CPSD/537

Quatrième Commission: plaidoyer pour l’inclusion des technologies spatiales dans le programme de développement pour l’après-2015

22/10/2013
Assemblée généraleCPSD/537
Département de l’information • Service des informations et des accréditations • New York

Quatrième Commission                                       

12e séance – après-midi


QUATRIÈME COMMISSION: PLAIDOYER POUR L’INCLUSION DES TECHNOLOGIES SPATIALES

DANS LE PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT POUR L’APRÈS-2015


Au nom de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (ASEAN), le représentant de la Thaïlande a appelé aujourd’hui ses collègues à étudier l’impact et le rôle des technologies et données spatiales dans le contexte du programme de développement pour l’après-2015.  La Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation, qui examinait aujourd’hui la question des utilisations pacifiques de l’espace extra-atmosphérique, a entendu aujourd’hui les délégations rivaliser d’exemples sur le rôle des technologies spatiales dans le développement. 


Le représentant thaïlandais a pris note avec satisfaction du fait que le Comité des utilisations pacifiques de l’espace extra-atmosphérique (COPUOS) ait inscrit à son ordre du jour le point intitulé « Espace et développement durable ».  Au nom du MERCOSUR, son homologue du Mexique n’a pas été en reste: le bien-être des peuples et la protection de leurs droits économiques et sociaux dépendent de plus en plus des données générées à partir de l’espace.  Le représentant de la Thaïlande a donc jugé pertinent d’étudier l’impact et le rôle des technologies et données spatiales, dans le contexte du programme de développement pour l’après-2015


L’espace est le moteur de la croissance économique et de l’innovation pour le bien-être de tous, a renchéri le représentant de l’Union européenne dont le programme d’observation de la terre, Copernic, sert déjà au Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) et au Programme alimentaire mondial (PAM), après les catastrophes naturelles et autres situations d’urgence.


Les activités et les technologies spatiales contribuent à la lutte contre les grands défis tels que les changements climatiques, les contraintes budgétaires, ou encore la santé et le vieillissement.  Elles stimulent la compétitivité bien au-delà du secteur de l’espace, contribuant ainsi à la création d’emplois et au développement socioéconomique dans presque tous les secteurs économiques dans le monde, a expliqué le représentant de l’Union européenne.


Comment faire pour mettre « cette industrie de l’espace qui fait appel au meilleur de la créativité humaine » selon les mots du représentant israélien, au service du développement? Par la coopération internationale et régionale.  Compte tenu du coût élevé des activités spatiales, le représentant d’Israël a reconnu qu’il est impossible de faire cavalier seul et que seules la coopération et les joint-ventures internationales permettent les progrès.


Face à l’intensification spectaculaire des activités liées à l’espace, ce dont témoignent les 11 pays qui ont des capacités de lancement et les 1 100 satellites actifs, le représentant du Mexique a appelé à une révision des cinq traités relatifs à l’espace.  Son homologue de l’Union européenne a acquiescé, jugeant que les mécanismes existants se sont révélés insuffisants pour stopper, par exemple, l’augmentation du nombre des débris spatiaux.


Pour y remédier, l’Union européenne, a-t-il dit, travaille depuis 2010 à un projet de code de conduite international sur les activités spatiales.  Elle a engagé un processus de consultations dont le deuxième cycle est prévu à Bangkok, du 20 au 22 novembre.  Le représentant russe s’est réjoui que le COPUOS ait prévu de discuter en 2014 de la proposition de son pays sur la sécurité de l’exploration spatiale.


En début de séance, le Président du COPUOS, M. Yasushi Horikawa, a présenté le rapport de la cinquante-sixième session du Comité.


La Quatrième Commission poursuivra ce débat demain, mercredi 23 octobre, à partir de 15 heures.


