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National Implementation of Agenda 21

PROFIL DE MONACO

APPLICATION D'ACTION 21:
EXAMEN DES PROGRÈS ACCOMPLIS DEPUIS LA
CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR
L'ENVIRONNEMENT ET LE DÉVELOPPEMENT, 1992

Information soumise par le Gouvernement de Monaco auprès de la
Commission du développement durable des Nations Unies
Cinquième Session
Du 7 au 25 avril 1997
New York

Département de la coordination des politiques et du développement durable
Division du développement durable
Le Profil de Monaco apparaît dans le world wide web:
http://www.un.org/dpcsd/earthsummit

MONACO

Le Profil de Monaco a été soumis par:

Nom du Ministère/Bureau: Ministère d'Etat - Direction des Relations Extérieures

Date: 15.10.96

Soumis par (nom du fonctionnaire): S.E.M. Bernard FAUTRIER

Ministre Plénipotentiaire

Addresse postale: Direction des Relations Extérieur

16, Bd. de Suisse -MC98000 MONACO

Téléphone: 377.93.15.83.33

Téléfax: +377.93.15.88.88

Addresse électronique:

Note du Secrétariat: Nous avons essayé d'attribuer un nombre exact de pages pour chaque profil. Cependant, le Secrétariat s'est permis de réduire le nombre de pages pour ces profils dont les gouvernements n'ont pas rempli les tableaux des chapitres 4 et 17, et en même temps pour ne pas gaspiller du papier. Par conséquent, on peut trouver certaines inconsistances parmi les profils des différents pays.

Tous les statistiques apparaîssent telles que fournies par chaque gouvernement.

TABLE DES MATIERE

SIGLES ET ACRONYMES
SITUATION GÉNÉRALE
FICHE DOCUMENTAIRE
CHAPITRES D'ACTION 21
2. Coopération internationale visant à accélérer un développement durable dans les pays en développement et politiques internationales
3. Lutte contre la pauvreté
4. Modification des modes de consommation
5. Dynamique démographique et durabilité
6. Protection et promotion de la santé
7. Promotion d'un modèle viable d'etablissements humains
8. Intégration du processus de prise de décisions sur l'environnement et le développement
9. Protection de l'atmosphère
10. Conception intégrée de la planification de la gestion des terres
11. Lutte contre le déboisement
12. Gestion des écosystèmes fragiles: lutte contre la désertification et la sécheresse
13. Gestion des écosystèmes fragiles: mise en valeur durable des montagnes
14. Promotion d'un développement agricole et rural durable
15. Préservation de la diversité biologique
16. Gestion écologiquement rationnele des biotechniques
17. Protection des océans et des toutes les mers _ y compris les mers fermées et semi-fermées - et des zones côtières et protection, utilisation rationnelle et mise en valeur de leurs ressources biologiques
18. Protection des ressources en eau douce et de leur qualité: application d'approches intégrées de la mise en valeur, de la gestion et de l'utilisation des ressources en eau
19. Gestion écologiquement rationnelle des substances chimiques toxic, y compris la prévention du trafic international illicite de produits toxiques et dangereux
20. Gestion écologiquement rationnelle des déchets dangereux, y compris la prévention du trafic international illicite de déchets dangereux
21. Gestion écologiquement rationnelle des déechets solides et questions relatives aux eaux usées
22. Gestion sûre et écologiquement rationnelle des déchets radioactifs
23-32 Principaux groupes
33. Ressources et mécanismes financiers
34. Tranfer de techniques écologiquement rationnelles, coopération et création de capacités
35. La science au service d'un développement durable
36. Promotion de l'éducation, de la sensibilisation du public et de la formation
37. Mécanismes nationaux et coopération internationale pour le renforcement des capacités dans les pays en développement
38. Arrangements institutionels internationaux
39. Instruments et mécanismes juridiques internationaux
40. L'information pour la prise de décisions

ACRONYMS

AIEA Agence internationale de l'énergie atomique
APELL Sensibilisation et préparation aux accidents industriels

au niveau local

CEA Commission économique pour l'Afrique
CEAO Communauté économique de l'Afrique de l'Ouest
CEE Commission économique pour l'Europe
CEPALC Commission éconimique pour l'Amérique latine et les Caraïbes
CESAP Commission économique pour l'Asie et le Pacifique
CFC Chlorofluorocarbone
CFPI Commission de la fonction publique internationale
CGIAR Groupe consultatif de la recherche agricole internationale
CIEM Conseil international pour l'exploration de la mer
CILE Centre international de liaison pour l'environnement
CILSS Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse

dans le Sahel

CIRC Centre international de recherche sur le cancer
CIUS Conseil international des unions scientifique
CMA Conseil mondial d l'alimentation
CNUCED Conférence des Nations Unies sur le commerce et le

développement

COI Commission océanographique internationale
FAO Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et

l'agriculture

FIDA Fonds international de développement agricole
FMI Fonds monétaire international
FNUAP Fonds des Nations Unies pour la population
WTO Organisation mundial du commerce
GEMS Système mondial de surveillance continue de l'environnement
GEMS/EAU Programme mondial de surveillance de la qualitéde l'eau
GESAMP Groupe mixte de'experts chargé d'étudier les aspects

scientifiques de la pollution des mers

GIPME Étude mondiale de la pollution dans le milieu marin (UNESCO)
GRID Base de données sur les ressouces mondiales (GEMS)
INFOTERRA Système international d'information sur l'environnement
IPCC Groupe intergovernemental de l'évolution du climat (OMM/PNUE)
MARPOL Convention internationale pour la prévention de la pollution

par les navires

OCDE Organisation de coopération et développement conomiques
OIT Organisation internationale du Travail
OMI Organisation maritime internationale
OMM Organisation météreologique mondiale
OMS Organisation mondiale de la santé
ONUDI Organisation des Nation Unies pour le d'éveloppement

industriel

PCM Programme climatologique mondial (CIUS/OMM/UNESCO)
PIGB Programme international concernant la géosphère et la

biosphère

PNUD Programme des Nations Unies pour le développement
PNUE Programme des Nations Unies pour l'environnement
RISCPT Registre international des substances chimiques

potentiellement toxiques

SGP Système généralisé de préférences
SIG Système d'information géographique
SMO Système mundial d'observation (OMM/VMM)
UICN Union internationale pour la conservation de la nature et

de ses ressources

UNDRO Bureau du Coodonnateur des Nations Unies pour les secours

en cas de catastrophe

UNESCO Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science

et la culture

UNICEF Fonds des Nations Unies pour l'enfance
UNIDO Organisation des Nations Unies pour le développement

industriel

UNU Université des Nations Unies
VAG Veille de l'atmosphère globale (OMM)
VIH Virus de l'immunodéficience humaine
VMM Veille météorologique mondiale (OMM)
ZEE Zone économique exclusive

SITUATION GÉNÉRALE

(Vous pouvez utiliser les pages iv et v pour présenter brièvement votre position nationale cinq ans après la CNUED)

Aucune information.

FICHE DOCUMENTAIRE

NOM DU PAYS : MONACO

1. Nom du/des principal(aux) mécanisme(s)/conseil(s) de coordination nationale du développement durable.

Pas de Commission. Contacter l'auteur du Rapport. (Cf. Pg 1) ou le Service de l'Environnement.

Personne à contacter (Nom, titre, bureau) : Service de l'Environnement - Monsieur Patrick VAN KLAVEREN

Téléphone : + 377.93.15.81.49

Fax : + 377.92.05.28.91

Adresse électronique : PVK @ MCN.MC

Adresse postale : 3, avenue de Fontvieille - MC 98000 MONACO

2. Liste des membres/composition/présidence :

2a. Liste des ministères et organismes intervenus :

- Département des Travaux Publics et Affaires Sociales - Monsieur Michel SOSSO - Conseiller de Gouvernement

- Service des Relations Extérieures

2b. Noms des organismes para-étatiques et des institutions intervenus ainsi que ceux des universitaires et des représentants du secteur privé qui ont participé à ce travail :

2c. Noms des organisations non gouvernementales intervenues :

- Association Monégasque pour la Protection de la Nature

14, Quai Albert 1er

MC 98000 MONACO

Monsieur Eugène DEBERNARDI, Président

- Jeune Chambre Economique de Monaco

1, avenue des Castelans

MC 98000 MONACO

3. Rôle assigné au mécanisme/conseil susmentionné :

4. Joindre, si possible, un schéma (organigramme) indiquant la structure de la coordination nationale ainsi que les articulations entre ministères :

ACTION 21 CHAPITRE 2 : COOPÉRATION INTERNATIONALE VISANT À ACCÉLÉRER UN DÉVELOPPEMENT DURABLE DANS LES PAYS EN DÉVELOPPEMENT ET POLITIQUES NATIONALES CONNEXES (avec accent spécial sur le COMMERCE)

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

La Principauté de Monaco souscrit pleinement aux principes développés par la CNUED et en particulier au travers de sa coopération multilatérale et bilatérale centrée sur les pays méditerranéens.

Aspects multisectoriels

1. Structure de la prise des décisions : Aucune information.

2. Renforcement des capacités/technologie : Aucune information.

3. Principaux groupes : Aucune information.

4. Aspects financiers : Aucune information.

5. Coopération régionale/internationale :

Plan d'action pour la Méditerranée (UNEP)

Commission Méditerranéenne pour le Développement Durable

Processus Un Environnement pour l'Europe

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES

ACTION 21 CHAPITRE 3 : LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

Orientation générale de la stratégie nationale

La Principauté ne rencontre pas de problème important de pauvreté.

