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Assemblée générale des Nations Unies

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I. Questions d’organisation, questions administratives et autres questions

Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et les organisations régionales ou autres

a) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et l’Union africaine

La question de la coopération entre l’Organisation des Nations Unies et l’Organisation de l’unité africaine (OUA) a été examinée pour la première fois par l’Assemblée générale à sa vingtième session, en 1965 (résolution 2011 (XX)).

À ses vingt et unième, vingt-quatrième et vingt-sixième sessions, l’Assemblée a poursuivi l’examen de la question de la coopération entre les deux organisations en se concentrant sur des domaines précis (résolutions 2193 (XXI), 2505 (XXIV) et 2863 (XXVI)).

De sa vingt-septième à sa cinquante-septième session, l’Assemblée générale a examiné cette question chaque année dans le contexte élargi de la coopération entre l’OUA, désormais l’Union africaine, d’une part, et l’Organisation des Nations Unies, les institutions spécialisées et les autres organismes du système des Nations Unies, d’autre part (résolutions 2962 (XXVII), 3066 (XXVIII), 3280 (XXIX), 3412 (XXX), 31/13, 32/19, 33/27, 34/21, 35/117, 36/80, 37/15, 38/5, 39/8, 40/20, 41/8, 42/9, 43/12, 44/17, 45/13, 46/20, 47/148, 48/25, 49/64, 50/158, 51/151, 52/20, 53/91, 54/94, 55/218, 56/48 et 57/48).

À sa soixante et unième session, l’Assemblée générale s’est félicitée des efforts déployés pour resserrer la coopération, dans le cadre d’un partenariat entre les structures de paix et de sécurité de l’Organisation des Nations Unies et de l’Union africaine dans le domaine de la prévention et du règlement de conflits, de la gestion des crises, du maintien de la paix et de la consolidation de la paix après les conflits en Afrique; elle a engagé les organismes des Nations Unies à soutenir l’Union africaine et ses États membres dans les efforts qu’ils déploient pour parvenir aux objectifs de développement convenus au niveau international, y compris les objectifs du Millénaire pour le développement; et prié le Secrétaire général de lui rendre compte à sa soixante-troisième session de l’application de la résolution (résolution 61/296).

Documents :

  • Rapport du Secrétaire général (résolution 61/296), A/63/228-S/2008/531 (porte également sur les alinéas b), c), d), e), f) g), i), j), k), l), n), o), r), s), t) et u) du point 117).

Références concernant la soixante et unième session (point 108 a) de l’ordre du jour)

b) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et l’Organisation juridique consultative pour les pays d’Asie et d’Afrique

La question intitulée « Vingt-cinquième anniversaire du Comité consultatif juridique afro-asiatique » a été inscrite à l’ordre du jour de la trente-sixième session de l’Assemblée générale, en 1981, à la demande de 25 États Membres (A/36/191 et Add.1 et 2). À cette session, l’Assemblée a, entre autres choses, prié le Secrétaire général d’engager des consultations avec le Secrétaire général du Comité en vue de renforcer encore la coopération entre les deux organisations et d’en élargir la portée (résolution 36/38).

L’Assemblée générale a poursuivi l’examen de la question tous les ans de sa trente-sixième à sa quarante et unième session (résolutions 36/38, 37/8, 38/37, 39/47, 40/60 et 41/5) et tous les deux ans à partir de sa quarante-troisième session (résolutions 43/1, 45/4, 47/6, 49/8, 51/11, 53/14, 55/4, 57/36 et 59/3).

Par une lettre circulaire datée du 5 juillet 2001, le Secrétaire général de l’Organisation juridique consultative pour les pays d’Asie et d’Afrique a annoncé que le Comité consultatif juridique afro-asiatique serait désormais appelé Organisation juridique consultative pour les pays d’Asie et d’Afrique, conformément aux dispositions de la résolution 40/ORG 3 du 24 juin 2001.

