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Composition du Comité spécial des Vingt-Quatre

 Antigua-et-Barbuda

 Bolivie

 Chili

 Chine

 Congo

 Côte d'Ivoire

 Cuba

 Dominique

 Équateur

 Éthiopie

 Fidji

 Grenade

 Inde

 Indonésie

 Iran (République islamique d')

 Iraq

 Mali

 Nicaragua

 Papouasie-Nouvelle-Guinée

 Fédération de Russie[1]

 

 Saint-Kitts-et-Nevis

 Sainte-Lucie

 Saint-Vincent-et-les Grenadines

 Sierra Leone

 République arabe syrienne

 Timor-Leste

 Tunisie

 République-Unie de Tanzanie[2]

 Venezuela (République bolivarienne du)

Composition passée du Comité spécial de la décolonisation

Afghanistan, Australie, Bulgarie, Cambodge, Danemark, États-Unis d'Amérique, Finlande, Honduras, Italie, Madagascar, Norvège, Pologne, Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, Suède, Tchécoslovaquie/République tchèque[3], Trinité-et-Tobago, Uruguay, Yougoslavie[4]

[1] Dans une lettre datée du 24 décembre 1991, le Président de la Fédération de Russie, Boris Eltsine, a informé le Secrétaire général que la Fédération de Russie, avec l'appui des 11 pays membres de la Communauté d'États indépendants, succédait à l'Union soviétique au Conseil du sécurité et dans l'ensemble des autres organes des Nations Unies. 

[2] Le Tanganyika a été membre du Comité spécial de la décolonisation en 1962 et 1963. À la suite de la ratification, le 26 avril 1964, des Articles of Union (traité d'union) entre le Tanganyika et Zanzibar, la République-Unie du Tanganyika et de Zanzibar n'a alors plus occupé qu'un seul et unique siège au Comité et est devenue la République-Unie de Tanzanie le 1er novembre 1964.

[3] Dans une lettre datée du 10 décembre 1992, le Représentant permanent de la Tchécoslovaquie auprès de l'Organisation des Nations Unies a informé le Secrétaire général que la République fédérative tchèque et slovaque cesserait d'exister au 31 décembre pour donner naissance à la République tchèque et à la République slovaque, qui présenteraient prochainement leurs demandes d'admission à l'Organisation des Nations Unies. Le 19 janvier 1994, l'Assemblée générale a décidé d'admettre la République tchèque comme membre de l'Organisation des Nations Unies. La République tchèque a repris le siège que la Tchécoslovaquie occupait précédemment au Comité et s'est retirée de ce dernier le 1er janvier 1994.

[4] La République fédérative socialiste de Yougoslavie faisait partie des Membres fondateurs de l'Organisation des Nations Unies jusqu'à sa dissolution, après quoi de nouveaux Membres ont été admis : la Bosnie-Herzégovine, la République de Croatie et la République de Slovénie en 1992, l'ex-République yougoslave de Macédoine en 1993 et la République fédérale de Yougoslavie en 2000.