Ses actions ponctuelles dans ce domaine sont conduites par l'Office d'Assistance Sociale, les services sociaux de la Commune ou les associations caritatives (Croix Rouge monégasque entre autres). Le chômage touche moins de 4% de la population active, mais avec très peu de chômage de longue durée.

De nombreuses actions visent les questions de la protection de l'enfance lorsque les parents rencontrent des difficultés financières.

Indiquez les activités qui ont pour objet les pauvres et leurs incidences sur l'environnement

Aucune information.

Aspects intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions :

L'Office d'Assistance Sociale, Etablissement Public, est chargé de l'aide aux personnes en difficultés.

Diverses Associations caritatives et organisations non gouvernementale concourent également à cette action.

2. Renforcement des capacités/technologie : Aucune information.

3. Principaux groupes :

Les personnes sans emploi ou les personnes en difficulté passagère sont celles qui constituent le Groupe majoritaire.

4. Aspects financiers :

L'aide sociale représente au total 11.2% des dépenses de l'Etat. Le système d'Allocation au chômeur est géré dans le cadres du système global de prévoyance sociale. Il est basé sur une cotisation des salariés et des patrons. Il ne pose pas présentement de problème de financement.

5. Coopération régionale/internationale :

NB : Les pays développés où la lutte contre la pauvreté interne n'est pas un sujet majeur de préoccupation souhaiteront peut-être dire brièvement ici quelle est leur position en ce qui concerne la lutte contre la pauvreté dans le monde.

La Principauté s'efforce à la mesure de ses dimensions, d'engager des actions de coopération - notamment à travers les organisations non gouvernementales - pour lutter contre la pauvreté dans les pays en développement, notamment par le biais de deux Associations :

- Association Mondiale des Amis de l'Enfance

- Croix Rouge

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
1985 1990 1992 Dernière année connue 1995
Chômage (%)
3.5%
-
-
2.71%
Population vivant dans un état de pauvreté absolue
-
-
-
-
Dépenses publiques pour le secteur social %
11,2%
Autres données

ACTION 21 CHAPITRE 4 : MODIFICATION DES MODÈLES DE CONSOMMATION

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

Objectifs/orientation générale de la politique nationale

La population de la Principauté est sensible aux modifications de comportement de consommation, sous l'influence des médias. Les services de l'Education Nationale jouent un rôle primordial dans ce domaine. Les Pouvoirs Publics ont par ailleurs engagé diverses actions pour faire évoluer les comportements en matière de consommation d'énergie d'une part avec des réglementations restreignant l'usage de fuel et du gaz au profit de l'énergie électrique, ainsi que des actions dans le domaine des déchets avec notamment récupération sélective du paper et du verre.

Une attention toute particulière a été apportée dans le domaine des transports (voir au chapitre 8 à 9).

Objectifs nationaux

Aucune information.

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions : Aucune information.

2. Problème de renforcement des capacités/technologie : Aucune information.

3. Principaux groupes : Aucune information.

4. Aspects financiers : Aucune information.

5. Coopération régionale/internationale :

Monaco participe aux travaux de la C.S.D. et du P.N.U.E.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
1985 1990 1992 Dernière année connue 1993
PIB par habitant (en dollars É.-U. courants)
20.700
Croissance réelle du PIB (%)
Consommation annuelle d'énergie par habitant (en kg d'équivalent-pétrole par habitant)
996
1273
1362
Véhicules à moteur en circulation pour 1 000 habitants
852
881
882
885
Autres données

Politiques gouvernementales ayant des incidences sur la consommation et la production

1. Objectifs et agents (parties prenantes)

Marquez d'une coche (X) les agents que la politique de votre gouvernement vise le plus à influencer.

Agents

Objectifs

Producteurs Autorités
locales
Administration
centrale
Ménages Société civile
Efficacité matérielle
Rendement énergétique :
Transport
X
X
Logement
X
Divers
X
X
Déchets :
Réduire
X
X
X
X
Réutiliser
X
X
X
X
Recycler
X
X
X
X

Observations :

2. Moyens et mesures et agents (parties prenantes)

Indiquez d'un (R) les agents qui assument, au premier chef, la responsabilité pour l'une quelconque des mesures indiquées; indiquez d'un (I) les agents pour lesquels l'impact paraît devoir être particulièrement important.

Agents

Moyens et mesures

Producteurs Autorités
locales
Administration
centrale
Ménages Société
civile
Améliorer la compréhension et l'analyse
Information et éducation (par exemple radio/télévision/presse)
Recherche
R
Évaluer les allégations d'atteintes à l'environnement
R
I
Former des partenariats
R
I
Appliquer des instruments pour modifier les comportements
Stratégies à ancrage communautaire
Incitations/désincitations sociales (comme l'éco-étiquetage)
I
Instruments régulateurs
I
R
I
Incitations/désincitations économiques
I
R
Acceptation, par le producteur, de se tenir pour responsable d'aspects du cycle de vie du produit
I
I
Mise en place d'équipements et d'infrastructure d'auto-assistance (autres moyens de transport, recyclage, etc.)
I
R
I
Politique de passation des marchés
Analyse et évaluation des résultats obtenus
Campagne d'action
R
I
I
Divers (préciser)

Observations :

ACTION 21 CHAPITRE 5 : DYNAMIQUE DÉMOGRAPHIQUE ET DURABILITÉ

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

Ne constitue pas un problème national.

Aspects intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions : Aucune information.

2. Renforcement des capacités/technologie : Aucune information.

3. Principaux groupes : Aucune information.

4. Aspects financiers : Aucune information.

5. Coopération régionale/internationale : Aucune information.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
1990 1993 Dernière année connue 1995
Population (en milliers) : estimations de milieu d'année
30
32
33
Taux d'accroissement annuel (1990-1993)
Superficie (en km2)
2
2
2
Densité de population (habitants/km2)
15.000
16.000
16.500
Autres données

ACTION 21 CHAPITRE 6 : PROTECTION ET PROMOTION DE LA SANTÉ

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

La Principauté est un pays développé qui présente de bonnes condition sanitaires. Elle s'est dotée d'un équipement public hospitalier comportant un plateau technique très perfectionné. Elle dispose également d'équipements hospitaliers privés très performants.

La situation sanitaire de la Principauté peut être considérée comme très satisfaisante. La pyramide des âges montre une espérance de vie particulièrement importante.

Le système de santé mis en place est performant avec un équipement hospitalier assurant tous les soins, doté d'un plateau technique très élaboré (IRM, Scanner, Radiothérapie, etc.).

Outre l'exercice, dans les structures publiques, de toutes les disciplines médicales ou chirurgicales, l'équipement sanitaire public est complété par des établissements privés de haut niveau, assurant notamment la chirurgie cardiothoracique et l'hémodyalise.

Toute la population active bénéficie du contrôle permanant de l'Office de la Médecine du Travail qui comporte un examen médical annuel appofondi.

Dans le domaine de l'hygiène de l'Environnement une attention particulière est portée à la qualité bactériologique des eaux de baignades, aux nuisances sonores de toutes origines ainsi qu'à la qualité des eaux de boissons.

L'incinération d'ordures ménagères est doté d'un système de filtration performant des fumées.

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions :

Département des Travaux Publics et Affaires Sociales

Service de l'Urbanisme et de la Construction

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie : Aucune information.

3. Principaux groupes : Aucune information.

4. Aspects financiers : Aucune information.

5. Coopération régionale/internationale :

La Principauté est membre de l'O.M.S.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
1980 1990 Dernière année connue 1995
Espérance de vie à la naissance

Sexe masculin

Sexe féminin

78

87.6
Mortalité infantile (pour 1 000 naissances vivantes)
3 %
Taux de mortalité maternelle (pour 100 000 naissances vivantes)
0.01
Accès à une eau de boisson salubre (% de la population)
100%
100%
100%
Accès à des services d'assainissement (% de la population)
100%
100%
100%
Autres données

ACTION 21 CHAPITRE 7 : PROMOTION D'UN MODÈLE VIABLE D'ÉTABLISSEMENTS HUMAINS

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

Le territoire de la Principauté est entièrement urbanisé.

Depuis 1959 la Principauté applique des normes parasismiques aux constructions publiques et privées.

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions :

Département des Travaux Publics et Affaires Sociales

Service de l'urbanisme et de la Construction

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie : Aucune information.

3. Principaux groupes : Aucune information.

4. Aspects financiers : Aucune information.

5. Coopération régionale/internationale :

La Principauté est membre de l'O.M.S.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
1990 1995
Pourcentage de la population urbaine
100
100
Taux d'accroissement annuel de la population urbaine (%)
1.0
1.0
Population de la plus grande ville (en % de l'ensemble de la population)
100
100
Autres données

ACTION 21 CHAPITRE 8 : INTÉGRATION DU PROCESSUS DE PRISE DE DÉCISIONS SUR L'ENVIRONNEMENT

(Voir les pages vii et viii au début du profile)

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

De par les préoccupations historiques des Souverains de la Principauté en matière de protection de l'Environnement l'intégration Environnement/Développement est une des composantes du système politique, volonté même du Chef de l'Etat.

Sur un territoire totalement urbanisé, une telle intégration dans le processus de décision constitue une nécessité absolue.