À sa soixante et unième session, l’Assemblée générale a remercié l’Organisation consultative des activités qu’elle mène en vue d’appuyer l’action de l’Organisation des Nations Unies dans des domaines tels que la lutte contre la corruption, le terrorisme international et la traite des femmes et des enfants, ainsi que les questions des droits de l’homme; et prié le Secrétaire général de lui présenter, à sa soixante-troisième session, un rapport sur la coopération entre l’Organisation des Nations Unies et l’Organisation consultative (résolution 61/5).

Documents :

  • Rapport du Secrétaire général (résolution 61/5).

Références concernant la soixante et unième session (point 108 b) de l’ordre du jour)

c) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est

La question intitulée « Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est » a été inscrite en 2002 comme point subsidiaire additionnel à l’ordre du jour de la cinquante-septième session de l’Assemblée générale, à la demande du Cambodge, au nom des dix membres de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (A/57/233).

L’Assemblée générale a examiné cette question de sa cinquante-septième à sa cinquante-neuvième session (résolutions 57/35 et 59/5).

À sa soixante et unième session, l’Assemblée a encouragé l’Organisation des Nations Unies et l’Association à renforcer et élargir leurs domaines de coopération; et prié le Secrétaire général de lui présenter à sa soixante-troisième session un rapport sur l’application de la résolution (résolution 61/46).

Documents :

  • Rapport du Secrétaire général (résolution 61/46).

Références concernant la soixante et unième session (point 108 c) de l’ordre du jour)

d) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et l’Organisation de coopération économique de la mer Noire

Le statut d’observateur auprès de l’Assemblée générale a été octroyé à l’Organisation de coopération économique de la mer Noire à sa cinquante-quatrième session, en 1999 (résolution 54/5). L’Assemblée générale a examiné cette question de sa cinquante-cinquième à sa cinquante-neuvième session (résolutions 57/211, 57/34 et 59/259).

À sa soixante et unième session, l’Assemblée a invité le Secrétaire général à renforcer le dialogue avec l’Organisation de coopération économique de la mer Noire en vue de resserrer la coopération et la coordination entre les deux secrétariats; et prié le Secrétaire général de lui présenter à sa soixante-troisième session un rapport sur l’application de la résolution (résolution 61/4).

Documents :

Références concernant la soixante et unième session (point 108 d))

e) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et la Communauté des Caraïbes

Cette question a été inscrite à l’ordre du jour de la quarante-neuvième session de l’Assemblée générale, en 1994, à la demande de 12 États Membres (A/49/238). Depuis, l’Assemblée a poursuivi l’examen de la question tous les deux ans (résolutions 49/141, 51/16, 53/17, 55/17, 57/41 et 59/138).

À sa soixante et unième session, l’Assemblée générale a demandé au Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies de continuer à apporter son concours, en association avec le Secrétaire général de la Communauté des Caraïbes et les organisations régionales compétentes, à la promotion et au maintien de la paix et de la sécurité dans les Caraïbes; invité le Secrétaire général à continuer de promouvoir et d’élargir la coopération et la coordination entre les deux organisations afin de leur permettre d’être mieux à même d’atteindre leurs objectifs; invité les organismes des Nations Unies et les États Membres à accroître leur assistance financière et autre aux pays de la Communauté afin d’aider ceux-ci à mettre en œuvre les priorités du Cadre stratégique régional des Caraïbes sur le VIH/sida; demandé aux organismes des Nations Unies d’aider les pays des Caraïbes à faire face aux répercussions sociales et économiques de la vulnérabilité de leur économie et aux problèmes que pose cette vulnérabilité en ce qui concerne la réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement et de l’objectif de développement durable; et prié le Secrétaire général de lui présenter à sa soixante-troisième session un rapport sur l’application de la résolution (résolution 61/50).