COOPÉRATION INTERNATIONALE TOUCHANT LES UTILISATIONS PACIFIQUES DE L’ESPACE EXTRA-ATMOSPHÉRIQUE (A/68/20, A/C.4/68/L.2 ET A/C.4/68/L.3)


Débat général


M. NORACHIT SINHASENI (Thaïlande), qui s’exprimait au nom de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (ASEAN), a salué l’entrée de l’Arménie, du Costa Rica et de la Jordanie au Comité des utilisations pacifiques de l’espace extra-atmosphérique (COPUOS).


Il a mis en avant le potentiel des technologies spatiales pour le développement durable.  Dans ce contexte, a-t-il dit, l’ASEAN a pris note avec satisfaction du fait que le COPUOS a inscrit à son ordre du jour le point intitulé « Espace et développement durable ».  L’ASEAN, a-t-il expliqué, est intéressée, en particulier, par les discussions qui doivent avoir lieu en 2014 sur les applications des données spatiales aux écosystèmes marins et côtiers.  Il a encouragé les États Membres à étudier l’impact et le rôle des technologies et données spatiales, dans le contexte du programme de développement pour l’après-2015.


Compte tenu de l’écart considérable entre pays développés et pays en développement dans le domaine des technologies spatiales, M. Sinhaseni a encouragé les organisations internationales et les pays développés à intensifier leur appui au renforcement des capacités spatiales, au partage d’informations, aux transferts des technologies et à la formation.  Il a voulu que des domaines concrets de coopération et de collaboration soient identifiés pour permettre aux pays en développement de rattraper leurs retards et développer leurs propres capacités spatiales de manière durable.


Après avoir mis en avant les mérites des données spatiales dans la gestion et la prévention des catastrophes naturelles, notamment par le biais de systèmes d’alerte rapide, le représentant a salué les progrès qui ont été rendus possibles grâce au Programme des Nations Unies pour l’exploitation de l’information d’origine spatiale aux fins de la gestion des catastrophes et des interventions d’urgence (UN-SPIDER) et a demandé que la portée géographique de ce Programme soit élargie, en particulier à la région de l’Asie et du Pacifique.  Donnant l’exemple d’une bonne coopération dans le domaine des technologies spatiales, il a cité l’accord passé, en février dernier, entre le Bureau régional d’UN-Spider en Asie, le Bureau des affaires spatiales de l’ONU et l’Institut national de l’aéronautique et de l’espace de l’Indonésie.  Il a encouragé le Bureau des affaires spatiales à explorer d’autres possibilités d’accords avec des institutions nationales et interrégionales.


Abordant également la problématique des débris spatiaux, il a appelé les États qui ne l’ont pas encore fait à mettre volontairement en œuvre les lignes directrices relatives à la réduction des débris spatiaux qui ont été développées par le COPUOS.  Le représentant a conclu en faisant état des efforts de son pays qui a organisé des formations, des séminaires et des conférences depuis 2004 en tant que membre actif du COPUOS.  Il a également annoncé qu’un nouveau satellite de télécommunication, THAICOM 6, serait mis sur orbite sous peu.


M. ALFREDO FERNANDO TORO-CARNEVALI (Venezuela), intervenant au nom des États membres et associés du MERCOSUR, a réaffirmé l’engagement du MERCOSUR en faveur des principes consacrés par les cinq traités des Nations Unies relatifs à l’espace, dont l’utilisation pacifique de l’espace extra-atmosphérique et le droit à la liberté d’explorer l’espace.  À ce titre, il a estimé qu’au regard des progrès scientifiques et technologiques récents et des nouvelles applications spatiales, il est nécessaire de réviser, mettre à jour et renforcer ces instruments.


Pour le Marché commun du Sud (MERCOSUR), a dit le représentant, le bien-être des peuples et la protection de leurs droits économiques et sociaux dépendent de plus en plus des données générées à partir de l’espace et de leur exploitation.  À cet égard, la coopération régionale et interrégionale dans le domaine des activités spatiales est fondamentale, a-t-il ajouté.  Il a conclu en rappelant que le MERCOSUR plaide pour que la Conférence du désarmement relance au plus vite ses activités sur la rédaction d’un traité international prohibant la course aux armements dans l’espace.