Les textes fondamentaux concernant l'urbanisme datant de 1959 et 1966 faisaient déjà obligation de créer pour chaque opération de construction une certaine superficie d'espaces verts. Ces mêmes textes imposent des mesures techniques de construction qui garantissent la durabilité de celles-ci et leur résistance, notamment aux séismes possibles dans la zone de la Principauté.

Monaco s'est doté depuis le début des années 1980 d'un système perfectionné d'épuration des eaux usées destiné à protéger l'environnement marin (traitement physico-chimique et biologique).

Il est également équipé d'une installation de traitement des déchets qui permet, par leur incinération (ainsi que celle des boues de la station d'épuration) une importante récupération d'énergie qui assure la production d'électricité correspondant à tout l'éclairage des voies publiques ainsi que d'une énergie calorifique assurant chauffage et climatisation de tout le nouveau quartier Ouest.

La politique d'environnement développement en matière de transport s'est également caractérisée par une action d'incitation au développement des transports en commun (gratuits pour les personnes de plus de 65 ans) et la promotion des véhicules électriques non polluants.

La Principauté est signataire de la Charte Européenne des villes sans voitures.

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions (veuillez aussi vous référer à la fiche documentaire) :

Département des Travaux Publics et Affaires Sociales et son Service de l'Environnement.

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie : Aucune information.

3. Principaux groupes : Aucune information.

4. Aspects financiers : Aucune information.

5. Coopération régionale/internationale : Aucune information.

ACTION 21 CHAPITRE 9 : PROTECTION DE L'ATMOSPHÈRE

PRIORITÉ NATIONALE : Haute
ÉTAT DE LA SITUATION :

Le Protocole de Montréal et ses amendements

Tous les quatre ans, à compter de 1990, les parties évaluent l'efficacité des mesures de réglementation énoncées dans le Protocole en se fondant sur les données scientifiques, environnementales, techniques et économiques dont elles disposent.

Dans un délai maximal de neuf mois suivant la fin d'une année civile, chaque pays communique des données sur la production annuelle, l'utilisation, la destruction, les importations et les exportations de substances réglementées (Annexe A et Annexe B du Protocole)

Protocole de Montréal (1987) signé le 1993

Amendement de Londres (1990) signé le 1993

Amendement de Copenhague (1992) signé le 19__

Le(s) dernier(s) rapport(s) au Secrétariat du Protocole de Montréal a (ont) été établi(s) en 1995 (pour 1992, 1993, 1994, 1995)

Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques

Les Parties : a) établissent et publient des inventaires nationaux périodiques des émissions anthropiques; b) publient, formulent et mettent à jour des programmes nationaux visant à atténuer les changements climatiques en tenant compte des émissions par sources et puits; c) encouragent et soutiennent par leur coopération la mise au point de technologies, pratiques et procédés qui permettent de maîtriser ou de réduire les émissions; d) encouragent la gestion rationnelle et encouragent et soutiennent par leur coopération la conservation et, le cas échéant, le renforcement des puits et réservoirs, etc.

Les pays développés adoptent des politiques nationales et prennent des mesures (qui démontrent leur rôle moteur).

Les pays développés fournissent des ressources financières.

Chaque partie communique : a) un inventaire national des émissions anthropiques par sources et de l'absorption par leurs puits de tous les gaz à effet de serre, non réglementés par le Protocole de Montréal; b) une description générale des mesures prises ou envisagées; c) toutes les autres informations que la partie juge utile de communiquer. Les pays développés doivent donner une description détaillée des politiques et mesures qu'ils ont adoptées. Les parties autres que les pays développés doivent soumettre leur rapport dans les trois ans qui suivent leur adhésion ou dès qu'ils en ont les moyens financiers. Les pays les moins développés peuvent soumettre le leur à leur gré.

La Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques a été signée en 1992 - Entrée en vigueur en 1994.

Le dernier en date des rapports à présenter au Secrétariat de la Convention-cadre a été soumis en 1994.

Observations additionnelles se rapportant à ce chapitre

Monaco participe activement aux travaux de la Convention sur les Changements Climatiques et de ses Organes Subsidiaires.

La question de la protection de l'atmosphère ne constitue pas en Principauté un problème grave. Un système de surveillance de la qualité de l'air est toutefois en place depuis plusieurs années et les informations sur cette qualité (taux de C02, SO2 et O3) sont publiés quotidiennement dans la presse. L'origine essentielle de la pollution atmosphérique résidant dans la circulation automobile, en cas de dépassement (exceptionnel) des valeurs limitées des incitations à ne pas utiliser les véhicules peuvent être diffusés par les Pouvoirs Publics.

Une politique d'incitation à l'utilisation des transports en commun a été mise en place ainsi que des facilitations aux déplacements pédestres (escaliers mécaniques, ascenseurs publics).

La valorisation des véhicules électriques est inscrite dans la politique nationale des transports mais se heurte aux caractères topographiques de la Principauté.

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions :

Service de l'Environnement du Département des Travaux Publics et Affaires Sociales.

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie : Aucune information.

3. Principaux groupes : Aucune information.

4. Aspects financiers : Aucune information.

5. Coopération régionale/internationale :

Participation aux travaux de la Conférence sur les Changements Climatiques et ses organes annexes.

Participe aux travaux de la Charte Européenne des villes sans voitures.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
1980 1990 Dernière année connue 1995
Émissions de CO2 (en million de tonnes)
70.500
" " SOx
" " NOx
" " CH4
Consommation de substances qui appauvrissent la couche d'ozone (en tonnes)
Montants dépensés pour réduire la pollution de l'air (en millions d'équivalents-dollars)
Autres données

ACTION 21 CHAPITRE 10 : CONCEPTION INTÉGRÉE DE LA PLANIFICATION ET DE LA GESTION DES TERRES

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

Sans objet pour un territoire totalement urbanisé. Le problème le plus aigu de la Principauté est celui de son extension territoriale qui l'a conduite dans les années 1960, à entreprendre d'importants travaux d'endigage et de comblement sur la mer, (gain de 25 % de son territoire naturel) et à mener ainsi une politique active d'implantations souterraines, (parkings, voies de circulation, routières et ferrovières, station d'épuration).

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions : Aucune information.

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie : Aucune information.

3. Principaux groupes : Aucune information.

4. Aspects financiers : Aucune information.

5. Coopération régionale/internationale : Aucune information.

ACTION 21 CHAPITRE 11 : LUTTE CONTRE LE DÉBOISEMENT

PRIORITÉ NATIONALE : Sans objet
ÉTAT DE LA SITUATION :

Pas de forêt.

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions : Aucune information.

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie : Aucune information.

3. Principaux groupes : Aucune information.

4. Aspects financiers : Aucune information.

5. Coopération régionale/internationale :

La Principauté développe avec l'ONF un programme de reboisement du Bassin Versant sur les Communes françaises frontalières.

Monaco participe aux travaux du groupe intergouvernemental spécial sur les forêts de la Commission du Développement Durable.

La Principauté s'est engagée dans une coopération bilatérale avec le Liban concernant la régénération de certain Cédraies et avec la Bulgarie sur la réalisation d'un plan de Gestion Environnementale de la région côtière du Massif forestier de la Strandjà.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
1985 1990 Dernière année connue 199_
Superficie forestière (km2)
Zone forestière protégée
Production de bois rond (volume de bois rond sans écorce en mill. de m3)
Rythme de déboisement (en km2 par année)
Rythme de reboisement (en km2 par année)
Autres données

ACTION 21 CHAPITRE 12 : GESTION DES ÉCOSYSTÈMES FRAGILES : LUTTE CONTRE LA DÉSERTIFICATION

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

Convention internationale sur la lutte contre la désertification dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la désertification, en particulier en Afrique

Chaque partie rend compte à la Conférence des parties, selon une périodicité et sous la forme à déterminer, de ce qu'elle fait pour appliquer la Convention. Les parties font rapport sur l'établissement de programmes nationaux d'action. La Conférence aide les pays en développement touchés à établir leurs rapport.

Convention signée le 19__; ratifiée le 19__.

Le dernier en date des rapports au Secrétariat de la Convention a été établi en 19__.

Observations additionnelles se rapportant à ce chapitre

Monaco n'est pas partie à la Convention sur la lutte contre la désertification et n'est pas située dans une zone concernée par la désertification.

Néanmoins, Monaco verse régulièrement une contribution volontaire au Fonds d'affectation spéciale du PNUD pour la lutte contre la désertification et la sécheresse.

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions : Aucune information.

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie : Aucune information.

3. Principaux groupes : Aucune information.

4. Aspects financiers : Aucune information.

5. Coopération régionale/internationale : Aucune information.

La Principauté a engagé avec la Tunisie un programme d'équipement scientifique visant au contrôle de la qualité des eaux épurées réutilisables pour l'agriculture.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
1980 1990 Dernière année connue 199__
Touchés par la désertification en (km2)
Autres données

ACTION 21 CHAPITRE 13 : GESTION DES ÉCOSYSTÈMES FRAGILES : MISE EN VALEUR DURABLE DES MONTAGNES

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

Monaco n'est pas directement concerné.

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions : aucune information.

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie : aucune information.

3. Principaux groupes : aucune information.

4. Aspects financiers : aucune information.

5. Coopération régionale/internationale :

La Principauté est signataire de la Convention Alpine et participe au Processus sur le Développement Durable des Montagnes d'Europe (FAO/UICN/ICALPE).

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES

ACTION 21 CHAPITRE 14 : PROMOTION D'UN DÉVELOPPEMENT AGRICOLE ET RURAL DURABLE

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

Monaco n'est pas concerné. Il n'y a pas de secteur agricole à Monaco.