Documents :

Références concernant la soixante et unième session (point 108 e) de l’ordre du jour)

f) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et la Communauté des pays de langue portugaise

Cette question a été inscrite à l’ordre du jour de la cinquante-neuvième session de l’Assemblée générale, en 2004, à la demande de l’Angola, du Brésil, du Cap-Vert, de la Guinée-Bissau, du Mozambique, du Portugal, de Sao Tomé-et-Principe et du Timor-Leste (A/59/231).

Le statut d’observateur auprès de l’Assemblée générale a été octroyé à la Communauté des pays de langue portugaise à la cinquante-quatrième session (résolution 54/10).

L’Assemblée générale a examiné cette question à sa cinquante-neuvième session (résolution 59/21).

À sa soixante et unième session, l’Assemblée générale a invité le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies à continuer d’organiser des consultations avec le Secrétaire exécutif de la Communauté des pays de langue portugaise en vue de promouvoir la coopération entre les deux secrétariats; invité le Secrétaire général et le Secrétaire exécutif à engager des consultations en vue d’envisager l’élaboration d’un accord de coopération officiel; et prié le Secrétaire général de lui présenter à sa soixante-troisième session un rapport sur l’application de la résolution (résolution 61/223).

Documents :

Références concernant la soixante et unième session (point 108 f) de l’ordre du jour)

g) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et le Conseil de l’Europe

Le 15 décembre 1951, le Conseil de l’Europe et le Secrétariat de l’Organisation des Nations Unies ont signé un accord et l’ont complété, le 19 novembre 1971, par l’Arrangement de coopération et de liaison entre les secrétariats du Conseil de l’Europe et de l’Organisation des Nations Unies. Les deux organisations ont continué de coopérer dans le cadre de cet accord et de cet arrangement.

La question intitulée « Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et le Conseil de l’Europe » a été inscrite à l’ordre du jour de la cinquante-cinquième session de l’Assemblée générale, en 2000, à la demande de l’Italie (A/55/19).

L’Assemblée générale a examiné cette question de sa cinquante-cinquième à sa cinquante-septième session et à sa cinquante-neuvième session (résolutions 55/3, 56/3, 57/156 et 59/139).

À sa soixante et unième session, l’Assemblée générale a prié les Secrétaires généraux de l’Organisation des Nations Unies et du Conseil de l’Europe de conjuguer leurs efforts pour apporter des réponses aux défis mondiaux, dans les limites de leurs mandats respectifs; et prié le Secrétaire général de lui présenter, à sa soixante-troisième session, un rapport sur la coopération entre les deux organisations dans l’application de la résolution (résolution 61/13).

Documents :

Références concernant la soixante et unième session (point 108 g) de l’ordre du jour)

h) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et la Communauté économique des États d’Afrique centrale

Cette question a été inscrite à l’ordre du jour de la cinquante-cinquième session de l’Assemblée générale, en 2000, à la demande de la Guinée équatoriale (A/55/233).

L’Assemblée générale a examiné cette question de sa cinquante-cinquième à sa cinquante-septième session et à sa cinquante-neuvième session (résolutions 55/22, 56/39, 57/40 et 59/310). À la reprise de sa cinquante-cinquième session en septembre 2001, l’Assemblée a décidé qu’à partir de la cinquante-septième session, le point relatif à la coopération serait examiné tous les deux ans (résolution 55/285).

À sa soixante-deuxième session, au titre du point intitulé « Examen et application du Document de clôture de la douzième session extraordinaire de l’Assemblée générale : Mesures de confiance à l’échelon régional : activités du Comité consultatif permanent des Nations Unies chargé des questions de sécurité en Afrique centrale », l’Assemblée générale a encouragé les États membres de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale à poursuivre leurs efforts visant à rendre le mécanisme d’alerte rapide en Afrique centrale pleinement opérationnel; et prié le Secrétaire général d’apporter l’appui nécessaire à son bon fonctionnement (résolution 62/53).