M. ADEBAYO BABAJIDE, Union européenne, a souligné que les activités et les technologies spatiales contribuent à la lutte contre les grands défis tels que les changements climatiques, les contraintes budgétaires, ou encore la santé et le vieillissement.  Elles stimulent aussi la compétitivité de l’industrie bien au-delà du secteur de l’espace, contribuant ainsi à la création d’emplois et au développement socioéconomique dans presque tous les secteurs économiques à travers le monde, a expliqué le représentant.


Les principales priorités de la politique européenne, a-t-il indiqué, sont la navigation et l’observation de la terre, avec des programmes phares comme Galileo et Copernic.  En octobre 2012, deux nouveaux satellites ont été lancés à partir de Kourou en Guyane française, qui ont ainsi rejoint deux autres satellites qui tournent autour de la terre depuis octobre 2011.  En mars de cette année, une position géographique a pu être déterminée grâce à des signaux émis par les satellites de Galileo et les infrastructures déployées au sol.  D’ici à 2020, 24 satellites auront été lancés, et 30 d’ici à 2025.


Aujourd’hui, a poursuivi le représentant, 6 à 7% du PIB de l’Union européenne est le fruit des activités liées aux services géospatiaux.  Copernic est le programme européen d’observation de la terre qui est déjà partiellement opérationnel et qui devrait l’être complètement, dès l’année prochaine.  Le premier satellite d’observation, Sentinel 1-A, devrait être lancé vers la fin de l’année prochaine.  D’ailleurs, les agences de l’ONU telles que le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) et le Programme alimentaire mondial (PAM) se servent déjà des cartes fournies par Copernic après les catastrophes naturelles et autres situations d’urgence, a précisé M. Babajide.


L’environnement spatial est fragile et les mécanismes existants se sont révélés insuffisants pour stopper l’augmentation du nombre des débris spatiaux.  « Un code de la route » volontaire pour les activités extra-atmosphériques comprenant les meilleures pratiques serait le bienvenu.  L’Union européenne s’est engagée à élaborer un code de conduite international, de manière ouverte, transparente et inclusive, offrant à tous les États intéressés l’occasion de participer au processus et de partager leur point de vue.  Après le premier cycle des discussions les 16 et 17 mai à Kiev, un deuxième cycle est prévu à Bangkok, du 20 au 22 novembre, a annoncé le représentant. 


M. RICARDO ALDAY (Mexique) a réitéré sa conviction que l’espace extra-atmosphérique doit rester ouvert à tous les États et que son exploration et son utilisation doivent toujours se faire à des fins pacifiques.  La question des débris spatiaux et de leur prolifération doit être abordée afin d’assurer la durabilité des activités spatiales, a-t-il ajouté.  Le Mexique, a indiqué le représentant, appelle tous les États à respecter les normes établies par le COPUOS pour réduire ce problème.


Le Mexique, a-t-il poursuivi, a intégré à son programme de développement les questions relatives aux systèmes mondiaux de navigation par satellite et au système d’alerte précoce et de prévention des catastrophes naturelles.  De même, le pays a mis sur pied un service de bande large pour réduire la fracture numérique au sein de la population du pays.  Le représentant s’est félicité de la poursuite de la coopération régionale et internationale dans le domaine spatial, notamment grâce au Centre régional de formation aux sciences et techniques spatiales, de la Conférence de l’espace pour les Amériques.  Il a invité tous les États Membres qui ne l’ont pas encore fait à adhérer aux traités relatifs à l’espace, en vue de leur renforcement.


M. BENJAMIN M. SHARONI (Israël) a noté que de plus en plus de pays dépendent de leurs programmes et données spatiaux pour leur développement, leur bien-être économique et leur sécurité.  Il est toutefois difficile de faire des progrès dans ce domaine en faisant cavalier seul compte tenu des exigences importantes en termes de ressources, a-t-il souligné, avant d’expliquer qu’Israël avait opté pour les joint-ventures au plan international.