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions : Aucune information.

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie : Aucune information.

3. Principaux groupes : Aucune information.

4. Aspects financiers : Aucune information.

5. Coopération régionale/internationale : Aucune information.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
1985 1990 Dernière année connue 199_
Terres agricoles (en km2)
Terres agricoles en pourcentage de la superficie totale des terres
Terres agricoles par habitant
1989/90 1992/93 Dernière année

connue 199_

Consommation d'engrais par km2 de terre agricole à compter de 1990
Autres données

ACTION 21 CHAPITRE 15 : PRÉSERVATION DE LA DIVERSITÉ BIOLOGIQUE

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

Convention sur la diversité biologique

Les parties élaborent des stratégies, plans et programmes nationaux pour l'utilisation durable et la préservation de la diversité biologique et les intègrent dans des plans généraux de développement.

Les parties identifient, surveillent et conservent des données sur les éléments constitutifs de la diversité biologique.

Les parties adoptent des procédures permettant d'exiger l'évaluation des impacts sur l'environnement de projets qui sont susceptibles de nuire sensiblement à la diversité biologique.

Les parties présentent, selon une périodicité à déterminer, un rapport sur les dispositions qu'elles ont prises pour appliquer la Convention.

Convention signée en 1992 et ratifiée en 1994.

Dernier en date des rapports présentés en 1994.

Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction.

Les parties prennent les mesures appropriées en vue de l'application de dispositions réglementaires et en vue d'interdire le commerce de spécimens en violation desdites dispositions. La Convention régit aussi le traitement des animaux que l'on transporte.

Chaque partie établit des rapports périodiques sur la mise en application de la Convention et prépare : a) un rapport annuel énumérant les permis d'exporter délivrés et les espèces visées et b) un rapport bisannuel sur les mesures législatives, réglementaires et administratives qui ont été prises.

Convention signée en 1980.

Dernier en date des rapports présentés en 1994.

Observations additionnelles se rapportant à ce chapitre

La conservation de la diversité biologique constitue une priorité pour la Principauté de Monaco au sein des actions de sauvergarde de l'environnement.

Au plan national:

-Préservation de la diversité biologique des espèces végétales locales in situ et exotiques ex situ par le Service des espaces verts et les Services du Jardin Exotique qui présentent respectivement 1600 espèces méditerranéennes et 700 espèces exotiques.

-Participation active aux actions de reboisement de la forêt méditerranéenne détruite par les incendies dans les zones voisines de la Principauté.

-Préservation de la diversité biologique maritime tant végétale qu'animale depuis la création en 1978 d'une réserve sous-marine couvrant 50 hectares de 0 à 35 m de profondeur où toute pêche et navigation est interdite. Création en 1986 d'une réserve à Corail rouge sur 1 hectare et jusqu'à 38 m de profondeur.

-La législation de la Principauté en la matière est en évolution; d'ores et déjà un certain nombres d'espèces marines sont totalement protégées.

-La Principauté suit de très près l'évolution de l'espèce marine introduite Caulerpa taxifolia.

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions : Département des Traxaux Publics et Affaires Sociates

-Service de l'Environnement

-Service de l'Urbanisme et de la Construction

-Service de la Marine (Réglementation des réserves sous-marines).

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie :

Observatoire Océanologique

Etude sur les coraux tropicaux

Service de l'environnement : - mise au point d'indicateurs de qualité des écosystèmes marins

- inventaires de biodiversité du Bassin Versant

- cartographie des biocénoses marines.

3. Principaux groupes :

Action associative par l'A.M.P.N.

4. Aspects financiers :

Budget de l'Etat.

5. Coopération régionale/internationale :

Monaco participe activement aux travaux des organes dépendant de la Convention sur la biodiversité;

Conférence des parties, SSBTA, SUBSTTA, Groupe de Travail de la C.B.D. sur les forêts et à l'U.I.C.N.

La Principauté est particulièrement active dans le cadre du nouveau protocole de la Convention de Barcelone relatif aux aires spécialement protégées et à la Biodiversité en Méditerranée ainsi qu'aux travaux d'élaboration, de l'accord particulier de la Convention de Bonn pour la conservation des cétacés de la Mer Noir, de la Méditerranée et des eaux atlantiques adjacentes, signé en Principauté le 24 novembre 1996.

La Principauté vient de présenter un Amendement à la Convention de Bonn concernant les espèces méditerranéennes.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
1992 Dernière année connue 199_
Zone protégée en pourcentage de la superficie totale des terres
1990 Dernière année connue 199_
Nombre d'espèces menacées d'extinction
Autres données

ACTION 21 CHAPITRE 16 : GESTION ÉCOLOGIQUEMENT RATIONNELLE DES BIOTECHNIQUES

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

Aucune information.

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions : aucune information.

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie : aucune information.

3. Principaux groupes : aucune information.

4. Aspects financiers : aucune information.

5. Coopération régionale/internationale : aucune information.

Sur le plan régional la Principauté a lancé un programme d'inventaire de la Biodiversité terrestre du Bassin Versant avec les Communes françaises frontalières dans le cadre de l'Année Européenne pour la Conservation de la nature (1995).

La Principauté a financé le premier plan de gestion environnementale de la République Bulgare centré sur la zone littorale du Massif forestier de la Stranjà, et la création d'une pépinière dans le mont Liban.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES

ACTION 21 CHAPITRE 17 : PROTECTION DES OCÉANS ET DE TOUTES LES MERS, Y COMPRIS LES MERS FERMÉES ET SEMI-FERMÉES, ET DES ZONES CÔTIÈRES ET PROTECTION, UTILISATION RATIONNELLE ET MISE EN VALEUR DE LEURS RESSOURCES BIOLOGIQUES

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

Convention des Nations Unies sur le droit de la mer

Signée en 19__; ratifiée 20 mars 1996.

Voir aussi les tableaux joints sur les pages suivantes.

La protection des mers constitue une très ancienne préoccupation de la Principauté. On rappellera que le Prince Albert 1er a été l'un des fondateurs de l'Océanographie moderne et qu'il a créé, entre autres, l'Institut Océanographique et la Commission Internationale pour l'Exploration Scientifique de la Méditerranée dont le siège est à Monaco et qui est présidée par S.A.S. le Prince Ranier III. Monaco abrite également le Musée Océanographique qui joue un rôle important dans la sensibilisation du public sur la conservation de la diversité biologique marine ainsi que l'Organisation Hydrographique Internatiionale.

Monaco participe aux actions de protection tout particulièrement dans la zone méditerranéenne (Convention de Barcelone/Plan d'Action pour la Méditerranée).

Monaco a été à l'origine de l'Accord Internatoinal RAMOGE (France-Monaco-Italie) pour la lutte contre la pollution et la préservation de la qualité de la mer dans sa zone côtière.

La Principauté a développé sur son littoral des réserves sous-marines (cf. supra chapitre 15), après avoir réalisé dans les années 50 et 60 diverses opérations d'aménagements côtiers qui ont eu, à l'époque, des incidences négatives sur l'environnement marin. Elle est également dotée d'un système très perfectionné d'épuration des eaux usées évitant toute pollution d'origine domestique ou industrielle.

Monaco est hôte des laboratoires d'Environnement marin et de radioactivité marine de l'AIEA.

La Principauté de Monaco porte une attention particulière à la conservation de la Biodiversité marine (voir chaptire 15).

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions : Département des Travaux Publics et Affaires Sociales

Service de l'Environnement

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie :

Le Service de l'Environnement effectue des mesures périodiques constantes de la qualité des eaux de mer, selon les protocoles techniques les plus rigoureux, ces résultats sont publiés dans la Presse.

3. Principaux groupes :

A.M.P.N.

4. Aspects financiers : aucune information.

5. Coopération régionale/internationale :

C.I.E.S.M. - Accord RAMOGE - Plan d'Action pour la Méditerranée/PNUE, COI de l'UNESCO, AIEA, BHI

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
1980 1990 Dernière année connue 1995
Prises d'espèces marines (en tonnes métriques)
Population des zones côtières
27.063
29.972
32.000
Population bénéficiant du traitement des eaux usées (en pourcentage)
100 %
100 %
Déversements de pétrole dans les eaux côtières (en tonnes métriques)
-
-
-
Rejets de phosphates dans les eaux côtières (en tonnes métriques)
-
-
-
Rejets de nitrates dans les eaux côtières (en tonnes métriques)
-
-
-
Autres données

Chapitre 17 (Océans) suite :

Indiquer, dans les cases de la colonne de gauche ci-dessous: Indiquer, dans les cases de la colonne de droite ci-dessous:
Aux fins d'utilisation, le degré d'importance: Aux fins d'utilisation, le degré d'exécution:
*** = trés important *** = parfaite exécution
** = important ** = bonne exécution - des lacunes en passe d'être comblées
* = pas important * = piètre exécution
N = sans objet O = pas d'exécution; N = sans objet

TABLEAU I. LES ACTIVITÉS CI-APRÈS ONT ÉTÉ EXAMINÉES PAR LE MÉCANISME DE COORDINATION APPROPRIÉ POUR LA GESTION INTÉGRÉE ET LE DÉVELOPPEMENT DURABLE DES ZONES CÔTIÈRES ET MARINES ET DE LEURS RESSOURCES.