Documents :

Références concernant la cinquante-cinquième session (points 61 et 62 de l’ordre du jour)
Références concernant la soixante et unième session (point 108 h) de l’ordre du jour)

i) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et l’Organisation de coopération économique

Le statut d’observateur auprès de l’Assemblée générale a été octroyé à l’Organisation de coopération économique à la quarante-huitième session, en 1993 (résolution 48/2). L’Assemblée a examiné la question de sa cinquantième à sa cinquante-septième session et à sa cinquante-neuvième session (résolutions 50/1, 51/21, 52/19, 53/15, 54/100, 55/42, 56/44, 57/38 et 59/4).

À sa soixante et unième session, l’Assemblée générale a invité les organismes compétents des Nations Unies et la communauté internationale à continuer d’apporter une assistance technique appropriée aux États membres de l’Organisation de coopération économique pour mettre au point et renforcer leur système d’alerte rapide, leur planification préalable et leur capacité d’intervention immédiate et de relèvement, en vue de réduire les pertes en vies humaines causées par les catastrophes naturelles et les maladies infectieuses et d’en atténuer les effets socioéconomiques; et prié le Secrétaire général de lui présenter à sa soixante-troisième session un rapport sur l’application de la résolution (résolution 61/12).

Documents :

Références concernant la soixante et unième session (point 108 i) de l’ordre du jour)

j) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et la Communauté économique eurasienne

Le statut d’observateur auprès de l’Assemblée générale a été octroyé à la Communauté économique eurasienne à la cinquante-huitième session, en 2003 (résolution 58/84). À sa soixante et unième session, l’Assemblée a invité le système des Nations Unies à promouvoir le dialogue avec les organismes de coopération régionale et sous-régionale qui comptent parmi leurs membres des pays en transition et dont les efforts visent notamment à aider leurs membres à s’intégrer pleinement dans l’économie mondiale, et à accroître l’appui dont ils bénéficient (résolution 61/210).

La question intitulée « Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et la Communauté économique eurasienne » a été inscrite à l’ordre du jour de la soixante-deuxième session de l’Assemblée générale, à la demande du Bélarus, de la Fédération de Russie, du Kazakhstan, du Kirghizistan, de l’Ouzbékistan et du Tadjikistan (A/62/195). À la même session, l’Assemblée a pris note des activités menées par la Communauté économique eurasienne à l’appui du renforcement de la coopération régionale; invité le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies à tenir des consultations régulières avec le Secrétaire général de la Communauté économique eurasienne; invité les institutions spécialisées et les autres organisations, fonds et programmes des Nations Unies ainsi que les institutions financières internationales à coopérer et à établir des contacts directs avec la Communauté économique eurasienne; prié le Secrétaire général de lui présenter à sa soixante-troisième session un rapport sur l’application de la résolution; Et décidé d’inscrire à l’ordre du jour provisoire de sa soixante-troisième session la question subsidiaire intitulée « Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et la Communauté économique eurasienne « (résolution 62/79).

Documents :

Références concernant la soixante-deuxième session (point 163 de l’ordre du jour)
  • Lettre datée du 9 août 2007, adressée au Secrétaire général par les représentants du Bélarus, de la Fédération de Russie, du Kazakhstan, du Kirghizistan, de l’Ouzbékistan et du Tadjikistan auprès de l’Organisation des Nations Unies (A/62/195)
  • Projet de résolution A/62/L.14 et A/62/L.14/Add.1
  • Séance plénière A/62/PV.62
  • Résolution 62/79

k) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et l’Organisation internationale de la Francophonie

La question intitulée « Statut d’observateur pour l’Agence de coopération culturelle et technique auprès de l’Assemblée générale » a été inscrite à l’ordre du jour de la trente-troisième session de l’Assemblée, en 1978, à la demande de 21 gouvernements (A/33/242). Le statut d’observateur auprès de l’Assemblée a été octroyé à l’Agence à cette même session (résolution 33/18).

