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baby turtle resting on the sand and a blurry human silhouette in the background

Des forêts aux tourbières en passant par les rivages, nous dépendons tous d'écosystèmes sains pour notre survie. Mais leur dégradation affecte déjà le bien-être de 40 % de la population mondiale. À l'occasion de la Journée mondiale de l'environnement 2021 (5 juin), il est urgent d'agir pour restaurer et guérir les écosystèmes que nous avons ravagés. Rejoignez la campagne « Réimaginer. Recréer. Restaurer. » menée par le Programme des Nations unies pour l'environnement et célébrez la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes, pour faire la paix avec la nature, mettre fin à la pauvreté, combattre les changements climatiques et mettre fin à l’extinction des espèces.

Illustration of a stretched-out hand with the globe on it

Malgré des progrès importants en matière de couverture des aires protégées et conservées, le monde est loin d'avoir respecté ses engagements en ce qui concerne la qualité de leur gestion et la quantité d'aires marines protégées.

Le fait que des quantités substantielles de nourriture soient produites mais non consommées par les humains a des impacts négatifs importants : environnementaux, sociaux et économiques.

A woman picks tea leaves in a field.

Les écosystèmes peuvent être grands, comme une forêt, ou petits, comme un étang. Nombre d'entre eux sont essentiels aux sociétés humaines, car ils fournissent aux gens de l'eau, de la nourriture, des matériaux de construction et une foule d'autres éléments essentiels.

Portrait of professor Éliane Ubalijoro

Alors que l'internet semble être partout, plus de 3 milliards de personnes dans le monde ne sont toujours pas connectées. Mme Ubalijoro fait partie d'une nouvelle initiative lancée par le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE), qui utilise la technologie numérique pour lutter contre certains des problèmes sociaux et environnementaux les plus difficiles à résoudre dans le monde. 

screen shot of climate data visualization

Cet outil du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) présente l’état du climat, ce qui se passe actuellement, les progrès accomplis et ce qui doit être fait pour faire face aux urgences climatiques.

Illustration of people holding signs that read: Stop polluting, no more plastics, protect our seas

Le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) explique comment le droit humain à la santé est compromis lorsque la planète est menacée.

cover of report with word CITY

Le Rapport de situation mondial 2021 sur les énergies renouvelables dans les villes dresse le bilan annuel de la transition mondiale vers les énergies renouvelables au niveau des villes. 

forest

Les gardes forestiers du Mt. Kenya Trust travaillent sans relâche pour protéger les forêts et la faune de la région contre les activités illégales telles que l'exploitation forestière et le braconnage. Leur mission consiste à protéger cet incroyable écosystème et à sensibiliser les communautés locales aux avantages de la conservation des forêts.

Des femmes cherchent des déchets plastiques à recycler dans la décharge de Dandora, à Nairobi, au Kenya. Chaque année, l'humanité déverse dans les écosystèmes l'équivalent de son propre poids en plastiques, ce qui représente environ 300 millions de tonnes par an.

Man carrying plastic water containers.

En 2018, le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) a uni ses forces à celles de la Fondation Ellen MacArthur pour s'attaquer à ce que les experts environnementaux appellent l'une des addictions les plus dangereuses au monde : les plastiques à usage unique. Aujourd'hui, presque à mi-chemin de l'échéancier de sept ans de cet Engagement mondial pour une nouvelle économie des plastiques, le PNUE et ses partenaires constatent que, bien que des progrès aient été réalisés, le monde doit intensifier les mesures pour enrayer la pollution plastique.

 

collage of photos

Faites la connaissance de sept femmes extraordinaires qui utilisent leur influence pour sauvegarder la planète !

A forest in the mist

La cinquième Assemblée des Nations Unies pour l'environnement (UNEA-5) a eu lieu virtuellement, les 22 et 23 février 2021. Elle a réuni des milliers de participants, dont plus de 1500 délégués de 153 États membres des Nations Unies et une soixantaine de ministres de l'environnement. Ces responsables politiques y ont réaffirmé le mandat du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) en tant que principale autorité mondiale en matière d'environnement et ont appelé à un multilatéralisme plus important et plus inclusif pour relever les défis environnementaux.

 

Selon le rapport du PNUE, le monde pourrait s'attaquer en même temps aux crises du climat, de la biodiversité et de la pollution. Ces crises exigent toutefois « une action urgente de la part de l'ensemble de la société », a fait valoir le chef de l'ONU.

Firefighters in Australia.

Les six dernières années ont été les plus chaudes jamais enregistrées depuis 1880. Parmi celles-ci, 2016, 2019 et 2020 ont été les trois plus chaudes, précise l'Organisation météorologique mondiale (OMM). En 2020, les températures ont dépassé de 1,2 degré Celsius celles de l'ère préindustrielle (1880). L'OMM prévoit, avec une probabilité de 20 %, que les températures augmenteront de 1,5°C dès 2024. « La vitesse à laquelle les températures augmentent est alarmante », affirme de son côté le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE). La dynamique mondiale de lutte contre le changement climatique doit s'intensifier à mesure que les températures augmentent.