DEGRÉ D'IMPORTANCE
DESCRIPTION DE L'ACTIVITÉ DANS ACTION 21
DEGRÉ D'EXÉCUTION
***
A. Formuler et appliquer les politiques d'utilisation des terres et de l'eau et d'implantation.
***
***
B. Mettre en oeuvre les plans et programmes de gestion intégrée des zones côtières et marines et de développement durable aux niveaux appropriés.
***
N
C. Établir des profils des côtes en indiquant les zones critiques, notamment les zones érodées, les modes d'évolution des processus physiques, les conflits entre utilisateurs et les priorités en matière d'aménagement.
N
***
D. Évaluer préalablement l'impact sur l'environnement et observer et suivre systématiquement les grands projets et tenir compte systématiquement des résultats lors de la prise des décisions.
***
***
E. Établir des plans d'urgence pour les catastrophes naturelles et liées aux activités humaines, notamment les effets probables d'un éventuel changement climatique et d'une élévation du niveau de la mer ainsi que des plans d'urgence en cas de dégradations et pollution artificielles de l'environnement, y compris les déversements d'hydrocarbures et autres matériaux.
***
N
F. Améliorer les établissements humains côtiers, en particulier en ce qui concerne le logement, l'eau potable et le traitement et l'évacuation des eaux usées, des déchets solides et des effluents industriels.
N
N
G. Évaluer périodiquement l'impact de facteurs et phénomènes externes, pour que les objectifs de gestion intégrée et de développement durable des zones côtières et de l'environnement marin puissent être atteints.
N
***
H. Protéger et restaurer les habitats vitaux détériorés.
***
N
I. Intégrer des programmes sectoriels de développement durable dans les domaines des établissements humains, de l'agriculture, du tourisme, de la pêche, des activités portuaires et industrielles utilisant ou affectant la zone côtière.
N
N
J. Adapter l'infrastructure et créer des emplois différents.
N
N
K. Mettre en valeur et former les ressources humaines.
N
***
L. Lancer des programmes d'éducation, de sensibilisation et d'information du public.
***
***
M. Promouvoir les technologies écologiquement rationnelles et les pratiques durables.
***
***
N. Formuler et appliquer simultanément des critères de qualité de l'environnement.
***

TABLEAU II. TECHNOLOGIE (MILIEU MARIN)

DEGRÉ D'IMPORTANCE
DESCRIPTION DE L'ACTIVITÉ DANS ACTION 21
DEGRÉ D'EXÉCUTION
***
A. Appliquer des méthodes basées sur la prévention, la précaution et la prévision en vue d'éviter la dégradation du milieu marin, ainsi que de réduire les risques d'effets nuisibles à long terme ou irréversibles sur ce milieu.
***
***
B. Faire en sorte que les activités qui pourraient avoir des incidences nuisibles importantes sur le milieu marin soient évaluées préalablement.
***
***
C. Intégrer la protection du milieu marin aux politiques pertinentes touchant l'environnement général et le développement socio-économique.
***
***
D. Mettre au point, en cas de besoin, des mesures d'incitation économique favorisant l'application de technologies non polluantes et d'autres moyens compatibles avec l'internalisation des coûts écologiques, le principe pollueur-payer par exemple, afin d'éviter la dégradation du milieu marin.
***
N
E. Améliorer le niveau de vie des populations des zones côtières, en particulier dans les pays en développement, afin de contribuer à réduire la dégradation du milieu côtier et marin.
N
***
F. Surveiller de près, à l'intérieur de la zone économique exclusive, l'exploitation de la pêche ainsi que le transport de matières toxiques et autres matières dangereuses.
***

TABLEAU III. QUESTIONS D'ASSAINISSEMENT

DEGRÉ D'IMPORTANCE
DESCRIPTION DE L'ACTIVITÉ DANS ACTION 21
DEGRÉ D'EXÉCUTION
N
A. Tenir compte des questions d'assainissement lors de la formulation ou du réexamen des plans de mise en valeur des zones côtières, y compris les plans de peuplement.
N
N
B. Construire des installations de traitement conformément aux politiques nationales.
N
***
C. Répartir des points de déversement sur le littoral de façon à maintenir un niveau acceptable de qualité de l'environnement et faire en sorte que les lieux de conchyliculture, les prises d'eau et les zones de baignade ne soient pas exposés à des agents pathogènes.
***
N
D. Promouvoir le traitement primaire des eaux d'égouts municipales déversées dans les cours d'eau, les estuaires et la mer, ou application d'autres méthodes appropriées selon les sites.
N
N
E. Adopter et améliorer des programmes de réglementation et de surveillance locaux, nationaux, sous-régionaux et régionaux, en tant que de besoin, pour contrôler le rejet des effluents en adoptant des directives minima concernant les eaux d'égouts et des critères de qualité de l'eau.
N

TABLEAU IV. AUTRES SOURCES DE POLLUTION DU MILIEU MARIN, LE GOUVERNEMENT A :

DEGRÉ D'IMPORTANCE
DESCRIPTION DE L'ACTIVITÉ DANS ACTION 21
DEGRÉ D'EXÉCUTION
***
A. Établi des programmes de réglementation et de surveillance -- ou amélioré ceux qui existent, selon le cas -- pour limiter les émissions de polluants, avec notamment application de techniques de recyclage.
***
N
B. Contribué à maintenir la qualité de l'environnement à un niveau acceptable en encourageant les évaluations de risques et d'impact sur le milieu.
N
***
C. Encouragé, là où il y a lieu, les évaluations et la coopération régionales face aux émissions ponctuelles de polluants provenant du milieu marin.
***
N
D. Pris des mesures en vue de faire cesser les émissions ou rejets de composés organohalogénés dans le milieu marin.
N
N
E. Pris des mesures en vue de réduire les émissions ou rejets d'autres composés organiques de synthèse dans le milieu marin.
N
N
F. Favorisé le contrôle des rejets d'azote et de phosphore résultant de l'activité humaine qui créent dans les eaux côtières des phénomènes, par exemple l'eutrophisation, qui menacent le milieu ou les richesses marines.
N
N
G. Pris des mesures en vue de mettre au point et de faire appliquer des techniques et modes d'utilisation des sols écologiquement rationnels pour limiter le ruissellement vers les cours d'eau et les estuaires d'effluents qui pollueraient ou endommageraient le milieu marin.
N
N
H. Encouragé l'utilisation de pesticides et d'engrais qui soient moins nocifs pour l'environnement de même que le remplacement par d'autres méthodes des moyens actuels de lutte contre les ravageurs, et envisagé d'interdire ceux de ces produits qui dégradent l'environnement.
N
***
I. Adopté, aux niveaux national, sous-régional et régional, de nouvelles mesures pour freiner les émissions de polluants émanant de sources diffuses, ce qui impose de fortement modifier la gestion des eaux usées et des déchets, de même que les modes de culture, d'exploitation minière, de construction et de transport.
***
N
J. Pris des mesures en vue de contrôler et prévenir l'érosion et l'ensablement provoqués par des activités humaines et notamment par les techniques et modes d'utilisation des sols et de construction.
N

TABLEAU V. FAIRE FACE AUX GRANDES INCERTITUDES QUI PÈSENT SUR LA GESTION DU MILIEU MARIN ET DES CHANGEMENTS CLIMATIQUES. À CETTE FIN, LE GOUVERNEMENT A ENTREPRIS :

DEGRÉ D'IMPORTANCE
DESCRIPTION DE L'ACTIVITÉ DANS ACTION 21
DEGRÉ D'EXÉCUTION
***
A. De coordonner des programmes aux niveaux national et régional pour l'observation des phénomènes liés aux changements climatiques affectant les zones côtières et proches du littoral ainsi que des paramètres de recherche indispensables à la gestion des environnements marins et côtiers dans toutes les régions.
***
N
B. D'améliorer la prévision de l'état de la mer pour assurer la sécurité des habitants des zones côtières et l'efficacité des opérations maritimes.
N
N
C. D'adopter des mesures particulières pour s'adapter et faire face au risque de changement climatique et d'élévation du niveau des mers en élaborant des méthodes généralement acceptées.
N
N
D. De participer à l'évaluation de la vulnérabilité des zones côtières, à l'établissement de modèles et à la formulation de stratégies d'intervention, en particulier pour les zones prioritaires, telles que les petites îles, les régions de basse altitude et les zones côtières critiques.
N
***
E. D'identifier les programmes d'observation systématique du milieu marin en cours et prévus, en vue d'intégrer les activités et de fixer des priorités pour résoudre les incertitudes majeures concernant les océans et toutes les mers.
***
**
F. De lancer un programme de recherche pour déterminer les effets biologiques sur l'environnement marin de l'accroissement des niveaux de rayonnement ultraviolet par suite de l'appauvrissement de la couche d'ozone.
**
**
G. De procéder à une analyse, à des évaluations et à une observation systématique du rôle des océans en tant que puits de carbone.
**

TABLEAU VI. ÉVALUATION DES ACTIVITÉS DE TRANSPORT AÉRIEN ET MARITIME DANS LES PETITS ÉTATS INSULAIRES EN DÉVELOPPEMENT

TRANSPORT AÉRIEN
ÉVALUATION
TRANSPORT MARITIME
ÉVALUATION
1. Fréquence (vols externes) 1. Fréquence (navigation externe)
2. Fréquence (vols internes) 2. Fréquence (navigation interne)
3. Coopération régionale dans le domaine du transport aérien et de l'aviation civile 3. Coopération régionale dans le domaine de la navigation
4. Coopération internationale 4. Coopération internationale
5. Viabilité économique de la compagnie aérienne nationale 5. Viabilité économique de la (des) compagnie(s) nationale(s) de navigation
6. Viabilité économique de la compagnie aérienne régionale 6. Viabilité économique de la (des) compagnie(s) régionale(s) de navigation
7. Formation nationale aux aptitudes que demande le transport aérien 7. Formation nationale aux aptitudes que demande le transport maritime
8. Accès à la formation aux aptitudes que demande le transport aérien à l'intérieur de la région 8. Formation régionale aux aptitudes que demande le transport maritime
9. Accès à une formation internationale aux aptitudes requises pour le transport aérien 9. Accès à une formation internationale aux aptitudes requises pour le transport maritime
10. Adhésion à l'OACI

ACTION 21 CHAPITRE 18 : PROTECTION DES RESSOURCES D'EAU DOUCE ET DE LEUR QUALITÉ : APPLICATION D'APPROCHES INTÉGRÉES DE LA MISE EN VALEUR, DE LA GESTION ET DE L'UTILISATION DES RESSOURCES EN EAU

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

La totalité de la population est raccordée au service public de distribution des eaux. Toute la population est également raccordée au réseau public de traitement des eaux usées.