L’Assemblée générale a examiné la question à ses cinquantième, cinquante-deuxième, cinquante-quatrième, cinquante-sixième, cinquante-septième et cinquante-neuvième sessions (résolutions 50/3, 52/2, 54/25, 56/45, 57/43 et 59/22).

À sa cinquante-troisième session, l’Assemblée générale a décidé que l’Organisation internationale de la Francophonie participerait, en qualité d’observateur, à ses sessions et travaux et à ceux de ses organes subsidiaires à la place de l’Agence de coopération culturelle et technique (décision 53/453).

À sa soixante et unième session, l’Assemblée générale a invité le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies à continuer, en consultation avec le Secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie, de promouvoir la coopération entre les deux organisations; et prié le Secrétaire général de lui présenter à sa soixante-troisième session un rapport sur l’application de la résolution (résolution 61/7).

Documents :

Références concernant la soixante et unième session (point 108 j) de l’ordre du jour)

l) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et l’Union interparlementaire

Cette question a été inscrite à l’ordre du jour de la cinquantième session de l’Assemblée générale, en 1995, à la demande du Sénégal (A/50/141 et Corr.2 et Add.1, Add.2 et Add.3).

L’Assemblée a examiné la question de sa cinquantième à sa cinquante-septième session et à sa cinquante-neuvième session (résolutions 50/15, 51/7, 52/7, 53/13, 54/12, 55/19, 56/46, 57/47 et 59/19).

À sa soixante et unième session, l’Assemblée générale a engagé l’Organisation des Nations Unies et l’Union interparlementaire à continuer, compte tenu de l’importance des effets bénéfiques de la coopération entre les deux organisations, de coopérer étroitement dans différents domaines, en particulier ceux de la paix et de la sécurité, du développement économique et social, du droit international et des droits de l’homme, ainsi que de la démocratie et des problèmes d’égalité entre les sexes (résolution 61/6).

Documents :

Références concernant la soixante et unième session (point 108 k) de l’ordre du jour)

m) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et le Système économique latino-américain

Cette question a été inscrite à l’ordre du jour de la quarante-deuxième session de l’Assemblée générale, en 1987, à la demande de la Bolivie, du Mexique, du Pérou et de l’Uruguay (A/42/192 et A/42/192/ADD.1 et A/42/192/ADD.2).

L’Assemblée générale l’a examinée de sa quarante-deuxième à sa cinquantième session et à ses cinquante-deuxième, cinquante-quatrième, cinquante-sixième, cinquante-septième et cinquante-neuvième sessions (résolutions 42/12, 43/5, 44/4, 45/5, 46/12, 47/13, 48/22, 49/6, 50/14, 52/3, 54/8, 56/98, 57/39 et 59/258).

À la reprise de sa cinquante-cinquième session en septembre 2001, l’Assemblée a décidé qu’à partir de la cinquante-septième session, le point relatif à la coopération serait examiné tous les deux ans (résolution 55/285).

Documents :

Références concernant la soixante et unième session (point 108 l) de l’ordre du jour)

n) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et la Ligue des États arabes

Cette question a été inscrite à l’ordre du jour de la trente-sixième session de l’Assemblée générale, en 1981, à la demande de l’Algérie (A/36/196).

L’Assemblée générale l’a examinée de sa trente-septième à sa cinquante-neuvième session (résolutions 37/17, 38/6, 39/9, 40/5, 41/4, 42/5, 43/3, 44/7, 45/82, 46/24, 47/12, 48/21, 49/14, 50/16, 51/20, 52/5, 53/8, 54/9, 55/10, 56/40, 57/46 et 59/9).