Le programme spatial civil d’Israël a été adopté avec un intérêt particulier pour l’étude des utilisations de l’espace au service de la sauvegarde de la vie sur terre.  L’Agence spatiale israélienne (ISA) poursuit par conséquent une mission de coopération pacifique dans l’espace extra-atmosphérique, en essayant de promouvoir des projets scientifiques novateurs basés sur la coopération internationale.  « L’industrie de l’espace fait appel au meilleur de la créativité humaine.  Elle représente une infrastructure importante pour accélérer le développement industriel », a estimé le représentant.  En collaborant avec d’autres pays, il est possible d’apprendre de nouvelles méthodologies, et c’est dans cet esprit que l’ISA a signé des accords de coopération avec d’autres agences spatiales et continue à développer ses relations avec d’autres partenaires dans le monde.


Parmi les développements récents, le représentant a cité les allocations budgétaires pour promouvoir le programme spatial à usage civil, et la huitième Conférence annuelle internationale Ilan Ramon sur l’espace qui a permis à 14 délégations d’agences spatiales nationales d’échanger sur leurs projets d’exploration, la sûreté des vols dans l’espace, la coopération internationale et les applications non traditionnelles de l’espace, entre autres.  Le représentant a adressé une invitation ouverte à tous les pays à venir assister à la prochaine Conférence en 2014 à Tel Aviv.


Les deux dernières décennies ont connu une intensification spectaculaire des activités liées à l’espace, ce dont témoignent les 11 pays, dont Israël, qui ont des capacités de lancement et les 1 100 satellites actifs, en ce moment, a noté le représentant.  Israël a mis en place un comité interministériel pour coopérer avec l’Union européenne dans la définition du code de conduite international pour les activités dans l’espace extra-atmosphérique.  L’objectif d’Israël est de se positionner comme l’une des cinq plus grandes puissances spatiales, grâce à la coopération internationale, a expliqué M. Sharoni avant de préciser que 50% du budget spatial de son pays est alloué aux partenariats internationaux. 


Invitant d’autres pays à coopérer avec Israël, il a invoqué les paroles du  premier astronaute israélien, Ilan Ramon, qui a dit « de l’espace extra-atmosphérique notre monde ressemble à une seule unité sans frontières.  C’est pourquoi je lance un appel d’ici haut: œuvrons ensemble pour la paix et l’amélioration de la condition humaine ».


M. MOHAMED EL SHAMEK (Libye) a déclaré que l’utilisation pacifique de l’espace est essentielle pour garantir la prospérité, le développement durable, la sécurité alimentaire, les Objectifs du Millénaire pour le développement, la prévention des catastrophes naturelles et la lutte contre les changements climatiques.  C’est pourquoi il faut étendre la coopération internationale dans le domaine spatial, a-t-il estimé.


Soulignant l’importance du droit spatial international, M. El Shamek a insisté sur le rôle crucial du COPUOS dans la définition des normes car la promotion de la coopération internationale passe par l’adhésion à des règles communes.  À cet égard, les règles sur la question des débris spatiaux sont très importantes, a-t-il souligné.


Le représentant a aussi estimé important pour les Nations Unies et les agences spatiales d’accroître leur appui aux pays en développement, notamment dans le cadre des centres régionaux.  La Libye, a-t-il déclaré, est en outre préoccupée par l’utilisation dangereuse de l’énergie nucléaire dans l’espace extra-atmosphérique, en particulier dans l’orbite géostationnaire, et par les catastrophes qui pourraient en découler.


Il a par ailleurs déclaré que la gestion des données spatiales pour la prévention des catastrophes naturelles, notamment à travers un système d’alerte précoce, est une responsabilité commune de la communauté internationale.  Il a souligné que l’orbite géostationnaire est une ressource naturelle limitée et qu’elle devrait être utilisée de façon rationnelle, compte tenu de son importance cruciale.


