Cinquième Commission


AG/AB/4455

La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, s’est saisie aujourd’hui des incidences budgétaires de l’« Accord se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale » (A/78/L.41).

AG/AB/4453

La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a examiné aujourd’hui les commentaires de son Comité consultatif (A/78/743) sur le rapport du Secrétaire général (A/78/678) relatif au renforcement de l’application du principe de responsabilité au Secrétariat de l’ONU, un principe dont l’importance a été soulignée par le Groupe des 77 et la Chine ainsi que par la Suisse qui s’exprimait aussi au nom du Liechtenstein.

AG/AB/4452

Malgré l’opposition de plusieurs délégations dont celles de la Syrie, de la Fédération de Russie et de l’Iran, la Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a ouvert aujourd’hui l’enveloppe exacte de 2 991 700 dollars proposée par le Secrétaire général* pour la toute nouvelle Institution indépendante chargée de la question des personnes disparues en République arabe syrienne et ses 28 postes prévus, dont celui d’un sous-secrétaire général qui travaillera avec son équipe à Genève.

​AG/AB/4451​

C’est sous un ciel assombri par « l’état lamentable » de la trésorerie de l’ONU, comme l’ont constaté Singapour et la quasi-totalité de la vingtaine d’orateurs, que la Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a entamé, ce matin, sa première reprise de session consacrée principalement à la gestion des ressources humaines et l’application du principe de responsabilité au Secrétariat de l’ONU.

AG/AB/4450

La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a achevé ses travaux aujourd’hui avec deux semaines de retard avec l’adoption d’un budget de près de 3,6 milliards de dollars pour financer en 2024 le Secrétariat de l’ONU et ses 10 351 fonctionnaires chargés d’exécuter 28 programmes.  Celui de la « communication globale » a hérité d’une enveloppe supplémentaire pour permettre à la Section de la couverture des réunions de publier dans les quatre autres langues officielles de l’ONU, à savoir l’arabe, le chinois, l’espagnol et le russe.

AG/AB/4449

L’espoir que la Cinquième Commission, chargée des questions des questions administratives et budgétaires, achève ses travaux aujourd’hui s’est très vite envolé, comme en atteste le nouveau rendez-vous fixé d’emblée à la semaine prochaine.  Avant de suspendre sa séance, ce matin, et de décider de se revoir à 17 heures, les membres de la Commission ont examiné, dans une très brève séance, les incidences des variations des taux de change et d’inflation sur le projet de budget révisé du Mécanisme international appelé à exercer les fonctions résiduelles des Tribunaux pénaux, et celles des modifications du Statut et du Règlement du personnel.

AG/AB/4448

La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a rejeté ce matin un projet de résolution, présenté par la Fédération de Russie, demandant de supprimer du projet de texte sur la planification des programmes pour 2014 (A/C5/78/L4), le Mécanisme international, impartial et indépendant sur les violations les plus graves commises en Syrie depuis 2011.  L’amendement oral du Qatar demandant le contraire a été adopté par vote.

AG/AB/4447

Avant de plonger dans les incidences budgétaires, estimées à 49 millions de dollars, de 73 décisions et résolutions du Conseil des droits de l’homme en 2024, la Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a entendu une ferme mise au point de son président, M. Osama Mahmoud Abdel Khalek Mahmoud, de l’Égypte.

AG/AB/4446

La Cinquième Commission, chargée des questions administratives et budgétaires, a examiné, ce matin, les incidences sur le budget-programme 2024 de sept projets de résolution recommandés à l’Assemblée générale par la Deuxième Commission, chargée des questions économiques et financières, la Troisième, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles, et la Sixième, chargée des questions juridiques.  Un projet de la Deuxième Commission sur la coopération fiscale internationale est décrit comme « une lueur d’espoir pour les pays en développement » par le Groupe des États d’Afrique, auteur du texte.