À sa soixante et unième session, l’Assemblée générale a prié le Secrétaire général de continuer à s’employer à renforcer la coopération et la coordination entre l’Organisation des Nations Unies et d’autres organismes et institutions des Nations Unies et la Ligue des États arabes et ses organisations spécialisées; et prié le Secrétaire général de lui présenter à sa soixante-troisième session un rapport sur l’application de la résolution (résolution 61/14).

Documents :

Références concernant la soixante et unième session (point 108 m) de l’ordre du jour)

o) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques

Cette question a été inscrite à l’ordre du jour de la cinquante et unième session de l’Assemblée générale, en 1997, à la demande des Pays-Bas (A/51/238). À la même session, l’Assemblée a invité le Secrétaire général à prendre des mesures en vue de conclure avec le Directeur général du Secrétariat technique de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques un accord entre celle-ci et l’Organisation des Nations Unies qui régirait les relations entre les deux organisations et serait appliqué provisoirement dès sa signature en attendant l’accomplissement des formalités nécessaires à son entrée en vigueur, ainsi qu’à lui soumettre pour approbation le projet de texte négocié de cet accord (résolution 51/230).

À sa cinquante-cinquième session, à la demande des Pays-Bas (A/55/234), l’Assemblée générale a décidé d’inscrire la question à l’ordre du jour de la session (voir A/55/PV.35). Le 17 octobre 2000, la Vice-Secrétaire générale de l’Organisation des Nations Unies et le Directeur général de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques ont signé l’Accord sur les relations entre l’Organisation des Nations Unies et l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (A/55/988, annexe), que l’Assemblée générale a ensuite approuvé (résolution 55/283, annexe). À sa cinquante-sixième session, l’Assemblée s’est félicitée de l’entrée en vigueur de l’Accord (résolution 56/42).

L’Assemblée générale a examiné cette question à ses cinquante-septième et cinquante-neuvième sessions (résolutions 57/45 et 59/7).

À sa soixante et unième session, l’Assemblée générale a pris note du rapport annuel pour 2004 et du projet de rapport pour 2005 de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques, présentés au nom de celle-ci par son directeur général (voir A/61/185) (résolution 61/224). À sa soixante-deuxième session, le Secrétaire général a présenté le rapport annuel pour 2005 et le projet de rapport pour 2006 (voir A/62/139).

Documents :

  • Note du Secrétaire général transmettant le rapport annuel de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques pour 2006 et le projet de rapport pour 2007 (résolution 61/224), A/63/155.

Références concernant la soixante et unième session (point 108 n) de l’ordre du jour)

p) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe

La question intitulée « Coordination des activités de l’Organisation des Nations Unies et de la Conférence pour la sécurité et la coopération en Europe » a été inscrite à l’ordre du jour de la quarante-septième session de l’Assemblée générale, en 1992, à la demande de la Tchécoslovaquie (A/47/192). Le statut d’observateur auprès de l’Assemblée générale a été octroyé à la Conférence à la quarante-huitième session (résolution 48/5).

Au Sommet de Budapest, en décembre 1994, les États participants ont décidé de donner à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe, avec effet au 1er janvier 1995, le nouveau nom d’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).

L’Assemblée générale a examiné la question de sa quarante-neuvième à sa cinquante-septième session (résolutions 49/13, 50/87, 51/57, 52/20, 53/85, 54/117, 55/179, 56/216 et 57/298).

À sa cinquante-neuvième session, l’Assemblée générale, sur la demande de la Slovénie (A/59/908), a décidé de reporter l’examen de la question subsidiaire et de l’inscrire au projet d’ordre du jour de la soixantième session, étant entendu que cette question subsidiaire relèverait à nouveau de la question intitulée « Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et les organisations régionales et autres » qui devait être inscrite à l’ordre du jour de la soixante et unième session et qui serait examinée tous les deux ans, conformément à la résolution 55/285 (décision 59/567).

Aucune documentation préalable n’est prévue.

q) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et l’Organisation des États américains

Cette question a été inscrite à l’ordre du jour de la quarante-deuxième session de l’Assemblée générale, en 1987, à la demande de 12 États Membres (A/42/191 et A/42/191/Add.1 et A/42/191/Add.2).

