Les femmes se soutiennent entre elles partout dans le monde, notamment lorsqu’il s’agit de services essentiels et soins vitaux pour les populations.
Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA)
Le projet Saúde das Manas (« La santé des sœurs »), un partenariat entre le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) et le Conseil des départements municipaux de santé de Pará (Cosems/PA), au Brésil, vise à renforcer la qualité des soins de santé procréative proposés par le système de santé local, en pleine pandémie de COVID-19, par la mise en place de bureaux de télémédecine au sein de sept cliniques médicales. Ce programme permet désormais d’aider 80 000 femmes en âge de procréer.
Aujourd’hui âgées de plus de 70 ans, trois anciennes exciseuses au Kenya - elles-même survivantes de mutilations génitales féminines - ont décidé de combattre ces pratiques néfastes pour protéger la nouvelle génération.
Février est un mois au cours duquel les fleuristes et les bijouteries ont beaucoup de travail. Ce ne sont malheureusement pas les seuls. Les défenseur·e·s des droits sont aussi très occupé·e·s à éliminer deux pratiques qui mettent fin à l'enfance pour des millions de filles : le mariage d'enfants et les mutilations génitales féminines. La COVID-19 rend les choses encore plus difficiles. Le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) et l’UNICEF appellent à protéger d'urgence les filles.
Le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) revient sur l'année 2020 en soulignant non seulement les conséquences douloureuses de la pandémie sur les femmes et les filles, mais aussi comment elles ont répondu à la crise avec détermination.
Un nouveau rapport publié par le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) désigne le Yémen comme étant le pays où les femmes et les filles ont le plus besoin d’une aide humanitaire d’urgence. Depuis le début d’un conflit fratricide en 2015, la situation du pays s’est effondrée, provoquant le déplacement de personnes, une insécurité alimentaire et des épidémies de choléra. Tous ces éléments ont été aggravés par la COVID-19.
La journaliste et auteure Isha Sesay, de la Sierra Leone, a rejoint le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) en tant qu'Ambassadrice de bonne volonté pour aider à sensibiliser à la violence basée sur le genre, et soutenir les efforts visant à y mettre fin.
Dans le cadre des 16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre (du 25 novembre au 10 décembre), le Fonds des Nations pour la population (UNFPA) a travaillé avec l’artiste Etinosa Yvonne, originaire du Nigéria pour produire ce récit interactif, qui s’inscrit dans le prolongement du projet multimédia de l'artiste-photographe intitulé « It’s All In My Head ». Ce récit documentaire explore les mécanismes d’adaptation des survivantes à des conflits violents au Nigéria.
Intisar, 55 ans, a survécu à un cancer du sein et elle vit à Deir al-Balah, dans la bande de Gaza. Le taux d’incidence du cancer du sein est en hausse en Palestine ces dernières années, en partie à cause d’une sensibilisation et d’un dépistage accrus, mais également du mode de vie et des habitudes alimentaires liées à la pauvreté.
Les femmes et les filles du Honduras sont en danger suite au passage de l'ouragan Eta. Plus de 1,6 million de personnes ont été touchées dans le pays, et quelque 12 000 d’entre elles vivent actuellement dans des abris, explique le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA).
Le rapport annuel du Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) présente les progrès réalisés en 2019 et donne un aperçu du travail de l’organisation avant que les effets de la pandémie n’aient été ressentis.
Écoutons les filles et défendons leurs droits. C’est le droit de chaque fille de parler et d’être entendue, rappelle le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA).
Cette année, la première pilule contraceptive fête six décennies d’existence. L’accès aux contraceptifs est pourtant constamment menacé par divers facteurs, dont une stigmatisation et des idées reçues omniprésentes, ainsi que des problèmes structurels tels que des difficultés d’approvisionnement et des systèmes de santé manquant de ressources. Actuellement, la pandémie de COVID-19 vient s’ajouter à ces facteurs.
L’UNFPA travaille avec ses partenaires et les agents de santé en Haïti pour garantir un accès sûr aux services de santé maternelle, et pour encourager les femmes enceintes à continuer de consulter.