Le FNUAP a noté que l’impact disproportionné de la pandémie de COVID-19 sur les femmes et les filles dans les situations de crise humanitaire devient de plus en plus évident. L’agence prévient que les services vitaux de santé sexuelle et reproductive son interrompus, que la violence fondée sur le sexe explose et que les besoins d’appui psychosocial augmentent.