L’Assemblée générale a examiné la question à ses quarante-deuxième et quarante-troisième sessions et tous les deux ans par la suite (résolutions 42/11, 43/4, 45/10, 47/11, 49/5, 51/4, 53/9, 55/15 et 57/157).

À sa cinquante-neuvième session, l’Assemblée générale a demandé instamment que des ressources soient mobilisées au plus vite afin de répondre aux besoins les plus immédiats des Caraïbes, en particulier Haïti et la Grenade; demandé à l’Organisation des Nations Unies et à l’Organisation des États américains de maintenir le dialogue et la coordination intrarégionaux en vue de freiner le trafic illicite d’armes; et demandé l’accroissement des moyens financiers et le renforcement des programmes nationaux et régionaux dans le cadre de la lutte contre le VIH/sida, ainsi qu’une plus grande disponibilité des médicaments nécessaires, à des prix raisonnables (résolution 59/257).

L’Assemblée générale a également examiné la question à sa soixante et unième session.

Documents :

Références concernant la soixante et unième session (point 108 p) de l’ordre du jour)

r) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et l’Organisation de la Conférence islamique

La question intitulée « Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et l’Organisation de la Conférence islamique » a été inscrite à l’ordre du jour de la trente-cinquième session de l’Assemblée générale, en 1980, à la demande du Pakistan (A/35/192).

L’Assemblée générale l’a examinée de sa trente-cinquième à sa cinquante-septième session et à sa cinquante-neuvième session (résolutions 35/36, 36/23, 37/4, 38/4, 39/7, 40/4, 41/3, 42/4, 43/2, 44/8, 45/9, 46/13, 47/18, 48/24, 49/15, 50/17, 51/18, 52/4, 53/16, 54/7, 55/9, 56/47, 57/42 et 59/8).

À sa soixante et unième session, l’Assemblée générale s’est félicitée des efforts déployés par l’Organisation des Nations Unies et l’Organisation de la Conférence islamique pour resserrer encore leur coopération dans les domaines d’intérêt commun et pour trouver des moyens novateurs de renforcer les modalités de cette coopération; et prié le Secrétaire général de lui rendre compte, à sa soixante-troisième session, de l’état de la coopération entre l’Organisation des Nations Unies et l’Organisation de la Conférence islamique (résolution 61/49).

Documents :

Références concernant la soixante et unième session (point 108 q) de l’ordre du jour)

s) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et le Forum des îles du Pacifique

Cette question a été inscrite à l’ordre du jour provisoire de la cinquante-sixième session de l’Assemblée générale, en 2001, à la demande de Kiribati (A/56/144, annexe).

L’Assemblée générale l’a examinée à ses cinquante-sixième, cinquante-septième et cinquante-neuvième sessions (résolutions 56/41, 57/37 et 59/20).

À sa soixante et unième session, l’Assemblée générale a demandé que l’Organisation des Nations Unies continue d’aider le Forum des îles du Pacifique à faciliter la mise en œuvre en temps opportun par ses membres des activités prévues par l’Organisation des Nations Unies, et invité les États à contribuer au Fonds d’affectation spéciale de Biketawa pour l’élaboration de mesures de confiance et la prévention des conflits; prié le Département des affaires politiques du Secrétariat et le Programme des Nations Unies pour le développement de promouvoir, avec le concours du Forum des îles du Pacifique, des missions conjointes d’évaluation des besoins en matière de coopération dans la région; invité le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme à contribuer à l’action régionale visant à mieux faire connaître tous les traités internationaux relatifs aux droits de l’homme, en fournissant un appui technique à cet effet aux membres du Forum des îles du Pacifique; et prié le Secrétaire général de lui présenter à sa soixante-troisième session un rapport sur l’application de la résolution (résolution 61/48).