Le traitement des eaux usées superpose un traitement physico chimique et un traitement biologique.

Les sources d'eau potable situées en Principauté et raccordées au service public de distribution représentent à peu près 25% de la consommation nationale. 75% fait l'objet de contrats d'approvisionnement en provenance, soit de France, soit d'Italie. Les sources situées en Principauté font l'objet d'un périmètre de protection particulier établi depuis 1910.

Chaque nouvelle source découverte, par exemple à l'occasion de travaux souterrains, fait l'objet d'une étude de raccordement au réseau du service public.

Le volume des eaux usées traitées annuellement par l'ensemble de l'agglomération de la Principauté et de toutes les communes françaises voisines représente 6,5*106 m3.

Il n'y a pas de problème particulier d'approvisionnement en eau, la région alpine étant riche en ressources tant superficielles que karstiques.

Des études sont en cours pour évaluer le potentiel en ressources souterraines et leur utilisation pour l'arrosage des espaces verts, les nettoyages urbains ou les industires.

Une étude de réutilisation des eaux usées après traitement tertiaire a été effectuée, son coût prohibitif par rapport aux potentiel d'eau douce a amené son abandon.

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions : Département des Travaux Publics et Affaires Sociales

Service du Contrôle Technique

Service de l'Urbanisme

Service de l'Environnement

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie : aucune information.

3. Principaux groupes : aucune information.

4. Aspects financiers : Le système d'épuration des eaux usées est opérationnel depuis 1987

Il a représenté un investissement de 150 MF

5. Coopération régionale/internationale :

La Principauté assure aussi l'épuration des eaux usées des communes françaises voisines, environ 60.000 habitants. Elle est liée par des Conventions, tant avec la France qu'avec l'Italie, pour l'approvisionnement en eaux. Ses besoins ne pouvant qu'être partiellement satisfaits par ses ressources intérieures.

La Principauté a cofinancé avec la Banque Mondiale une étude pilotée par l'Institute Méditerranéen de l'eau sur le coût réel et les économies en eau dans les zones urbaines du Bassin Méditerranéen.

Elle a également organisé une réunion sur les problèmes de l'eau potable dans les villes d'Europe Centrale (piloté par l'office International de l'eau).

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
1980 1990 Dernière année connue 1993
Ressources d'eau douce (total des ressources internes/externes en million de m3)
5.374
6.109
5.755
Prélèvements annuels d'eau douce en pourcentage de l'eau disponible
Autres données

ACTION 21 CHAPITRE 19 : GESTION ÉCOLOGIQUEMENT RATIONNELLE DES SUBSTANCES CHIMIQUES TOXIQUES, Y COMPRIS LA PRÉVENTION DU TRAFIC INTERNATIONAL ILLICITE DES PRODUITS TOXIQUES ET DANGEREUX

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

La Principauté de Monaco ne dispose que de très peu d'industries chimiques et n'est donc pas concernée.

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions : aucune information.

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie : aucune information.

3. Principaux groupes : aucune information.

4. Aspects financiers : aucune information.

5. Coopération régionale/internationale :

La Principauté a signé la Convention de Bâle et le Protocole de la Convention de Barcelone relatif au transfert transfrontalier de déchets dangereux.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES

ACTION 21 CHAPITRE 20 : GESTION ÉCOLOGIQUEMENT RATIONNELLE DES DÉCHETS DANGEREUX, Y COMPRIS LA PRÉVENTION DU TRAFIC INTERNATIONAL ILLICITE DE DÉCHETS DANGEREUX

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

La Convention de Bâle sur le contrôle des mouvements transfrontières de déchets dangereux et de leur élimination

Les parties coopèrent à la diffusion d'informations sur les mouvements transfrontières de déchets dangereux. Elles coopèrent à la promotion de techniques écologiquement rationnelles produisant peu de déchets, au transfert des techniques et à la mise au point de codes de bonne pratique. Les parties aident les pays en développement.

Les parties informent immédiatement les parties touchées sur les accidents survenus. Avant la fin de chaque année civile, les parties fournissent les renseignements suivants sur l'année civile précédente : a) les autorités compétentes sur les questions qui touchent à la Convention; b) les mouvements transfrontières de déchets dangereux; c) les mesures adoptées pour faire appliquer la Convention; d) les données statistiques pertinentes qu'elles ont compilées touchant les effets de la production, du transport et de l'élimination de déchets dangereux; e) les accords conclus; f) les accidents survenus; g) les diverses méthodes d'élimination utilisées; h) la mise au point de techniques tendant à réduire la production de déchets dangereux.

Convention de Bâle signée en 1992; ratifiée en 1992.

Les dernières en date des informations communiquées au Secrétariat de la Convention en 19__.

Observations additionnelles se rapportant au présent chapitre

La Principauté a terminé en 1995 un programme complet d'élimination des transformateurs électriques au PCB.

Il existe un système spécialisé de collecte des petits déchets toxiques ménagers.

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions : Département des Travaux Publics et Affaires Sociales

Service du Contrôle Technique et de la Circulation

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie : aucune information.

3. Principaux groupes : aucune information.

4. Aspects financiers : aucune information.

5. Coopération régionale/internationale :

Accords avec les villes de la région voisine pour l'utilisation des installations de traitement de Monaco.

Monaco est partie à la Convention de Bâle et le Protocole de la Conventoin de Barcelone (voir chapitre 20).

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
1980 1990 Dernière année connue 19__
Production de déchets dangereux (t)
Importation de déchets dangereux (t)
Exportation de déchets dangereux (t)
Superficie contaminée par des déchets dangereux (km2)
Montants dépensés pour le traitement des déchets dangereux
Autres données

ACTION 21 CHAPITRE 21 : GESTION ÉCOLOGIQUEMENT RATIONNELLE DES DÉCHETS SOLIDES ET QUESTIONS RELATIVES AUX EAUX USÉES

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

Le montant total des déchets solides traités par les installations d'incinération des déchets ménagers et industriels est de 65.000 tonnes par an. Cela inclut le traitement des ordures des villes françaises voisines.

100% de la population est desservi par un système de collecte quotidien des ordures, réalisé pour l'essentiel par des camions de collecte, dotés de dispositif de chargement des containers. Certains quartiers nouveaux de la Principauté sont toutefois desservis par un système automatique de collecte pneumatique qui, depuis les usagers, conduit directement les déchets à l'usine d'incinération. La part ainsi traitée représente 1.500 tonnes, soit 2% du total.

L'usines d'incinération assure également le traitement des boues provenant directement par canalisations de la station d'épuratoin des eaux usées et qui sont directement injectées dans les fours à haute température environ 4.300 tonnes sont ainsi traitées annuellement alors que c'est environ 6.5 106 m3 d'eaux usées qui sont annuellement épurées.

Cette usine est munie d'un système de lavage des fumées.

Une évaluation des déchets produits par les petites industries est effectué en permanence par le Service de l'Environnement.

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions : Département des Travaux Publics et des Affaires Sociales

Service du Contrôle Techniqeu et de la Circulation

(Installation de traitement)

Service de l'Urbanisme et de la Construction

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie : aucune information.

3. Principaux groupes : aucune information.

4. Aspects financiers : aucune information.

5. Coopération régionale/internationale : aucune information.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
Ces valeurs tiennent compte des apports des Communes limitrophes 1980 1990 Dernière année connue 1995
Production de déchets industriels et urbains (t)
30.789
48.417
65.254
Déchets évacués (kg/habitant)
Montants dépensés pour l'enlèvement et le traitement des déchets
14.125.000
Taux de recyclage des déchets
Évacuation des déchets urbains (kg/habitant)
Taux de réduction de la production de déchets par unité de PIB (t/an)
Autres données

ACTION 21 CHAPITRE 22 : GESTION SÛRE ET ÉCOLOGIQUEMENT RATIONNELLE DES DÉCHETS RADIOACTIFS

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION :

Il n'existe pas de déchets de ce genre produits en Principauté autres que ceux afférents aux laboratoires de recherche de l'A.I.E.A. ou provenant d'activités médicales. Ces déchets sont traités dans les pays voisins.