M. MOHD ASHRI MUDA (Malaisie) a déclaré que le programme spatial malaisien a beaucoup progressé.  Le lancement du dernier satellite d’observation de la terre « RazakSat-2 » est prévu en 2016.  En termes d’infrastructures spatiales, la Malaisie a terminé la construction d’un complexe d’essais des satellites.  Elle a aussi organisé le Colloque international et l’exposition sur l’information géospatiale 2013, le Forum géospatial d’Asie et le Colloque sur les petits satellites, en septembre 2013.  La Malaisie a aussi participé activement aux initiatives internationales visant à renforcer les capacités dans l’exploration spatiale, a indiqué le représentant.  Il a cité l’Initiative spatiale internationale sur la météorologie, le septième programme-cadre avec l’Union européenne ou encore une série de collaborations avec l’Agence d’exploration spatiale du Japon, a indiqué le représentant.   


M. NABEEL MUNIR (Pakistan) a estimé que le COPUOS doit jouer un rôle important pour optimiser les bénéfices à tirer de l’application des technologies spatiales et les mettre au service de l’humanité, en particulier dans les domaines de l’environnement, de la santé et de la gestion des catastrophes.


Dans le cadre de sa « Vision pour l’espace à l’horizon 2040 », le Pakistan a développé une stratégie pour l’application concrète des technologies spatiales au développement durable.  Cela touche, en particulier, à la gestion des eaux, l’agriculture et à la gestion des catastrophes naturelles.  Illustrant son propos, le représentant a expliqué qu’au lendemain du tremblement de terre d’une magnitude de 7.7 à l’échelle de Richter qui a frappé le Balochistan en septembre 2013, le Pakistan a immédiatement fait appel à une pléiade d’images satellites de la zone affectée.


Le pays est en train de développer des programmes de sensibilisation aux usages de l’espace et aux technologies spatiales.  La Commission de recherche sur l’espace et la haute atmosphère (SUPARCO), vient de finaliser le système national de gestion d’informations sur l’environnement.  Les technologies satellitaires sont également utilisées pour faire des projections sur les récoltes et améliorer le système d’irrigation du pays, a encore expliqué le représentant.  Le satellite de communication pakistanais, PAKSAT-IR, qui a été lancé en août 2011, répond aux exigences nationales dans le domaine des télécommunications et de la télévision.


Abordant la question des débris spatiaux, le représentant a jugé crucial de continuer à améliorer les lignes directrices du COPUOS dans le but d’adopter à terme un instrument juridiquement contraignant.  Pour cela, une étude à long terme sur l’évolution des débris spatiaux dans l’environnement serait nécessaire, a suggéré le délégué.


M. SERGEY LEONIDCHENKO (Fédération de Russie) a rappelé que le 16 juin 2013 a marqué le cinquantième anniversaire du premier vol spatial d’une femme, Valentina Terechkova.  Il s’est félicité des résultats consensuels atteints par le COPUOS, en estimant que ce corpus de règles est très utile pour l’ensemble des États, qu’ils mènent ou non des activités spatiales.  La Fédération de Russie, a déclaré le représentant, se félicite également des résultats obtenus par le Sous-Comité juridique concernant la réduction des déchets spatiaux.  Un certain temps est cependant nécessaire pour élaborer les futurs principes directeurs des mesures pratiques visant à améliorer la sécurité et ainsi garantir la viabilité à long terme des activités spatiales, a relevé M. Leonidchenko.


La Fédération de Russie, a-t-il rappelé, propose de relancer les efforts internationaux pour combler les lacunes du régime juridique relatif à l’utilisation pacifique de l’espace.  Le Comité discutera en 2014 de la proposition russe sur la sécurité de l’exploration spatiale, a-t-il indiqué.


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À l’intention des organes d’information • Document non officiel
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