Documents :

Références concernant la soixante et unième session (point 108 r) de l’ordre du jour)

t) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et la Commission préparatoire de l’Organisation du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires

Cette question a été inscrite à l’ordre du jour de la cinquante-quatrième session de l’Assemblée générale, en 1999, à la demande de l’Autriche (A/54/191). À cette session, l’Assemblée a invité le Secrétaire général à faire le nécessaire en vue de conclure avec le Secrétaire exécutif de la Commission préparatoire de l’Organisation du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires un accord destiné à régir les relations entre l’Organisation des Nations Unies et la Commission préparatoire, qui devrait être soumis à son approbation (résolution 54/65).

Le 26 mai 2000, le Secrétaire général de l’ONU et le Secrétaire exécutif de la Commission préparatoire ont signé un accord, qui a été approuvé par l’Assemblée (résolution 54/280, annexe).

L’Assemblée générale a examiné cette question de sa cinquante-quatrième à sa cinquante-septième session et à sa cinquante-neuvième session (résolutions 54/280, 56/49, 57/49, 59/6 et décision 55/408).

À sa soixante et unième session, l’Assemblée générale a pris acte du rapport du Secrétaire exécutif de la Commission préparatoire de l’Organisation du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires pour l’année 2005 (voir A/61/184) (résolution 61/47). À sa soixante-deuxième session, le Secrétaire général a présenté le rapport pour l’année 2006 (A/62/135).

Documents :

  • Note du Secrétaire général transmettant le rapport du Secrétaire exécutif de la Commission préparatoire de l’Organisation du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires pour 2007 (résolution 61/47), A/63/156.

Références concernant la soixante et unième session (point 108 s) de l’ordre du jour)
  • Note du Secrétaire général transmettant le rapport du Secrétaire exécutif de la Commission préparatoire de l’Organisation du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires pour 2005 (A/61/184)
  • Rapport du Secrétaire général A/61/256, quatrième partie
  • Projet de résolution A/61/L.18 et Add.1
  • Séances plénières A/61/PV.38, 39 et 65
  • Résolution 61/47

u) Coopération entre l’Organisation des Nations Unies et la Communauté de développement de l’Afrique australe

La question de la coopération entre l’Organisation des Nations Unies et la Conférence pour la coordination du développement de l’Afrique australe a été inscrite à l’ordre du jour de la trente-septième session de l’Assemblée générale, en 1982, à la demande du Botswana, au nom des États membres de la Conférence (résolution 37/248). Le 17 août 1992, la Conférence pour la coordination du développement de l’Afrique australe est devenue la Communauté de développement de l’Afrique australe.

L’Assemblée générale a poursuivi l’examen de la question de sa trente-huitième à sa quarantième session et, par la suite, tous les deux ans, de sa quarante-deuxième à sa cinquante-quatrième session, ainsi qu’à ses cinquante-sixième, cinquante-septième et cinquante-neuvième sessions (résolutions 38/160, 39/215, 40/195, 42/181, 44/221, 46/160, 48/173, 50/118, 52/204, 54/227, 57/44 et 59/140, et décision 56/443).

À sa soixante et unième session, l’Assemblée générale a demandé à la communauté internationale d’étoffer son soutien aux mesures prises par la Communauté de développement de l’Afrique australe pour combattre le VIH et le sida, ainsi que d’autres maladies transmissibles; prié le Secrétaire général, agissant en consultation avec le Secrétaire exécutif de la Communauté, d’intensifier les contacts en vue d’encourager et d’harmoniser la coopération entre les deux organisations; et prié également le Secrétaire général de lui présenter, à sa soixante-troisième session, un rapport sur la coopération entre l’Organisation des Nations Unies et la Communauté (résolution 61/51).

Documents :

Références concernant la soixante et unième session (point 108 t) de l’ordre du jour)

Liens :

Source : A/63/100