Problèmes intersectoriels

1. Structure de la prise de décisions : aucune information.

2. Problèmes de renforcement des capacités/technologie : aucune information.

3. Principaux groupes : aucune information.

4. Aspects financiers : aucune information.

5. Coopération régionale/internationale :

La Principauté abrite le laboratoire d'environnement marin de l'Agence Internationale de l'énergie atomique : A.I.E.A. et participe activement aux travaux de cette organisation.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES

ACTION 21 CHAPITRES 23-32 : PRINCIPAUX GROUPES

Les divers chapitres d'Action 21 rendent compte également du rôle des principaux groupes. On donne ci-après, un résumé des principaux objectifs énoncés dans Action 21. Veuillez cocher les cases appropriées et décrire brièvement toutes mesures ou tous obstacles importants que vous avez pu prendre ou rencontrer.

ÉTAT DE LA SITUATION CONCERNANT LA PARTICIPATION DES PRINCIPAUX GROUPES À LA CONDUITE DES AFFAIRES AUX NIVEAUX NATIONAL ET LOCAL
Ch. 24 : ACTION MONDIALE EN FAVEUR DE LA PARTICIPATION DES FEMMES À UN DÉVELOPPEMENT DURABLE ET ÉQUITABLE

La Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes

aucune information.

24.b accroître le nombre de femmes occupant des postes de décision.

Pourcentage de femmes :

dans la conduite des affaires publiques % - (1992) - (1996)

au parlement % 6 (1992) 6 (1996)

au niveau des collectivités locales % 20 (1992) 20 (1996)

24.2.e évaluer, examiner, réviser et appliquer les programmes et matériels pédagogiques en vue de promouvoir la diffusion de connaissances différenciées selon le sexe. aucune information.

24.2.f and 24.2.c formuler et appliquer des politiques et des directives, stratégies et plans en vue de promouvoir l'égalité dans tous les secteurs de la société, y compris l'élaboration, d'ici l'an 2000, d'une stratégie visant à éliminer les obstacles qui s'opposent à la participation complète des femmes à la réalisation d'un développement durable.

aucune information.

24.2.d mettre en place, pour 1995, des mécanismes permettant d'évaluer la mise en oeuvre des politiques et programmes en matière de développement et d'environnement ainsi que leurs effets sur les femmes

aucune information.

Brèves observations sur ce chapitre (pas plus de 100 mots) (tout dire, s'il-vous-plaît, sur cette page) :

Monaco a participé activement à la Conférence de Beijing.

Ch. 25 : RÔLE DES ENFANTS ET DES JEUNES DANS LA PROMOTION D'UN DÉVELOPPEMENT DURABLE.

25.4 établir un cadre visant à promouvoir le dialogue entre les jeunes et les autorités à tous les niveaux et créer des mécanismes leur permettant d'accéder à l'information et d'exprimer leur point de vue sur la mise en oeuvre d'Action 21.

Nommez les organismes de jeunes pertinents (les 3 ou 4 plus importants): aucune information.

1.

2.

3.

4.

Décrivez leur rôle dans

la vie du pays : aucune information.

25.6 réduire le niveau de chômage des jeunes

Chômage des jeunes 1992 :______________ 1996 :________

25.5 veiller, d'ici l'an 2000, à ce que plus de la moitié des jeunes -- garçons et filles -- bénéficient d'un enseignement secondaire ou d'une formation professionnelle appropriés.

L'objectif fixé dans Action 21 : a été atteint

Brèves observations sur ce chapitre (pas plus de 100 mots) (tout dire, s'il-vous-plaît, sur cette page) :

Les Services de l'Education Nationale jouent un rôle particulièrement important dans ce domaine.

Les enfants participent à des opérations de reboisement et de nettoyage des forêts du Bassin Versant.

Ch. 26 : RECONNAISSANCE ET RENFORCEMENT DU RÔLE DES POPULATIONS AUTOCHTONES ET DE LEURS COMMUNAUTÉS.

26.3.a établir un processus susceptible de donner aux populations autochtones des moyens d'action -- à l'aide de politiques et instruments juridiques appropriés : en place.

26.3.b arrangements pour renforcer la participation active des populations autochtones à l'élaboration des politiques nationales

participent pleinement au processus nationaux appropriés.

26.3.c faire participer les populations autochtones, aux échelons national et local, aux stratégies de gestion des ressources

aucune information.

Brèves observations sur ce chapitre (pas plus de 100 mots) (tout dire, s'il-vous-plaît, sur cette page) : aucune information.

Ch. 27 : RENFORCEMENT DU RÔLE DES ORGANISATIONS NON GOUVERNEMENTALES : PARTENAIRES POUR UN DÉVELOPPEMENT DURABLE.

27.5 mettre au point des mécanismes permettant aux ONG de jouer effectivement leur rôle de partenaires responsables.

27.6 passer en revue les procédures et mécanismes officiels relatifs à la participation des ONG à la prise des décisions et à leur application.

27.8 encourager et autoriser les ONG à participer à la conception, à la mise en place et à l'évaluation des mécanismes officiels chargés d'assurer le suivi de l'application d'Action 21.

aucune information.

27.7 instaurer au niveau national, pour 1995, un dialogue mutuellement produit entre les ONG et les gouvernements.

Brèves observations sur ce chapitre (pas plus de 100 mots) (tout dire, s'il-vous-plaît, sur cette page) :

Participation active de l'Association Monégasque pour la protection de la nature à toutes les actions de conservation de la Nature.

Des ONG et Clubs Services participent à la médiatisation et à la sensibilisation du public.

De nombreuses actions sont entreprises en contact avec les communies frontalières dans le cadre d'opérations comme le Nettoyage de Printemps ou "Clean Up the World".

Ch. 28 : INITIATIVES DES COLLECTIVITÉS LOCALES À L'APPUI D'ACTION 21.

28.2.d encourager les collectivités locales à assurer l'exécution et le suivi de programmes visant à assurer la représentation des femmes et des jeunes dans les instances locales de prises des décisions.

Il y a au moins _______ répliques locales d'Action 21. Les femmes et/ou les enfants sont représentés dans _____ % d'entre elles.

Elles font intervenir _____ % de la population.

Soutien des pouvoirs publics aux initiatives des répliques locales d'Action 21 :

aucune information.

Brèves observations sur ce chapitre (pas plus de 100 mots) (tout dire, s'il-vous-plaît, sur cette page) : aucune information.

Ch. 29 : RENFORCEMENT DU RÔLE DES TRAVAILLEURS ET DE LEURS SYNDICATS.

29.2 pleine participation des travailleurs à l'accomplissement et à l'évolution d'Action 21.

29.3 a à e (d'ici l'an 2000), a) promouvoir la ratification des Conventions de l'OIT; b) mettre en place des mécanismes bipartites et tripartites pour traiter des questions de sécurité, de santé et de développement durable; c) accroître le nombre de conventions collectives sur l'environnement; d) réduire l'incidence des accidents et des blessures au travail; e) développer l'instruction et la formation des travailleurs. aucune information.

Brèves observations sur ce chapitre (pas plus de 100 mots) (tout dire, s'il-vous-plaît, sur cette page) :

aucune information.

Ch 30 : RENFORCEMENT DU RÔLE DU COMMERCE ET DE L'INDUSTRIE.

30.6 augmenter le rendement d'utilisation des ressources, notamment en accroissant le réemploi et le recyclage des résidus et à réduire la quantité de déchets rejetés pour une production donnée.

Des politiques gouvernementales encouragent la réalisation de l'objectif ci-dessus.
Des politiques gouvernementales exigent le recyclage, etc.

30.18.a encourager l'application du concept de gestion rationnelle des entreprises en ce qui concerne l'exploitation et l'utilisation des ressources naturelles par les entrepreneurs.

Énumérer toutes actions engagées dans ce domaine : aucune information.

30.18.b accroître le nombre des entreprises qui appuient et appliquent des politiques de développement durable.

aucune information.

Brèves observations sur ce chapitre (pas plus de 100 mots) (tout dire, s'il-vous-plaît, sur cette page) : La sensibilisation de ces groupes s'effectue par l'entremise des organisations comme la Jeune Chambre Economique ou le Groupement des Industries de transformation,

Ch. 31 : COMMUNAUTÉ SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE.

31.3.b favoriser l'échange de connaissances et de points de vue entre la communauté scientifique et technique et le grand public.

la communauté scientifique a déjà établi des modalités pour communiquer avec le grand public et contribue à la réalisation d'un développement durable.

un certain effort est fait dans cette direction

brève description


il n'y a pas beaucoup de changement dans ce domaine

31.9 accroître, améliorer et favoriser l'acceptation, au niveau international, des codes de pratique et des lignes directrices relatifs à la science et à la technique et au rôle qu'elles jouent pour concilier environnement et développement.

Brèves observations sur ce chapitre qui n'ont pas déjà été faites au chapitre 35 (pas plus de 100 mots) (tout dire, s'il-vous-plaît, sur cette page) : aucune information.

Ch. 32: RENFORCEMENT DU RÔLE DES AGRICULTEURS.

32.5.c promouvoir et encourager des pratiques et techniques agricoles écologiquement viables.

32.5.e élaborer un cadre d'action qui, au moyen d'incitations et d'avantages, encourage les agriculteurs à adopter des pratiques agricoles efficientes et écologiquement viables.

32.5.f accroître la participation des organisations d'agriculteurs à la conception et à l'exécution de politiques de développement durable.

Brèves observations sur ce chapitre (pas plus de 100 mots) (tout dire, s'il-vous-plaît, sur cette page) : aucune information.

