis dans la même salle, après deux ans de formats distanciels et hybrides imposés par la pandémie de COVID-19. Mais si les choses semblent « presque normales » au Siège de l’ONU, Mme Melissa Fleming a prévenu que la crise sanitaire continue d’avoir des « effets dévastateurs », d’autant qu’une autre épidémie fait rage parallèlement: celle de la désinformation, qui continue de poser un « risque existentiel pour l’humanité ».
Le Comité de l’information a achevé aujourd’hui sa session annuelle, en adoptant à l’unanimité ses deux projets de résolution traditionnelle sur « L’information au service de l’humanité » et « Les politiques et activités de l’ONU en matière de communication globale ».
Au deuxième jour de sa session 2021, le Comité de l’information a entendu, ce matin, de nouveaux appels en faveur de la pleine réalisation du multilinguisme aux Nations Unies.
Au fur et à mesure que la pandémie de COVID-19 se propageait, nous nous retrouvions confrontés à une véritable « infodémie »: un foisonnement de fausses nouvelles et de désinformation et une vague de discours de haine pour saper la santé publique dans le monde, souvent avec des conséquences fatales, et pour nous diviser.