Des papillons volent au-dessus d'une réserve
Napoleon fish in northeastern Indonesia.

Ce poisson étrange a trois bonnes nouvelles pour la biodiversité

Parfois appelé majestueusement « Napoléon », ce poisson à bosse est à la fois étonnant et attachant. Toutefois, ni son apparence intrigante, ni son rôle dans le maintien des écosystèmes marins ne lui ont permis d’être protégé. Or, il s'attaque aux animaux marins toxiques et aide au maintien en bonne santé du récif corallien.

Une tortue sur un littoral

Un équilibre entre croissance et durabilité

La République des Seychelles fait face à un vrai dilemme : trouver l’équilibre entre croissance et durabilité de ses ressources marines. D'une part l’océan est une source importante de croissance économique ; et de l'autre, il fait face à des menaces existentielles sans précédent. 

une grue en train de voler

Co-opérer pour co-exister

La Thaïlande s'est développée très rapidement ces trente dernières années mais la surexploitation des ressources naturelles du pays fait peser une lourde menace sur la biodiversité : 575 espèces sont sur la Liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et 1 058 espèces sont menacées à l'échelle nationale.

un plongeur sous la surface

Une beauté inimaginable

Nous avons perdu 50 % des récifs coralliens au cours des 20 dernières années ; plus de 90 % pourraient périr d'ici 2050. Avec une action urgente et une mobilisation rapide des ressources, nous pouvons désormais travailler ensemble pour relever le défi de sauver nos récifs coralliens.

vue embarquée dans une pirogue

De l’or dans les filets

La menace et les espoirs qui pèsent sur les ressources de thon sont révélateurs de la crise actuelle de la biodiversité, mais ils sont sûrement encore plus significatifs aujourd'hui qu’ils peuvent montrer la voie vers un avenir durable et meilleur.

des criquets pèlerins

Comment la Somalie a vaincu les criquets pèlerins grâce aux biopesticides

Pendant la crise du criquet pèlerin, survenue de 2019 à 2022, la FAO et le Gouvernement somalien ont œuvré conjointement pour lutter contre celle-ci, en ayant exclusivement recours aux biopesticides, aux régulateurs de croissance des insectes et à une technologie d’action précoce, devenant ainsi un exemple en matière de gestion antiacridienne dans le monde entier.