ACTION 21 CHAPITRE 33 : RESSOURCES ET MÉCANISMES FINANCIERS

Il est rendu compte aussi des ressources et mécanismes financiers dans chaque chapitre du secteur d'Action 21 qui s'y rapporte. On présente sommairement ici, dans une perspective plus large, les politiques financières nationales (y compris APD) intérieures et extérieures.

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION : aucune information.

CHANGEMENTS APPORTÉS AU BUDGET DE L'ÉTAT DANS LA PERSPECTIVE D'UN DÉVELOPPEMENT DURABLE : aucune information.

NOUVEAUX INSTRUMENTS ÉCONOMIQUES :

Il existe une aide de remplacement des véhicules thermiques utilisés par les sociétés par des véhicules électriques.

Il y a une subvention de l'Etat pour les transport en commun.

Le principe pollueur payeur s'applique par une redevance d'épuration appliquée sur le prix de l'eau potable.

SUPPRESSION DE SUBVENTIONS PRÉJUDICIABLES À L'ENVIRONNEMENT : aucune information.

Questions de politiques d'APD

pays donateur:

pays bénéficiaire:

aucune information.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
1992 1993 1994 1995 1996
Financements d'APD fournis ou reçus (total en millions de dollars É.-U.)
Moyenne pour

92-93

Moyenne pour

94-96

Flux nets de capitaux externes en provenance de toutes les sources en % du PIB
Autres données

ACTION 21 CHAPITRE 34 : TRANSFERT DE TECHNIQUES ÉCOLOGIQUEMENT RATIONNELLES, COOPÉRATION ET CRÉATION DE CAPACITÉS

Cette question est également traitée dans chaque chapitre du secteur d'Action 21 qui s'y rapporte. On présente sommairement ici dans une perspective plus large, les politiques suivies et les actions engagées par les pays qui ont trait au chapitre 34.

PRIORITÉ NATIONALES :
ÉTAT DE LA SITUATION CONCERNANT LES LIENS ENTRE RÉSEAUX/SYSTÈMES NATIONAUX, RÉGIONAUX ET INTERNATIONAUX D'INFORMATION : aucune information.

MOYENS D'ACTION : aucune information.

Décrivez toute action engagée au niveau national ou local concernant les efforts déployés pour promouvoir des modes de production non polluants et/ou les concepts d'éco-efficacité. Cela pourra comprendre formation, arrangements financiers préférentiels, diffusion d'information et modification des appareils juridiques ou réglementaires.

Aucune information.

Donnez des informations sur l'adoption de systèmes de gestion de l'environnement. Réaction nationale aux normes applicables aux systèmes de gestion de l'environnement comme la série ISO 14000 et autres. Veuillez noter les efforts fournis au niveau national pour en promouvoir l'adoption et la mise en place d'une infrastructure d'attestation pour faciliter l'accès des industries locales à ces normes.

Dans ce domaine les petites industries de la Principauté sont liées aux impératifs de normalisation et de certification du marché européen. Il n'y a pas d'infrastructures proprement monégasque de certification.

Énumérez et décrivez les programmes ou travaux en cours pour transférer des techniques écologiquement rationnelles aux petites et moyennes entreprises. Veuillez noter les efforts qui sont faits pour faciliter l'accès aux ressources financières et autres stratégies de transfert.

Aucune information.

ACTION 21 CHAPITRE 35 : LA SCIENCE AU SERVICE D'UN DÉVELOPPEMENT DURABLE

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION CONCERNANT LE SAVOIR SCIENTIFIQUE NATIONAL, LES BESOINS DE LA RECHERCHE ET LES PRIORITÉS :

Océanographie :

-indicateurs d'état de l'environnement marin;

-inventaires de biodiversité;

-régénération des écosystèmes déséquilibrés.

Travaux inscrit dans trois contextes :

-Programme MEDPOL/PAM/UNEP;

-Programme Franco Italo Monégasque RAMOGE;

-Accord Partiel EUROPA du Conseil de l'Europe.

MESURES PRISES POUR PROMOUVOIR LE SAVOIR SCIENTIFIQUE, AMÉLIORER L'APPAREIL SCIENTIFIQUE À LONG TERME ET RENFORCER LE POTENTIEL ET LA CAPACITÉ DANS CE DOMAINE :

Aucune information.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
Année
Nombre de chercheurs, d'ingénieurs et de techniciens engagés dans la recherche et le développement expérimental # 19__
Total des montants dépensés pour la recherche et le développement expérimental

(équiv. dollars É.-U.)

$ 19__
Autres données

ACTION 21 CHAPITRE 36 : PROMOTION DE L'ÉDUCATION, DE LA SENSIBILISATION DU PUBLIC ET DE L'INFORMATION

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION : aucune information.

a) Réorientation de l'éducation vers la réalisation d'un développement durable

aucune information.

b) Sensibilisation accrue du public

aucune information.

c) Promotion de la formation

aucune information.

RÔLE DES PRINCIPAUX GROUPES : aucune information.

FINANCEMENT ET ÉVALUATION DU COÛT DU TRAVAIL : aucune information.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
1980 1990 Dernière année connue 1993
Taux d'alphabétisation des hommes
99
99
99
Taux d'alphabétisation des femmes
99
99
99
Pourcentage d'enfants qui achèvent le cycle primaire (1986-97)
100
100
100
Nombre moyen d'années de scolarité
12
12
12
% du PNB dépensé pour l'éducation
Nombre de filles pour 100 garçons dans le secondaire
100.7
Nombre de femmes pour 100 hommes dans la population active - % du total
41.3 %
41.6%
41.1%
Autres données

ACTION 21 CHAPITRE 37 : MÉCANISMES NATIONAUX ET COOPÉRATION INTERNATIONALE POUR LE RENFORCEMENT DES CAPACITÉS DANS LES PAYS EN DÉVELOPPEMENT

Le renforcement des capacités nationales est traité également dans les chapitres consacrés aux secteurs.

bailleurs de fonds : Vous pourriez peut-être dire ici comment Action 21 a influé sur votre politique d'APD dans ce domaine.

Pays en développement : Vous pourriez peut-être décrire ici tous nouveaux mécanismes nationaux de renforcement des capacités dont vous auriez pu vous doter -- et tous changements intervenus dans le domaine de la coopération technique.

PRIORITÉ NATIONALE :
ÉTAT DE LA SITUATION CONCERNANT LE RENFORCEMENT ENDOGÈNE DES CAPACITÉS NATIONALES :

Dans le cadre de la coopération avec la Bulgarie, la seule contrainte présentée par la Principauté fut que la réalisation du Plan de gestion environnementale soit effectué par des experts bulgares, non des experts étrangers.

ACTION 21 CHAPITRE 38 : ARRANGEMENTS INSTITUTIONNELS INTERNATIONAUX

Ch. 38 : Bref résumé de toute action particulière du système des Nations Unies concernant ce pays ou État :

Aucune information.

ACTION 21 CHAPITRE 39 : INSTRUMENTS ET MÉCANISMES JURIDIQUES INTERNATIONAUX

Ch. 39: La question des instruments juridiques internationaux est traitée dans les chapitres sectoriels pertinents. Ceci est une liste des principaux accords/conventions (dont il n'a pas encore été rendu compte) auxquels on a adhéré et qui se rapportent à Action 21 : aucune information.

ACTION 21 CHAPITRE 40 : L'INFORMATION POUR LA PRISE DES DÉCISIONS

Ce chapitre est traité également dans le cadre des chapitres sectoriels et d'autres du présent profil. Le tableau récapitulatif ci-dessous donne un aperçu de l'appréciation que font les autorités nationales de l'information dont ils disposent sur la prise des décisions.

Appréciation des données et de l'information disponibles aux fins de prise des décisions

Chapitres d'Action 21 Très

bonnes

Bonnes Quelques bonnes données mais beaucoup de lacunes Médiocres Observations
2. Coopération et commerce internationaux
3. Lutte contre la pauvreté
4. Modifications des modes de communication
5. Dynamique démographique et durabilité
6. Santé
7. Établissements humains
8. Intégration de la problématique environnementale-développement dans la prise des décisions
9. Protection de l'atmosphère
10. Planification et gestion intégrées des ressources en terres
11. Lutte contre le déboisement
12. Lutte contre la désertification et la sécheresse
13. Mise en valeur durable des montagnes
14. Promotion d'un développement agricole et rural durable
15. Préservation de la diversité biologique
16. Biotechniques
17. Océans, mers, zones côtières et leurs ressources biologiques
18. Ressources en eau
19. Substances chimiques toxiques
20. Déchets dangereux
21. Déchets solides
22. Déchets radioactifs
24. Femmes et développement durable
25. Enfants et jeunes
26. Populations autochtones
27. Organisations non gouvernementales
28. Autorités locales
29. Les travailleurs et leurs syndicats
30. Commerce et industrie
31. Communauté scientifique et technique
32. Les agriculteurs
33. Ressources et mécanismes financiers
34. Technologie, coopération et renforcement des capacités
35. La science au service d'un développement durable
36. Éducation, sensibilisation du public et formation
37. Coopération internationale pour le renforcement des capacités
38. Arrangements institutionnels internationaux
39. Instruments juridiques internationaux
40. L'information pour la prise de décisions

Observations additionnelles

aucune information.

DONNÉES/INDICATEURS STATISTIQUES
1980 1993 Dernière année connue 1995
Nombre de téléphones utilisés par centaines d'habitants
93
94
Autres données

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Last updated 1 November 1997